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vendredi 5 juillet 2019

Le babtou fragile, ça va bien cinq minutes... (11 avr. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/01sKkPyiWno


Bonjour,
on me dit parfois dans les commentaires « mais si on suit ta logique, ça risque de conduire à de la violence » comme si la violence, laquelle est une part intrinsèque de nous-mêmes et de toute société humaine, était une chose mauvaise par nature, alors que comme la plupart des choses, sauf à avoir l’esprit déformé par une morale bancale, une idéologie ou un conditionnement, elle n’est ni bonne, ni mauvaise, elle est juste nécessaire ou pas. Et, autant la violence ne saurait être automatique et la solution à tous les problèmes, autant le fait de nier la nécessité d’y avoir recours quand elle s’impose conduit généralement à plus de violence, la méthode Gandhi ne fonctionne que face à des cultures qui y sont réceptives et les petites fleurs et les bougies ne sont efficaces que dans les cas très rares où elles amènent un terroriste à s’étouffer de rire pendant qu’il mange une cacahouète. Même cette figure emblématique qu’est Jésus, lequel n’avait rien à voir avec la fiotte qu’en a fait l’église moderne et sur lequel se sont abusivement appuyées des forces délétères pour finir par castrer toute une civilisation, jésus donc, a jugé nécessaire de chasser les marchands du temple à grands coups de pieds dans les fesses.
Il est clair que plus le niveau de civilisation augmente, plus le citoyen a l’illusion que la violence diminue et n’est pas nécessaire, alors qu’en fait elle change juste de forme et devient un monopole d’état, état qui, pour conserver ledit monopole fait tout ce qu’il peut pour la diaboliser et avec elle toute forme de résistance qu’il assimile systématiquement et abusivement à la haine auprès des populations qu’il transforme en moutons pour son plus grand avantage. C’est d’ailleurs pour éviter tout abus en ce sens que la constitution américaine prévoit le second amendement, que nous Français, dans notre majorité, ne comprenons pas, le port d’armes étant conçu à la base pour se protéger, non contre la délinquance, mais contre les abus dudit gouvernement et protéger les autres amendements dont le premier sur la liberté d’expression. Ça devient de suite beaucoup plus sympathique et on comprend mieux pourquoi les américains y sont aussi attachés. Comme toute chose, il s’agit d’une négociation, plus ou moins implicite : on laisse à l’état le monopole de la violence et en échange, il en use pour nous protéger. Comme j’en ai déjà parlé dans une vidéo que je vous mets en lien, nous avons toujours été des esclaves et nous n’avons jamais été en situation de négocier le bout de gras avec ceux qui gèrent jusqu’à l’abattoir le bétail que pour eux nous sommes. Pour autant dans ce mirage qu’est la démocratie, l’illusion est importante et même si nos polices et gendarmeries s’appellent les forces de l’ordre, ce qui devrait déjà nous donner un indice quant à qui va leur loyauté, l’état à tout intérêt à nous les vendre comme des anges gardiens, lesquels nous rackettent pour notre bien quand on roule à 51 km à l’heure sur une ligne droite en sortie de village et salivent déjà à l’idée de la limitation à 80 à l’heure qui va pénaliser les gens qui bossent, relégués en périphérie pour être trop pauvres pour s’acheter un logement décent en ville dans les quartiers huppés encore épargnés par l’immigration et dans lesquels vivent les ministres qui nous pondent ces lois à la con. L’acte incontestablement aussi héroïque que vain du gendarme Beltrame, outre qu’il permet de focaliser plus sur lui que sur le terroriste et l’inefficacité du gouvernement, est pour l’État, qui s’est empressé de l’ériger en héros de l’olympe, véhiculant au passage le message subliminal que la conséquence inéluctable de l’héroïsme c’est la mort, une chance inespérée de nous vendre sa salade du gendarme protecteur quand de plus en plus de gens voient bien que la violence tant des milices de gauche, des antifas, des organisations communautaires comme la LDJ, et de la délinquance, surtout quand issue de l’immigration, ne semble pas la préoccupation prioritaire desdits anges gardiens qui préfèrent visiblement faire mumuse avec leurs radars et mettre en garde à vue des dissidents. A leur décharge quel intérêt d’interpeller des gens que des juges, idéologues fanatiques, remettront en liberté avant qu’ils n’aient eu le temps de récupérer leur véhicule sur le parking du tribunal. Je ne leur jette pas la pierre, il faut bouffer, en outre certains de plus en plus nombreux, vivent très mal la situation, et si j’étais politique, à l’instar de Hollande qui demandait à ce que toutes les armes soient déchargées lors des cérémonies militaires auxquelles il participait, je m’en inquièterais, sachant qu’au lieu de sombrer dans la dépression et de se suicider avec leur arme de service, ce qui n’a aucun impact sur la situation, il pourrait s’en trouver, qui, perdu pour perdu, décident de diriger leur projectile vers une tête plus méritante que la leur. En tous les cas, même si sa partie du contrat n’est pas remplie, l’état et sa justice se montrent d’autant plus impitoyables vis-à-vis de ceux qui seraient tentés, ne serait-ce que pour survivre ou défendre leur famille de prendre les choses en main. Pendant qu’on glorifie Beltrame, des militaires qui ont pourchassé un voleur de téléphone ayant agressé une jeune femme et lui ont cassé une dent quand il a cherché à se rebiffer, au lieu d’avoir une médaille sont mis en examen par une substitut de procureur particulièrement zélée, sous le prétexte que ledit délinquant était mineur, concept particulièrement flexible par les temps qui courent et où les rues s’emplissent de bambins migrants à la barbe drue et à la calvitie précoce qui assurent être dans leurs tendres années, chose qu’ils pourraient prouver si seulement ils n’avaient pas perdu leurs papiers.
L’état n’ayant ni l’envie, ni les moyens, pour faire face à la montée de la violence contre laquelle il est censé nous protéger, use de son monopole pour dissuader les seuls sur lesquels il peut faire pression, c’est à dire les victimes de se rebiffer, face aux agressions de gens dont la culture est moins civilisée, et donc, par définition plus violente et pour qui le respect ne se décrète pas par des textes de loi mais se gagne par son attitude. Lesdites victimes, transformées en castrats impuissants, sont alors d’autant moins respectés et donc encore plus agressés par certains allogènes et pas qu’eux. C’est un cercle vicieux qui génèrera toujours plus de violence. En outre, même un mouton ayant un point de rupture, l’état souffle sur les braises de façon à ce que quand violence il y a, elle soit dirigée vers d’autres moutons, ou plutôt au cas particulier, des boucs « émissaires » plutôt que contre l’état lui-même, ou ses représentants. On n’a pas trop parlé de la fusillade qui a eu lieu aux États-Unis il y a quelques jours au siège de YouTube. D’abord bien sur parce que le tireur cumulait le fait, accrochez-vous, d’être une femme, de gauche, végane, asexuelle, issue de la diversité et musulmane, ce qui ne sert pas la propagande du système, mais surtout parce que pour aussi injustifiable que soit son geste et même si au final elle n’a probablement tiré que sur des lampistes qui essayaient juste de gagner leur croûte, ledit système est paniqué à l’idée que des gens au lieu de se battre entre eux ne se mettent à lever la tête et ne commencent à s’attaquer aux centres de pouvoir sous toutes ses formes. Centres de pouvoir que bizarrement les terroristes négligent systématiquement, allez savoir pourquoi. Il est clair, en tout cas, au cas particulier, que si toutes les personnes que YouTube censure commencent à se rendent au siège et à canarder tout le monde, ce qu’encore une fois, je n’encourage pas, il risque de falloir un peu plus que le caca nerveux d’un crétin quelconque qui n’accorde la liberté d’expression qu’aux gens qui pensent comme lui pour que s’abatte ladite censure, risquer sa peau mettant quand même un peu les choses en perspective.
La violence peut rester facultative à titre individuel et on est libre de placer ses principes avant sa propre vie, mais elle finit toujours par s’imposer d’elle-même quand il s’agit de protéger les siens et sa civilisation d’où la course contre la montre du système pour détruire la famille et avec elle le cœur de ce dans quoi on puise notre force et notre volonté de lutte. En revanche, s’il est facile d’avoir un discours martial en tapotant sur un clavier ou bien calé dans son canapé, il faut oublier un instant les jeux vidéos et les effets spéciaux du cinéma et bien mesurer la gravité de la chose dans la vraie vie. On peut bien sûr se préparer individuellement, pratiquer les arts martiaux pour ceux qui le peuvent, s’inscrire dans un club de tir, apprendre à transformer en arme les objets usuels qu’on est autorisés à transporter, parapluie, ceinturon, clé de voiture, garder les ongles longs pour les femmes et les tailler non pour faire joli, mais pour faire des dégâts. Ça ne vous sauvera peut-être pas toujours, mais en causant systématiquement le plus de dégâts possibles à l’agresseur au lieu de vous laisser égorger comme un mouton, vous ferez au moins passer le message collectif que le babtou fragile c’est fini. Mais en se contentant de ça on n’ira pas très loin, car derrière cette violence, il y a l’état et la justice qui feront en sorte que si vous amochez votre agresseur qui lui n’a rien à perdre, vous serez sanctionné avec toute la force de la loi et votre vie sera peut-être sauve, mais foutue. C’est contre ça qu’il faut se battre en priorité, en se massant devant les tribunaux quand quelqu’un est poursuivi pour s’être défendu ou avoir défendu un tiers, en publiant les noms et photos de ceux, juges et procureurs qui se cachent derrière leur fonction pour faire passer leurs idées politiques, non pour les agresser physiquement mais pour que leurs voisins, leur famille, leurs enfants sachent ce qu’il font et que partout où ils aillent ils croisent des regards de dégout et de mépris, et d’une manière générale en soutenant de toute les manières possibles, ceux qui se défendent ou vous défendent car sans soutien massif qui nous fasse sortir de cet individualisme dans lequel nous enferme le système ils sont condamnés à perdre et nous tous avec.
La violence est avant tout un constat d’échec de l’intelligence d’une ou des deux parties concernées. Entre gens intelligents et bien intentionnés, la plupart des conflits peuvent se résoudre par le dialogue, dialogue d’autant plus efficace qu’une maîtrise de la langue et la capacité d’accès à des concepts élaborés et aux nuances les plus subtiles démultiplient les possibilités d’un compromis le plus équilibré possible.
C’est pour cela qu’un état qui se respecte et souhaite maintenir un haut niveau de civilisation devrait avoir un système éducatif digne de ce nom et limiter autant que faire se peut, sous peine d’une baisse de niveau général impliquant un retour naturel à la résolution des problèmes par la violence, l’accès du pays à des gens qui ne peuvent ou ne veulent s’assimiler et faire l’effort intellectuel nécessaire. Pour autant, sous le vernis civilisationnel, qui n’est que ça, un vernis, une discussion équilibrée ne peut avoir lieu que d’égal à égal, une égalité qui n’est pas celle conférée par les droits de l’homme mais celle qui se mesure dans la vraie vie sous forme d’un rapport de force. La meilleure façon d’éviter la violence c’est la détermination, visible par l’autre, à y avoir recours sans hésitation si nécessaire, avec la mort comme seule alternative à la victoire. Si on n’est pas prêt à la fois à tuer et à mourir, aucun dialogue sérieux n’est possible. Pas plus que la moindre forme universelle de respect. Même face à un animal sauvage (ce qui, n’en déplaise aux adeptes de l’anthropomorphisme et autres végans est un pléonasme), il y a toujours ce dialogue muet durant lequel le prédateur évalue le ratio bénéfice-risque et face à certains humains, le seul espoir de dialogue se résume, hélas, à ça. Souvent, il n’est pas nécessaire d’être un grand combattant, juste d’être visiblement plus coriace que le bobo conciliant qui croit que son « antiracisme » le protègera de quelque chose et sur lequel, ledit prédateur, toujours en quête de facilité préfèrera jeter son dévolu. Comme le dit la blague, je n’ai pas besoin de courir plus vite que le lion, j’ai juste besoin de courir plus vite que toi. C’est pareil au niveau des états comme l’illustre ce qui s’est passé entre le géant aux pieds d’argile que sont les États-Unis et la petite Corée du Nord dont personne ne doute qu’elle est prête à l’ultime sacrifice et que même les enfants se battrons jusqu’au dernier avec les dents si c’est nécessaire tandis que l’américain moyen bouffe des chips et des glaces en conditionnement de 5 litres sur son canapé en jouant à des jeux vidéos. Cette attitude, qui a conduit ladite Corée à se doter de l’arme nucléaire et qu’on est libre d’apprécier ou non est la seule raison pour laquelle elle n’a pas connu le sort funeste de l’Irak ou de la Libye. Comme disaient les romains, si vis pacem para bellum (si tu veux la paix, prépare la guerre).
Encore une fois, on peut jouer les autruches, mettre la tête dans le sable en présentant mécaniquement son postérieur à qui en aura l’usage mais on ne peut pas raisonnablement penser que cette attitude pacifiste aura un impact sur les autres et ce d’autant plus s’ils n’ont pas été soumis à la morale catholique, qui seule, ou presque, répugne à frapper les faibles ou les désarmés. En outre, si l’état, non seulement ne nous défend plus, mais nous empêche de le faire nous-mêmes, c’est l’état qui devient l’ennemi et un état qui est l’ennemi de son propre peuple, pour durer, n’a d’autre choix que de devenir totalitaire.
Merci de liker et de partager. Comme toujours, je n’ai pas la science infuse et ce que je dis n’est pas parole d’évangile, j’ai juste la prétention d’avoir un discours, logique, honnête et argumenté et si vous avez vos propres arguments à faire valoir, les commentaires sont là pour ça. Visiblement, je suis toujours là, ce qui me surprends agréablement, mais gardez quand-même dans un coin le lien de ma chaîne PewTube que je vous mets dans la description. Merci pour votre fidélité et à bientôt, j’espère.

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