Bonjour,
pas de panique, tout est sous contrôle. 90 000 policiers, hélicoptères, canons à eau, snipers, blindés, garde à cheval, une semaine à dire dans tous les médias qu’il y aurait des morts pour effrayer le chaland et, malgré ça, autant de manifestants à Paris que la dernière fois, près de 1400 arrestations, des scènes d’émeute dans quasiment toutes les grandes et moyennes villes de France et, la présence de caméras étrangères étant la seule chose qui les empêche de tirer sur la foule à balles réelles, des images qui font le tour du monde de manifestants à genoux, les mains derrière la tête, sous les fumigènes, devant lesdits blindés, reléguant, par comparaison, la place Tian'anmen à du pipi de chat siamois. Le donneur de leçon Macron est cuit à l’international. Même Erdogan s’indigne de la répression Macronesque. On n’attend plus que Kim Jong-un et Xi Jinping qui vont pouvoir nous expliquer ce qu’est une démocratie. Dès qu’on prononce le mot « Macron » Trump se roule tellement par terre que ça fait trois fois qu’ils changent la moquette et qu’on a dû lui mettre des couches, et on sent bien que Poutine se retient de demander à notre Jupiter s’il a besoin de quelques S400 en complément d’une garde à cheval certes écolo mais pas spécialement High-tech où, à défaut, en suppositoire. Sans compter que certains manifestants ont ramassé les crottes et qu’on ignore ce qu’ils vont en faire. La garde à cheval ! Ils ont vraiment raclé les fonds de tiroirs. S’il y a un acte 5, ils vont ressortir les catapultes et l’huile bouillante et réquisitionner les scouts de France.
Pendant tous les évènements, macron que même mon correcteur orthographique ne corrige plus quand j’y mets un M minuscule, lui qui se voyait déjà leader de l’Europe, courageusement retranché dans son bunker, passant ainsi allègrement de Marie-Antoinette à Hitler dans l’imaginaire collectif, même pas foutu de suivre ses propres conseils et de traverser la rue, non pour trouver du boulot mais pour perdre le sien, aucune raison que ça ne marche pas dans les deux sens, macron le grand, le somptueux, le magnifique, conscient qu’à chaque fois qu’il ouvre la bouche c’est pour dire une connerie qui envenime la situation, s’est tu, d’un silence assourdissant, même si ça fait des vacances. A la place on a eu Castaner et Philippe, le club des allergiques au rasoir à 2 lames parce que ça fait viril. Un Castaner qui, se croyant autour d’une table de poker, au lieu de se coucher, pérore avec une paire de deux, parce qu’il n’y a pas eu une explosion de violence, faisant passer le message que pour qu’il considère ça comme une défaite il lui faut des morts, au risque que les gens se demandent si un ministre de l’intérieur ça ne suffirait pas à atteindre le quota. Le message est donc qu’ils ne partiront qu’à la force des baïonnettes, peu importe si partout (sauf dans les médias français) les infos déclarent que le mouvement s’amplifie et que des vidéos montrent qu’on chante « Macron démission » jusque dans les cours de récréation d’écoles primaires. Qu’est-ce donc qui est aussi difficile à comprendre dans « Macron démission » ? C’est ça le signe fort que tout le monde attend, pas la péréquation d’une taxe indexée sur les variations saisonnières du cycle de reproduction des doryphores ou 1 pour cent de hausse sur la baisse, coefficient 3 multiplié par 5, du pouvoir d’achat pour la tranche médiane de la tranche basse non imposable à l’horizon 2024. « Macron démission », c’est pas compliqué, même pour un énarque, sachant que, même pour ceux qui croyaient à l’inénarrable « c’est notre projet », ledit Macron, aussi peu crédible à l’international que dans l’hexagone, n’a plus aucune marge de manœuvre et est désormais aussi à sa place à la tête de l’État qu’un ayatollah iranien dans une Gay Pride, la réciproque étant, hélas, largement discutable.
Le problème c’est qu’il s’en fout, la preuve avec le pacte catastrophique de l’ONU sur les migrations, signé ce 11 décembre sans consulter le peuple, alors même que ledit peuple manifeste pour avoir son mot à dire dans les décisions qui sont prises en son nom et qui l’engagent pour l’avenir de manière irrémédiable. Macron, comme je l’ai déjà dit, fait partie de ces parasites qui s’accrocheront au pouvoir comme des poux sur un testicule, continuant à nous pomper le sang et l’air par la même occasion jusqu’à la dernière seconde, peu leur chaut que le pays soit mis à feu et à sang, car c’est bien là le message qu’ils envoient : « vous êtes désarmés, pas nous, continuez et on va vous mater. On est là par la volonté trafiquée des urnes, vous ne nous ferez pas partir par la volonté des burnes. » Ce n’est donc pas qu’ils n’ont pas compris que les gens ne veulent plus voir leur gueule et que leur départ est non négociable, c’est juste qu’ils s’en foutent, utilisant la force de l’État, confisquée à leur profit, pour serrer encore un peu plus le couvercle de la cocotte-minute. Sachant que si on commence à traiter différemment des esclaves c’est la fin de l’esclavage et qu’au bout du compte, ce n’est donc même pas une affaire de pognon car, quand ils ont besoin de 40 milliards pour les entreprises ou renflouer les banques, ça sort du chapeau par un coup de baguette magique, l’argent n’étant plus qu’une convention, des uns et des zéros sur un ordinateur. Le but du jeu c’est de nous garder en esclavage, car sans esclaves il n’y a plus de pouvoir et personne pour récurer leurs chiottes. Aucune idée de ce que Macron va proposer, mais ça m’étonnerait qu’il prononce des mots qui fâchent comme : mandat révocatoire, référendum, démocratie directe, réinstauration du délit de haute trahison… peut-être et encore, qu’il va lâcher un peu de proportionnelle qui elle, ne remet pas en cause le système. En gros c’est comme un renard qui dit aux poules : « s’il vous plait laissez-moi dans le poulailler, je vous promets que je ne recommencerai plus » ou mieux, en prison sous la douche, le mec qui dit : « bon, ok, je t’ai déjà enculé plusieurs fois, mais je te jure que si ru ramasses la savonnette que je viens de laisser tomber, cette fois tu ne risques rien de ce côté-là, bon maintenant que tu es accroupi dis : « aaah!» ».
Si tout le système n’est pas remis en cause et que le pillage organisé de centaines de milliards annuel continue, les quelques miettes obtenues s’estomperont aussi vite qu’une promesse électorale un lendemain d’élection et on arrivera en quelques mois au point où non seulement le frigo sera vide, mais où on n’aura même plus de frigo. Renoncer à exiger la démission de Macron et de tout le cirque politique revient à avoir couru un marathon sous la pluie et contre le vent pour s’arrêter à 200 mètres de la ligne d’arrivée. « Tout ça pour ça ? » C’est vraiment ce que vous voulez vous dire dans 6 mois quand vous serez encore plus dans la merde qu’aujourd’hui et que l’État, qui aura discrètement neutralisé les meneurs et aura fini de censurer internet pour qu’on ne puisse plus s’organiser sur les réseaux sociaux, aura blindé ses lignes de défense ? Quoi qu’on nous promette, si on laisse le pouvoir aux mains des mêmes, on est morts. Il n’y aura pas de seconde chance. Tout ce qui nous attend c’est une vie d’angoisse, sans espoir avec pour seule certitude que nos enfants seront encore plus dans la merde que nous. Il est clair que le gouvernement ne joue pas le jeu. Si on lui dit où et quand on manifeste ce n’est pas pour qu’il s’organise pour mieux nous matraquer et s’amuser avec nous comme des souris blanches dans un labyrinthe. Dans ces conditions les manifestations peuvent aussi changer de forme, sachant qu’au bout du bout, si l’état s’obstine, il se passera ce qui se passe partout dans ces cas-là : une résistance armée ; et le fait que pas très loin de chez moi, même si je n’y suis pour rien, on ait trouvé des cocktails Molotov et des explosifs artisanaux chez des gilets jaunes indique que le moment n’est pas si éloigné où les habitations de tous les députés La République En Marche devront être transformés en bunker, et où tout représentant officiel, journaliste et assimilé devra louer une papamobile blindée et réquisitionner 3 compagnie de CRS pour mettre le nez dehors et regarder le temps qu’il fait…
Personne ne souhaite qu’il y ait des morts, mais la violence est comme un tremblement de terre, une fois que ça a commencé, on ne peut plus l’arrêter, jusqu’à ce que les tensions se résolvent et la seule chose efficace, la revendication qui unit tout le monde, l’exutoire salutaire du bouc émissaire comme dirait René Girard, c’est la démission de Macron. Sans ce préalable tout le reste ne pourra être qu’un cautère sur une jambe de bois. Le Monde nous regarde et pour la première fois depuis longtemps nous admire. Beaucoup de gens redécouvrent la fierté d’être Français, non par orgueil mais parce qu’ils réalisent ce que ça représente, l’humilité d’être un petit rouage, mais un rouage important de quelque chose de plus grand qui nous dépasse et a la capacité de changer le Monde pour le meilleur. Car des gens ordinaires se sont réunis, ont parlé, dépassé leurs différences et réalisé qu’ensemble ils avaient le pouvoir de réussir là où nos élites ont échoué.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Cette chaîne par principe n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public avant que la censure ne me fasse taire définitivement. Merci à tous pour votre fidélité et à bientôt… j’espère.
pas de panique, tout est sous contrôle. 90 000 policiers, hélicoptères, canons à eau, snipers, blindés, garde à cheval, une semaine à dire dans tous les médias qu’il y aurait des morts pour effrayer le chaland et, malgré ça, autant de manifestants à Paris que la dernière fois, près de 1400 arrestations, des scènes d’émeute dans quasiment toutes les grandes et moyennes villes de France et, la présence de caméras étrangères étant la seule chose qui les empêche de tirer sur la foule à balles réelles, des images qui font le tour du monde de manifestants à genoux, les mains derrière la tête, sous les fumigènes, devant lesdits blindés, reléguant, par comparaison, la place Tian'anmen à du pipi de chat siamois. Le donneur de leçon Macron est cuit à l’international. Même Erdogan s’indigne de la répression Macronesque. On n’attend plus que Kim Jong-un et Xi Jinping qui vont pouvoir nous expliquer ce qu’est une démocratie. Dès qu’on prononce le mot « Macron » Trump se roule tellement par terre que ça fait trois fois qu’ils changent la moquette et qu’on a dû lui mettre des couches, et on sent bien que Poutine se retient de demander à notre Jupiter s’il a besoin de quelques S400 en complément d’une garde à cheval certes écolo mais pas spécialement High-tech où, à défaut, en suppositoire. Sans compter que certains manifestants ont ramassé les crottes et qu’on ignore ce qu’ils vont en faire. La garde à cheval ! Ils ont vraiment raclé les fonds de tiroirs. S’il y a un acte 5, ils vont ressortir les catapultes et l’huile bouillante et réquisitionner les scouts de France.
Pendant tous les évènements, macron que même mon correcteur orthographique ne corrige plus quand j’y mets un M minuscule, lui qui se voyait déjà leader de l’Europe, courageusement retranché dans son bunker, passant ainsi allègrement de Marie-Antoinette à Hitler dans l’imaginaire collectif, même pas foutu de suivre ses propres conseils et de traverser la rue, non pour trouver du boulot mais pour perdre le sien, aucune raison que ça ne marche pas dans les deux sens, macron le grand, le somptueux, le magnifique, conscient qu’à chaque fois qu’il ouvre la bouche c’est pour dire une connerie qui envenime la situation, s’est tu, d’un silence assourdissant, même si ça fait des vacances. A la place on a eu Castaner et Philippe, le club des allergiques au rasoir à 2 lames parce que ça fait viril. Un Castaner qui, se croyant autour d’une table de poker, au lieu de se coucher, pérore avec une paire de deux, parce qu’il n’y a pas eu une explosion de violence, faisant passer le message que pour qu’il considère ça comme une défaite il lui faut des morts, au risque que les gens se demandent si un ministre de l’intérieur ça ne suffirait pas à atteindre le quota. Le message est donc qu’ils ne partiront qu’à la force des baïonnettes, peu importe si partout (sauf dans les médias français) les infos déclarent que le mouvement s’amplifie et que des vidéos montrent qu’on chante « Macron démission » jusque dans les cours de récréation d’écoles primaires. Qu’est-ce donc qui est aussi difficile à comprendre dans « Macron démission » ? C’est ça le signe fort que tout le monde attend, pas la péréquation d’une taxe indexée sur les variations saisonnières du cycle de reproduction des doryphores ou 1 pour cent de hausse sur la baisse, coefficient 3 multiplié par 5, du pouvoir d’achat pour la tranche médiane de la tranche basse non imposable à l’horizon 2024. « Macron démission », c’est pas compliqué, même pour un énarque, sachant que, même pour ceux qui croyaient à l’inénarrable « c’est notre projet », ledit Macron, aussi peu crédible à l’international que dans l’hexagone, n’a plus aucune marge de manœuvre et est désormais aussi à sa place à la tête de l’État qu’un ayatollah iranien dans une Gay Pride, la réciproque étant, hélas, largement discutable.
Le problème c’est qu’il s’en fout, la preuve avec le pacte catastrophique de l’ONU sur les migrations, signé ce 11 décembre sans consulter le peuple, alors même que ledit peuple manifeste pour avoir son mot à dire dans les décisions qui sont prises en son nom et qui l’engagent pour l’avenir de manière irrémédiable. Macron, comme je l’ai déjà dit, fait partie de ces parasites qui s’accrocheront au pouvoir comme des poux sur un testicule, continuant à nous pomper le sang et l’air par la même occasion jusqu’à la dernière seconde, peu leur chaut que le pays soit mis à feu et à sang, car c’est bien là le message qu’ils envoient : « vous êtes désarmés, pas nous, continuez et on va vous mater. On est là par la volonté trafiquée des urnes, vous ne nous ferez pas partir par la volonté des burnes. » Ce n’est donc pas qu’ils n’ont pas compris que les gens ne veulent plus voir leur gueule et que leur départ est non négociable, c’est juste qu’ils s’en foutent, utilisant la force de l’État, confisquée à leur profit, pour serrer encore un peu plus le couvercle de la cocotte-minute. Sachant que si on commence à traiter différemment des esclaves c’est la fin de l’esclavage et qu’au bout du compte, ce n’est donc même pas une affaire de pognon car, quand ils ont besoin de 40 milliards pour les entreprises ou renflouer les banques, ça sort du chapeau par un coup de baguette magique, l’argent n’étant plus qu’une convention, des uns et des zéros sur un ordinateur. Le but du jeu c’est de nous garder en esclavage, car sans esclaves il n’y a plus de pouvoir et personne pour récurer leurs chiottes. Aucune idée de ce que Macron va proposer, mais ça m’étonnerait qu’il prononce des mots qui fâchent comme : mandat révocatoire, référendum, démocratie directe, réinstauration du délit de haute trahison… peut-être et encore, qu’il va lâcher un peu de proportionnelle qui elle, ne remet pas en cause le système. En gros c’est comme un renard qui dit aux poules : « s’il vous plait laissez-moi dans le poulailler, je vous promets que je ne recommencerai plus » ou mieux, en prison sous la douche, le mec qui dit : « bon, ok, je t’ai déjà enculé plusieurs fois, mais je te jure que si ru ramasses la savonnette que je viens de laisser tomber, cette fois tu ne risques rien de ce côté-là, bon maintenant que tu es accroupi dis : « aaah!» ».
Si tout le système n’est pas remis en cause et que le pillage organisé de centaines de milliards annuel continue, les quelques miettes obtenues s’estomperont aussi vite qu’une promesse électorale un lendemain d’élection et on arrivera en quelques mois au point où non seulement le frigo sera vide, mais où on n’aura même plus de frigo. Renoncer à exiger la démission de Macron et de tout le cirque politique revient à avoir couru un marathon sous la pluie et contre le vent pour s’arrêter à 200 mètres de la ligne d’arrivée. « Tout ça pour ça ? » C’est vraiment ce que vous voulez vous dire dans 6 mois quand vous serez encore plus dans la merde qu’aujourd’hui et que l’État, qui aura discrètement neutralisé les meneurs et aura fini de censurer internet pour qu’on ne puisse plus s’organiser sur les réseaux sociaux, aura blindé ses lignes de défense ? Quoi qu’on nous promette, si on laisse le pouvoir aux mains des mêmes, on est morts. Il n’y aura pas de seconde chance. Tout ce qui nous attend c’est une vie d’angoisse, sans espoir avec pour seule certitude que nos enfants seront encore plus dans la merde que nous. Il est clair que le gouvernement ne joue pas le jeu. Si on lui dit où et quand on manifeste ce n’est pas pour qu’il s’organise pour mieux nous matraquer et s’amuser avec nous comme des souris blanches dans un labyrinthe. Dans ces conditions les manifestations peuvent aussi changer de forme, sachant qu’au bout du bout, si l’état s’obstine, il se passera ce qui se passe partout dans ces cas-là : une résistance armée ; et le fait que pas très loin de chez moi, même si je n’y suis pour rien, on ait trouvé des cocktails Molotov et des explosifs artisanaux chez des gilets jaunes indique que le moment n’est pas si éloigné où les habitations de tous les députés La République En Marche devront être transformés en bunker, et où tout représentant officiel, journaliste et assimilé devra louer une papamobile blindée et réquisitionner 3 compagnie de CRS pour mettre le nez dehors et regarder le temps qu’il fait…
Personne ne souhaite qu’il y ait des morts, mais la violence est comme un tremblement de terre, une fois que ça a commencé, on ne peut plus l’arrêter, jusqu’à ce que les tensions se résolvent et la seule chose efficace, la revendication qui unit tout le monde, l’exutoire salutaire du bouc émissaire comme dirait René Girard, c’est la démission de Macron. Sans ce préalable tout le reste ne pourra être qu’un cautère sur une jambe de bois. Le Monde nous regarde et pour la première fois depuis longtemps nous admire. Beaucoup de gens redécouvrent la fierté d’être Français, non par orgueil mais parce qu’ils réalisent ce que ça représente, l’humilité d’être un petit rouage, mais un rouage important de quelque chose de plus grand qui nous dépasse et a la capacité de changer le Monde pour le meilleur. Car des gens ordinaires se sont réunis, ont parlé, dépassé leurs différences et réalisé qu’ensemble ils avaient le pouvoir de réussir là où nos élites ont échoué.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Cette chaîne par principe n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public avant que la censure ne me fasse taire définitivement. Merci à tous pour votre fidélité et à bientôt… j’espère.
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