Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

vendredi 5 juillet 2019

Pédophilie : on est cernés! (14 août 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/AR4H-3gDY5Q



Bonjour,
tout d’abord, un grand merci à tous car les 10 000 abonnés sont dépassés et c’est grâce à vous, votre soutien et vos partages si on en est là. Mon but n’a jamais été de faire des vues pour faire des vues, mais quand je lis vos commentaires, quand on a à la fois la qualité et la quantité c’est le rêve. Ceci dit vous n’étiez pas obligés de plomber l’ambiance en me demandant d’aborder le sujet de la pédophilie, j’aurais quand même apprécié de profiter un peu de la gloire avant qu’on ne me strike ma chaîne. Mais bon, c’est la vie, je suppose. Ravi de vous avoir connus.
Il y a quatre constantes qu’on retrouve à chaque fin de civilisation : monnaie basée sur rien, classe parasite jouisseuse, androgynisation puis, pédophilie. Pour la monnaie, l’empire romain avait tellement baissé la teneur de ses pièces en métaux précieux que plus personne n’en voulait, l’ancien régime a succombé aux sirènes de John Law et à sa banqueroute de sinistre mémoire, et aujourd’hui l’argent est produit magiquement, même plus par la planche à billet, mais juste en ajoutant des 1 et des 0 dans des bases de données informatiques. Les mœurs dévoyées des Grecs et les orgies romaines sont entrées dans l’histoire, de même que les fêtes de Versailles, rejoints par les concerts de rap à l’Élysée. Dans tous les cas, on retrouve bien une élite de parasites qui n’a jamais rien construit de ses mains ou transpiré ailleurs que dans un sauna, coupé des réalités et qui trompe son ennui par une quête perpétuelle de jouissance affichée et sans complexe ; ladite jouissance étant renforcée par le mépris de classe et la satisfaction d’en imposer le spectacle à la plèbe sans qu’elle ne puisse rien dire.
Ensuite vient l’androgynisation, l’estompage entre les caractéristiques mâles et femelles, quand les statues grecques et romaines ne représentent plus des hommes virils, mais des éphèbes, que la noblesse commence à se poudrer et porter des dentelles, qu’on a un macron à l’Élysée et que les genres deviennent fluides. Puis, finalement, signe que la fin est proche, vient la normalisation de la pédophilie, commune chez les grecs et les romains, la même pédophilie qui a fait haïr l’infâme Louis 15 pas du tout « bien-aimé » du petit peuple, pavant la voie pour ce qui allait suivre... Quant à nous, les graines sont semées depuis longtemps et vont bien au-delà des déclarations d’un Cohn-Bendit qui est, hélas, bien loin d’être le pire. Dans une société ou la quête du bonheur, confondu avec le plaisir, est la norme et ou l’absurdité de « l’amour universel » est devenu une « valeur » à laquelle ne sont opposables ni la rigueur, ni la logique, ni la réalité et encore moins la morale, l’histoire se répétant inlassablement, ce n’est plus qu’une question de temps avant que la pédophilie ne devienne logiquement, comme dans toute civilisation moribonde, la dernière tendance urbaine à la mode. Il lui suffit, et c’est déjà en cours, de suivre le chemin tracé par le LGBT en utilisant la même méthode : confusion du langage, sympathie (en montrant le côté humain et la souffrance de vivre avec une orientation sexuelle qu’on n’a pas choisie), victimisation, effet de mode, puis inversion des valeurs et dictature de la pensée. Pour le LGBT ça a commencé par mélanger des notions comme sexe et sexualité, couple et paire et en montrant le petit homosexuel inoffensif en chemise à fleurs rebaptisé « gay » qui donne des conseils de shopping plutôt que ce qui se passe dans les backrooms des bars homos, puis on a montré la souffrance des gens jusqu’à dégager un capital sympathie, on a ensuite braqué les projecteurs sur les violences faites à ces pauvres êtres humains comme vous et moi qui sont ostracisés juste pour vouloir aimer, puis c’est devenu « in » d’être gay et finalement, on finit par se retrouver au tribunal si l’on émet la moindre critique sur le LGBT. Confusion, humanisation, victimisation, mode, dictature par l’inversion des valeurs. Pour la pédophilie, c’est pareil, on commence à mélanger les notions de mineur et de pubère de façon à faire croire que coucher avec une fille de 13 ans qui en paraît 18 et qui bien sûr à fait une fixation et a harcelé l’innocent chauve ventripotent qui avait autorité sur elle et auquel elle aurait menti sur son âge, c’est pareil que de violer un bébé de 6 mois, tous les deux étant mineurs, et que donc si l’un peut bénéficier d’une explication foireuse supposée le rendre excusable, l’autre aussi. D’ailleurs ce n’est pas pour rien si la loi censée protéger les mineurs, votée début août, partie de deux affaires de viols de gamines de 11 ans par des extra-européens beaucoup plus âgés et pas condamnés car les victimes n’avaient pas pu prouver qu’elles n’étaient pas consentantes, a fait l’impasse, au dernier moment, sur cette problématique qui avait pourtant servi à justifier ce qui n’est plus désormais qu’une loi inutile de plus qui en outre, but de la manœuvre, entérine l’idée de consentement de l’enfant. Bravo Marlène. En outre, puisque l’amour est universel, et que nous vivons dans ce merveilleux monde arc-en-ciel où l’on peut avoir le genre et l’âge que l’on veut, pourquoi un petit garçon qui se sentirait comme ayant 40 ans ne pourrait pas avoir des relations avec un homme mûr, s’ils s’aiment ? C’est si beau l’amour. Pire si l’homme mûr lui se sent enfant, n’est-ce pas alors plutôt l’enfant qui aura commis un acte pédophile ? On voit jusqu’où cette confusion volontaire LGBtesque pourrait nous mener. Après la confusion on est désormais passé à la phase humanisation. Il y a même désormais un drapeau pédophile, tout en jolies couleurs pastel, calqué sur le drapeau LGBT, c’est si doux et mignon, ces gens ne peuvent pas être mauvais. Récemment, une jeune femme a même fait une conférence que je vous mets en lien pour expliquer la souffrance des pédophiles. Il faut sortir de ce piège de la souffrance dans lequel on est tombé avec le LGBT. Le bien commun, notion oubliée dont personne ne parle, doit passer avant la souffrance individuelle. La souffrance du pédophile, du cannibale et de certaines autres maladies mentales ou perversions, car si pour certains il s’agit d’une condition irrépressible, pour d’autre il s’agit juste d’un acte volontaire pervers, on s’en tape.
Tout le monde s’imagine que la perte de repères en matière de mœurs qu’on appelle libération est un progrès, certes, mais on progresse vers où, sachant que quand on est au bord d’un précipice, progresser n’est pas vraiment la meilleure chose à faire. Nous commettons toujours la même erreur d’imaginer que nos valeurs ont quelque chose d’universel. Ce n’est pas vrai. L’enfant n’est pas sacré partout, même chez nous avant l’avènement du christianisme il ne l’était pas toujours et encore, pendant longtemps, l’enfance s’arrêtait à sa frontière physique naturelle à savoir la puberté. De plus certaines cultures attribuent une valeur ou simplement la qualité d’être-humain uniquement à LEURS enfants. Il faut donc faire très attention à qui on laisse entrer sur notre territoire. Même si, il faut être clair, de nombreux pédophiles notoires et célèbres dans le cinéma et le show-biz viennent d’une autre communauté toxique et qu’on ne l’a pas attendu pour virer genre « Sodome et Gomorrhe », l’Islam dont le prophète est un pédophile assumé ou alors il faudra qu’on m’explique l’histoire d’ Aicha, et qui n’interdit pas la pratique, ne va pas non plus, en se répandant, améliorer les choses ; même s’il faut reconnaître que l’initiative de Farida Belghoul, il y a quelques années avec ses journées de retrait de l’école largement suivies par les musulmans, avaient pu donner quelques illusions à certains. Sans compter que s’ajoutent au tableau de nombreux migrants en rut qui ne peuvent trouver de partenaires par des moyens civilisés, dans une France qui, en outre, dispose d’un cheptel caprin palliatif très limité. Dans tous les cas, qu’elle vienne du haut ou du bas, on est cernés. La pédophilie est partout et a commencé sa grande offensive de destruction de notre civilisation allant jusqu’au bout de la logique de la marchandisation, avec la complicité du gouvernement et de l’éducation nationale qui prépare les enfants pour la cueillette à coup d’idéologie du genre et en leur imposant des problématiques sexuelles à un âge où cela ne devrait même pas faire partie de leur univers. A partir de la rentrée, dans l’indifférence générale, tous les enfants dès 3 ans recevront 3 heures annuelles obligatoires de ce qu’on appelle avec pudeur « éducation à la vie affective et sexuelle ». Étant donné qu’à cet âge les possibilités de conceptualisation théoriques sont limitées, à part de passer à la pratique et de leur apprendre à se faire des câlins et à se tripoter ou à tripoter leurs camarades de tous sexes, je vois mal comment la chose pourrait se réaliser. Il y a plusieurs facettes à la pédophilie, dont une maladive qui est simplement l’attirance sexuelle pour des personnes impubères ainsi qu’une composante perverse, les deux n’étant pas exclusives, qui vise non pas à abuser les enfants par la force, mais à pervertir la pureté qu’ils représentent en essayant de les manipuler pour déclencher chez eux des préoccupations sexuelles. C’est tout aussi jouissif, pour ces pervers, de parvenir à manipuler la société tout entière. Comme quand ils arrivent à dévier l’art de la quête du beau vers la quête du choquant et du scatologique. La pédophilie n’est qu’une composante de leur désir global de perversion et, ayant déjà sensiblement réussi sur tout le reste, la dernière frontière qu’il leur reste à conquérir. Mais si on ne voit que ça, on passe à côté de l’essentiel.
La pédophilie est un marché financier qui pèse des milliards, l’économie de certains pays repose largement sur le tourisme sexuel et, ce dont on parle moins, sur l’industrie du chantage politico-financier qui en découle, les services secrets de tout bord, et pas qu’eux, accumulant sur place photographies et vidéos compromettantes. Mais, ça va plus loin. Il faut bien comprendre que, dans tout système qui n’est pas une dictature absolue, et encore, il n’y a pas de véritable pouvoir sans pédophilie. La pédophilie n’est pas juste une maladie ou une perversion, c’est aussi un rite de passage et un moyen de pression dans des cercles ou règnent la magouille à de tels niveaux qu’il est vital que personne ne parle et que tout le monde fasse les pires choses sans poser de question. Je vous demande de vous poser une seconde, de faire appel à votre logique et de bien réfléchir au concept : quoi de plus efficace, dans une société occidentale, pour tenir quelqu’un par ce truc qui rime avec nouille, que de l’avoir en film en train de faire des horreurs à des gamins ou de faire partie des spectateurs avec une flute de champagne à la main quand ça se passe, horreurs qui, hélas, ne se limitent pas au viol et vont parfois jusqu’à la mort dans d’atroces souffrances ? Dites-moi ce qui pourrait être plus efficace que ça. Et si c’est, objectivement, la meilleure méthode, vous croyez vraiment que des gens qui brassent des milliards et déclenchent des guerres en rigolant vont utiliser autre chose que la meilleure méthode ? Vous croyez qu’ils vont hésiter ? Cherchez « Roger Holeindre Coral » si vous voulez avoir une vague idée de quoi je parle ou, à vos risques, utilisez Tor pour aller sur le dark web et cherchez « Clinton Snuff movie ». C’est ma conviction profonde que la pédophilie est le ciment de toute cette merde immonde qui nous gouverne. Et c’est un ciment solide.
Vous croyez vraiment que tous les dossiers que les membres de notre élite politico-médiatique ont les uns sur les autres se limitent à quelques magouilles et malversations ? Pourquoi croyez-vous que dès qu’on dénonce un scandale, après avoir fait tomber quelque lampiste, la chose s’arrête net comme par magie et ne remonte jamais jusqu’à sa source ? Qu’est-ce qui peut être assez fort pour empêcher toute crise de conscience rédemptrice ? Jamais, pas une fois !
En outre, c’est tellement horrible et hors du champ conceptuel de l’individu sain et normal que même en lui mettant les preuves sous le nez, comme le reportage “Viols d’enfants : La fin du silence” d’Elise Lucet pourtant diffusé sur FR3 en 99, il rejettera la chose comme étant trop énorme pour être crédible. Comment, ce type si propre sur lui pour lequel j’ai voté, qui parle si bien et qui s’affiche avec sa femme et ses gosses ferait partie d’un groupe satanique et découperai des bébés vivants avec un couteau électrique ? N’importe quoi ! Et même si les choses deviennent un peu trop visibles, quand on a dans sa manche des juges, des journalistes et des policiers, c’est facile de limiter la casse. Tous les procès de réseaux pédophiles finissent en eau de boudin.
Il ne faut pas croire que tous ceux qui sont entraînés là-dedans sont forcément à la base des pédophiles, des sadiques ou des adorateurs de Satan et autres déités exotiques, mais, toujours cette même jouissance de la perversion, on les compromet probablement avec une petite chose, on s’en sert ensuite pour les faire chanter pour qu’ils en commettent une plus grosse et ainsi de suite et, en parallèle, on les drogue à l’argent et au pouvoir jusqu’au point de non-retour, faisant qu’ensuite, comme une grande partie de nos élites, ils se shootent à la cocaïne pour pouvoir se regarder dans une glace. C’est le même principe d’engrenage que l’on retrouve dans le scandale récent impliquant supposément certains youtubeurs : on fait du chantage affectif à une gamine pour obtenir une photo d’elle nue, puis on menace de divulguer la photo pour obtenir des rapports sexuels, ensuite on se sert de la sextape pour obtenir encore autre chose et ainsi de suite.
Hollywood qui est un nid de pédophiles, comme en ont témoigné certains enfants acteurs comme ceux du film « les Goonies » sans que jamais la chose ne fasse un scandale médiatique, n’est pas la dernière à nous faire passer des messages subliminaux et à sexualiser des mini stars qui répandent dans la société cette tendance d’habiller les gamines comme de jeunes adultes. Le pire étant l’industrie de la musique qui, en introduisant des sonorités qui ne sont plus musicales et de la rythmique disruptive et addictive, génère une sorte de transe et d’abrutissement collectifs qui favorise l’endoctrinement, renforcé par des artistes qui véhiculent un contenu et une image hautement sexualisés.
Ceux qui sont en haut de la pyramide et qui ressemblent souvent à des momies desséchées ou des vampires (regardez Soros) sont confrontés tôt ou tard à la perspective, en dépit de leur fortune et de leur sentiment de toute puissance, de devoir crever comme un sans-dent. On peut certes trouver beaucoup de délires complotistes sur le web, mais en toute logique est-il aussi incohérent que ça d’imaginer que ces personnes, comme tendent à le démontrer leurs actions qui vont à l’encontre du bien commun et de la raison, puissent sombrer alors, quand la chose ne leur a pas déjà été transmise en héritage avec leur argent, dans la folie et le mysticisme, religieux ou non, et être prêts à accepter les pires délires ésotériques, du sacrifice humain à la consommation du sang de vierge ou de fœtus ? Le pire étant que, quand on creuse, en théorie, tout n’est pas scientifiquement infondé.
Aussi édifiant que cela puisse paraître, la pédophilie, comme le meurtre rituel, raison pour laquelle les deux sont souvent liés, est aussi, pour certains, simplement une méthode, un acte froid de libération de toutes ces conventions et de toutes ces barrières de sécurité qui les empêchent de prendre ce dont ils ont envie. Le transhumanisme poussé par les mêmes, n’est pas simplement quelque chose de physique, il s’agit de dépasser toutes les limites de l’humain, lequel s’arrête normalement à l’abject, il entend cette petite voix intérieure qui lui dit stop, il est capable de nausée et d’écœurement, même les pires criminels font la peau des pédophiles en prison, car même eux, bizarrement, ont une limite. Tout cela fait bien rire nos élites qui eux, peuvent tranquillement tuer des milliers d’enfants à coups de bombes, profitant du chaos pour alimenter les réseaux pédophiles, car, avec le trafic d’organes, et le pillage des réserves d’or, c’est à ça aussi que servent les guerres, tout en dormant la nuit comme des bébés.
Cette chaîne n’est pas monétisée et je ne vends rien. Je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste de développer, tant qu’on me laisse faire et pour ce qu’il vaut, un raisonnement logique, honnête et argumenté. Que vous soyez d’accord ou non, n’hésitez pas à apporter votre contribution dans les commentaires. Merci encore pour vos likes, votre soutien et vos partages et à bientôt… j’espère.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire