Bonjour,
Comme annoncé, je me remets doucement d’une opération chirurgicale bénigne mais qui fait que j’ai quand-même le bas du dos, le très bas du dos pour être précis, découpé comme un rumsteak halal en fin de ramadan ; orifice supplémentaire, mais heureusement provisoire, qui double, hélas, mes chances de me la faire mettre profond par le gouvernement lequel profite généralement de l’été et des surplus lubrifiants d’huile solaire pour faire passer les trucs les plus indigestes.
Il y a d’abord la loi Avia sur la haine en ligne, du nom de cette députée LREM rendue célèbre pour avoir, supposément, mordu un chauffeur de taxi. Pour ce qui est de la ligne, elle l’a perdue depuis longtemps mais elle semble au moins s’y connaître en matière de haine car, si c’était de l’amour, aimer son prochain comme on aime le poulet basquaise nous renverrait direct à ces clichés, dégoulinants d’un racisme répugnant, de ces explorateurs dans une marmite, à l’époque du « Yabon Banania ». Comme d’habitude, après Taubira, El Khomri et consorts, on fait passer les lois impopulaires (auprès des gens, pas des députés censés les représenter et dont seulement 33 ont voté contre) par des personnes issues de minorités, histoire de favoriser le vivre ensemble et de ne pas trop pointer du doigt les véritables instigateurs en cas de ruades intempestives du brave citoyen, tellement con et incapable de faire la part des choses, qu’il a besoin du gouvernement pour ne pas se muer en antisémite haineux au détour d’un tweet nauséabond violentant ses chastes oreilles. De même qu’il suffit de dire « Shazam » pour se transformer en « super-héros », il suffit d’un mot de haine pour nous transformer en super nazi colonisateur sexiste pédéphobe. Heureusement, nous voici à présent protégés de propos toxiques auxquels il suffit désormais d’être considérés par des cons sidérants comme « haineux » (sans aucune définition juridique, objective et impartiale du terme) pour obliger YouTube et autres Facebook, qui n’avaient pas vraiment besoin de cet encouragement, à effacer les contenus atteints de peste brune dans les 24 heures, sous peine d’amendes pouvant atteindre jusqu’à 4% de leur chiffre d’affaire.
Outre le fait que casser le thermomètre est aussi efficace pour soigner la fièvre qu’un nu de Claire O’Petit dans une banque du sperme, il s’agit là d’une censure « apriori » qui ne fait que s’empiler sur le lot d’atteintes à la liberté d’expression qui atteint des niveaux pas vus depuis que la guillotine révolutionnaire semait les germes de la pensée unique. Si les actes violents, selon de qui ils émanent, sont de plus en plus impunis, on n’hésite plus à prononcer des peines de prison pour des mots ou des dessins comme l’expérimentent Soral et autre Dieudonné, seul noir qu’on a le droit d’insulter en France et qui, s’il n’est peut-être pas tout blanc, notamment dans son affaire de fraude fiscale laquelle consiste, au pire, à refuser de se laisser prendre de l’argent qu’il a gagné alors que les politiques détournent, eux, en toute impunité, de l’argent qui n’est pas à eux, est, dans les faits, condamné pour tout autre chose.
Si l’on considère, avec Saint-Jean, « qu’au début était le verbe », ou le logos - et c’est une réflexion qui va bien au-delà de l’aspect religieux - lutter contre la liberté d’expression c’est se couper de notre essence même, c’est le choix des apparences contre la réalité, de l’orgueil contre l’humilité sans laquelle la suggestion de Socrate « connais-toi toi-même » est aussi périlleuse que se torcher les fesses pour le capitaine Crochet et, faute de contradiction logique, débouche sur les interrogations de genre et le LGBT. La parole c’est dangereux parce qu’on ne se sait pas vraiment d’où ça vient, sauf peut-être pour Marlène Schiappa qui doit avoir des connections neuronales directes avec son utérus (voire d’autres orifices dans la même zone géographique). Il nous semble qu’on construit une idée, qu’on l’exprime puis qu’on en fabrique une autre et ainsi de suite… En fait, quand on y prête attention, c’est plutôt comme si on ouvrait un robinet mystérieux dont on peut, certes, dans une certaine limite, canaliser le flux, qu’on peut filtrer et enrichir selon la profondeur de notre réflexion laquelle détermine la finesse du tuyau, mais la pression, elle, vient d’ailleurs. Les idées ne sont rien d’autre que de l’énergie qui, faute de mieux et en dépit des dénaturations intrinsèques à nos moyens imparfaits de communication et de conceptualisation, a besoin de passer par la parole ou l’écrit pour affecter notre réalité et si notre but collectif est de devenir autre chose que de simples blattes consommatrices qui bouffent, défèquent et se reproduisent, avec l’espérance de vie d’une pile alcaline dans la table de chevet d’Emmanuel Macron, nous devrions tendre à limiter ces dénaturations, au lieu de les augmenter par la censure, ce qui passe par ouvrir en grand le robinet de la liberté d’expression, de même qu’on laisse toujours couler un peu avant de se servir un verre d’eau audit robinet, verre qui n’en reste pas moins subtilement aromatisé aux hormones issues de toutes ces pilules contraceptives évacuées dans les urines et qui nous reviennent recyclées après, selon une étude britannique, avoir rendu transgenre un cinquième des poissons mâles.
Toujours est-il que ce qu’on laisse passer par les canalisations des réseaux sociaux n’est plus que de l’eau morte provenant du même réservoir putride et recyclé de la bienpensance morale. De l’eau sans vie, sans énergie qui fait qu’à ce comportement de blattes, nous ajoutons celui d’un virus qui va se développer jusqu’à extinction complète de son hôte lequel ne sera pas sauvé par des taxes carbone sachant que, à l’opposé, vivre en harmonie avec la nature n’est pas la solution non plus car, sans évolution technologique appropriée, nous sommes condamnés à mourir avec la terre que ce soit dans 10, 100, 1000 ans ou un million d’années, selon que nous soyons frappés par un astéroïde, ou que le soleil, regardant la lune avec trop de concupiscence, voie sa température augmenter, à moins que, plus trivialement, nous ne succombions aux conséquences des bombes à retardement chimiques, biologiques et nucléaires que nous avons enterrées un peu partout sans préoccupation pour les générations futures. Rien de tout cela ne se résoudra sans une totale liberté d’expression nécessaire pour, première étape, dénoncer et mettre à bas des élites qui n’œuvrent ni dans l’intérêt des peuples ni dans celui du concept foireux d’humanité qu’elles nous vendent.
Au début était le verbe, donc, et à la fin était… Schiappa qui nous propose, rien moins, qu’un grenelle sur les violences faites aux femmes (sauf celles faites aux femmes Gilets Jaunes sur ordre de son gouvernement). Visiblement, seule la crainte d’empiéter sur quelque copyright nous a évité un Nuremberg, le mâle blanc hétéro, apparemment pas encore assez castré et, faute de statistiques ethniques permettant de déterminer la part allogène des auteurs des décès déplorés, devenant le nouveau Nazi, la bête immonde à abattre. Le gouvernement, incapable (à supposer qu’il le veuille) de lutter contre le chômage ou de réparer les 25000 ponts qui menacent de s’effondrer en France, devait bien trouver quelque chose pour justifier son existence et ses généreux émoluments, si possible en nous divisant sur des sujets sociétaux histoire d’éviter qu’on finisse par se mettre tous d’accord, façon Gilets Jaunes du début, pour se débarrasser une fois pour toutes de cette mafia parasitaire dont on sait désormais que, même si, de par son ridicule, elle peut sembler n’être qu’un sujet de plaisanterie inoffensif, elle est capable, en France, et non plus seulement en Afrique et au Moyen-Orient, de tuer, mutiler, gazer, violenter ses opposants politiques juste pour se maintenir en place et permettre à des De Rugy de s’empiffrer en bande organisée et de vider les caves de l’assemblée à notre santé à moins que, dans un soucis écologique, il n’ait juste anticipé et tenté de remédier à une future surpopulation de homards due au réchauffement climatique.
Saisir la baballe qu’on nous tend sous l’angle de la logique et du bon sens sera perçu, et c’est le but recherché, par toute adhérente à l’idéologie qu’est devenu le féminisme comme une tentative de minimiser le problème et par toute femme qui a souffert dans sa chair de ce genre de pratique comme une insulte. Toujours le même combat de l’émotion, présentée à tort comme marque de notre humanité alors qu’elle est ce qu’il y a de plus animal en nous, contre la raison qui ferait de nous des « monstres » alors qu’elle est justement ce qui nous distingue de l’animal, sachant qu’il est toujours possible d’humaniser, après coup, une décision logique mais jamais de rendre logique une décision « humaine ». Fidèle au « en même temps » Macronien, il semblerait donc que les femmes, qui sauvent l’univers dans les productions hollywoodiennes et qui terrassent des gars trois fois plus gros qu’elles en talon aiguille et sans ruiner leur vernis à ongle, soient certes les égales des hommes, mais que les violences qui leur sont faites soient plus graves que celles qu’elles infligent car, c’est bien connu, les hommes ne se prennent jamais le contenu bouillant d’une poêle ou d’une casserole en pleine face et j’ai rêvé tous les objets plus ou moins oblongs ou tranchants qui m’ont été jetés, dans un périmètre dangereux, par de néanmoins charmantes personnes irritées par les difficultés que j’avais, durant mes jeunes années, comme (même si ça n’excuse rien) la plupart des musiciens, avec le concept de monogamie. La violence pouvant par ailleurs ne pas être forcément physique et quand, à la fin d’un repas, on vous sort, en vous posant le paquet de mort aux rats sur la table : « c’était bon ? », même si, au cas particulier, c’était du bluff, croyez-moi, ça fait drôle. Et je passe sur le harcèlement moral et l’instrumentalisation des enfants qui peuvent pousser certains hommes au désespoir. Tout ça pour dire que, comme le montrent les statistiques sérieuses, c’est plutôt fifty-fifty et qu’il y a deux faces à la pièce, aussi déplorables l’une que l’autre. En outre, même si le fantasme nourrit les téléfilms de série B américains, il est plutôt rare que le parfait gentleman se transforme du jour au lendemain en un individu violent. Généralement, si elles sont honnêtes, beaucoup de femmes admettent que le côté bourrin et sanguin de leur conjoint s’était déjà manifesté au début de la relation et qu’au lieu de tourner les talons elles ont été séduites ou sécurisées par la chose qui, lorsqu’elle se retourne contre elles, n’est alors (sans pour autant l’excuser et à l’instar de ces hommes qui se font avoir pour n’avoir focalisé leur attention que sur certaines parties charnues de leur conjointe) que la conséquence d’un manque évident de discernement dans le choix de leur partenaire sachant, chose qui n’a pas pu leur échapper au bout d’un moment, que, généralement, ces hommes sont de faux sanguins et, contrairement à des hommes virils qui n’hésiteront pas à rentrer dans le lard de n’importe qui et n’ont pas de ressentiment refoulé, eux se contrôlent très bien face à plus fort qu’eux, se défoulant seulement sur les plus faibles. De plus voter de nouvelles lois dans un monde qui s’effondre et dans lequel, en attendant le retour à la loi de la jungle, la sécurité basique des citoyens, tous sexes confondus, n’est plus assurée, c’est un peu comme mettre un panneau « interdit aux mouches » au lieu d’installer une moustiquaire.
Passons également sur la réforme de la fonction publique censée nous vendre l’idée que nos problèmes viennent du statut de nos fonctionnaires (qu’on s’ingénie par ailleurs à empêcher de fonctionner pour après dire qu’ils sont inefficaces et qu’il faut privatiser) et que le fait de les remplacer, sans toucher aux causes, par des précaires, détruisant ainsi, au passage, la seule niche d’emploi officiellement et honteusement réservée aux Français, serait , par je ne sais quel tour de passe-passe et selon la même logique consistant à privatiser les aéroports de Paris, de nature à améliorer la situation.
Je ne peux donc qu’encourager, sans illusions, mais l’espoir fait vivre, tous ceux qui ne sont pas contents et qui le peuvent à monter à Paris (sans Gilet Jaune) le 14 juillet histoire de chanter la sérénade à Macron à la face du Monde sachant que tout sera fait pour que la populace soit maintenue à distance des caméras des médias dominants.
Sur ce, j’ai le bas du dos qui commence à tirer et je retourne donc à ma convalescence, le but de cette vidéo étant principalement de vous informer que j’ai beau n’être qu’amour et petites fleurs et avoir la chance de n’avoir jamais eu à haïr personne, pendant que je mettais à profit cette pause forcée pour sous-titrer mes anciennes vidéos qui ne l’étaient pas, je me suis rendu compte que certaines avaient été censurées à l’insu de mon plein gré. L’eau monte donc à toute vitesse. J’ai donc, et ça fera plaisir à ceux qui me le demandent depuis longtemps, retranscrit la totalité de mes textes sur un vieux blog que j’ai réactivé pour l’occasion. Le nombre de vidéos étant considérable, j’ai automatisé une partie du boulot avec des macro-commandes et des scripts, donc je n’exclus pas que vous trouviez quelques coquilles de-ci, de-là. Vous trouverez le lien dans la description ainsi que celui de mes chaînes secondaires que je vous conseille de noter quelque part sachant que, si cette chaîne était supprimée, avant de passer à autre chose, je ferais une synthèse écrite, en PDF, afin, pour ce que ça vaut, qu’il subsiste une trace à l’intention de ceux qui seraient intéressés et que, grâce à ces liens, vous puissiez la récupérer.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
Comme annoncé, je me remets doucement d’une opération chirurgicale bénigne mais qui fait que j’ai quand-même le bas du dos, le très bas du dos pour être précis, découpé comme un rumsteak halal en fin de ramadan ; orifice supplémentaire, mais heureusement provisoire, qui double, hélas, mes chances de me la faire mettre profond par le gouvernement lequel profite généralement de l’été et des surplus lubrifiants d’huile solaire pour faire passer les trucs les plus indigestes.
Il y a d’abord la loi Avia sur la haine en ligne, du nom de cette députée LREM rendue célèbre pour avoir, supposément, mordu un chauffeur de taxi. Pour ce qui est de la ligne, elle l’a perdue depuis longtemps mais elle semble au moins s’y connaître en matière de haine car, si c’était de l’amour, aimer son prochain comme on aime le poulet basquaise nous renverrait direct à ces clichés, dégoulinants d’un racisme répugnant, de ces explorateurs dans une marmite, à l’époque du « Yabon Banania ». Comme d’habitude, après Taubira, El Khomri et consorts, on fait passer les lois impopulaires (auprès des gens, pas des députés censés les représenter et dont seulement 33 ont voté contre) par des personnes issues de minorités, histoire de favoriser le vivre ensemble et de ne pas trop pointer du doigt les véritables instigateurs en cas de ruades intempestives du brave citoyen, tellement con et incapable de faire la part des choses, qu’il a besoin du gouvernement pour ne pas se muer en antisémite haineux au détour d’un tweet nauséabond violentant ses chastes oreilles. De même qu’il suffit de dire « Shazam » pour se transformer en « super-héros », il suffit d’un mot de haine pour nous transformer en super nazi colonisateur sexiste pédéphobe. Heureusement, nous voici à présent protégés de propos toxiques auxquels il suffit désormais d’être considérés par des cons sidérants comme « haineux » (sans aucune définition juridique, objective et impartiale du terme) pour obliger YouTube et autres Facebook, qui n’avaient pas vraiment besoin de cet encouragement, à effacer les contenus atteints de peste brune dans les 24 heures, sous peine d’amendes pouvant atteindre jusqu’à 4% de leur chiffre d’affaire.
Outre le fait que casser le thermomètre est aussi efficace pour soigner la fièvre qu’un nu de Claire O’Petit dans une banque du sperme, il s’agit là d’une censure « apriori » qui ne fait que s’empiler sur le lot d’atteintes à la liberté d’expression qui atteint des niveaux pas vus depuis que la guillotine révolutionnaire semait les germes de la pensée unique. Si les actes violents, selon de qui ils émanent, sont de plus en plus impunis, on n’hésite plus à prononcer des peines de prison pour des mots ou des dessins comme l’expérimentent Soral et autre Dieudonné, seul noir qu’on a le droit d’insulter en France et qui, s’il n’est peut-être pas tout blanc, notamment dans son affaire de fraude fiscale laquelle consiste, au pire, à refuser de se laisser prendre de l’argent qu’il a gagné alors que les politiques détournent, eux, en toute impunité, de l’argent qui n’est pas à eux, est, dans les faits, condamné pour tout autre chose.
Si l’on considère, avec Saint-Jean, « qu’au début était le verbe », ou le logos - et c’est une réflexion qui va bien au-delà de l’aspect religieux - lutter contre la liberté d’expression c’est se couper de notre essence même, c’est le choix des apparences contre la réalité, de l’orgueil contre l’humilité sans laquelle la suggestion de Socrate « connais-toi toi-même » est aussi périlleuse que se torcher les fesses pour le capitaine Crochet et, faute de contradiction logique, débouche sur les interrogations de genre et le LGBT. La parole c’est dangereux parce qu’on ne se sait pas vraiment d’où ça vient, sauf peut-être pour Marlène Schiappa qui doit avoir des connections neuronales directes avec son utérus (voire d’autres orifices dans la même zone géographique). Il nous semble qu’on construit une idée, qu’on l’exprime puis qu’on en fabrique une autre et ainsi de suite… En fait, quand on y prête attention, c’est plutôt comme si on ouvrait un robinet mystérieux dont on peut, certes, dans une certaine limite, canaliser le flux, qu’on peut filtrer et enrichir selon la profondeur de notre réflexion laquelle détermine la finesse du tuyau, mais la pression, elle, vient d’ailleurs. Les idées ne sont rien d’autre que de l’énergie qui, faute de mieux et en dépit des dénaturations intrinsèques à nos moyens imparfaits de communication et de conceptualisation, a besoin de passer par la parole ou l’écrit pour affecter notre réalité et si notre but collectif est de devenir autre chose que de simples blattes consommatrices qui bouffent, défèquent et se reproduisent, avec l’espérance de vie d’une pile alcaline dans la table de chevet d’Emmanuel Macron, nous devrions tendre à limiter ces dénaturations, au lieu de les augmenter par la censure, ce qui passe par ouvrir en grand le robinet de la liberté d’expression, de même qu’on laisse toujours couler un peu avant de se servir un verre d’eau audit robinet, verre qui n’en reste pas moins subtilement aromatisé aux hormones issues de toutes ces pilules contraceptives évacuées dans les urines et qui nous reviennent recyclées après, selon une étude britannique, avoir rendu transgenre un cinquième des poissons mâles.
Toujours est-il que ce qu’on laisse passer par les canalisations des réseaux sociaux n’est plus que de l’eau morte provenant du même réservoir putride et recyclé de la bienpensance morale. De l’eau sans vie, sans énergie qui fait qu’à ce comportement de blattes, nous ajoutons celui d’un virus qui va se développer jusqu’à extinction complète de son hôte lequel ne sera pas sauvé par des taxes carbone sachant que, à l’opposé, vivre en harmonie avec la nature n’est pas la solution non plus car, sans évolution technologique appropriée, nous sommes condamnés à mourir avec la terre que ce soit dans 10, 100, 1000 ans ou un million d’années, selon que nous soyons frappés par un astéroïde, ou que le soleil, regardant la lune avec trop de concupiscence, voie sa température augmenter, à moins que, plus trivialement, nous ne succombions aux conséquences des bombes à retardement chimiques, biologiques et nucléaires que nous avons enterrées un peu partout sans préoccupation pour les générations futures. Rien de tout cela ne se résoudra sans une totale liberté d’expression nécessaire pour, première étape, dénoncer et mettre à bas des élites qui n’œuvrent ni dans l’intérêt des peuples ni dans celui du concept foireux d’humanité qu’elles nous vendent.
Au début était le verbe, donc, et à la fin était… Schiappa qui nous propose, rien moins, qu’un grenelle sur les violences faites aux femmes (sauf celles faites aux femmes Gilets Jaunes sur ordre de son gouvernement). Visiblement, seule la crainte d’empiéter sur quelque copyright nous a évité un Nuremberg, le mâle blanc hétéro, apparemment pas encore assez castré et, faute de statistiques ethniques permettant de déterminer la part allogène des auteurs des décès déplorés, devenant le nouveau Nazi, la bête immonde à abattre. Le gouvernement, incapable (à supposer qu’il le veuille) de lutter contre le chômage ou de réparer les 25000 ponts qui menacent de s’effondrer en France, devait bien trouver quelque chose pour justifier son existence et ses généreux émoluments, si possible en nous divisant sur des sujets sociétaux histoire d’éviter qu’on finisse par se mettre tous d’accord, façon Gilets Jaunes du début, pour se débarrasser une fois pour toutes de cette mafia parasitaire dont on sait désormais que, même si, de par son ridicule, elle peut sembler n’être qu’un sujet de plaisanterie inoffensif, elle est capable, en France, et non plus seulement en Afrique et au Moyen-Orient, de tuer, mutiler, gazer, violenter ses opposants politiques juste pour se maintenir en place et permettre à des De Rugy de s’empiffrer en bande organisée et de vider les caves de l’assemblée à notre santé à moins que, dans un soucis écologique, il n’ait juste anticipé et tenté de remédier à une future surpopulation de homards due au réchauffement climatique.
Saisir la baballe qu’on nous tend sous l’angle de la logique et du bon sens sera perçu, et c’est le but recherché, par toute adhérente à l’idéologie qu’est devenu le féminisme comme une tentative de minimiser le problème et par toute femme qui a souffert dans sa chair de ce genre de pratique comme une insulte. Toujours le même combat de l’émotion, présentée à tort comme marque de notre humanité alors qu’elle est ce qu’il y a de plus animal en nous, contre la raison qui ferait de nous des « monstres » alors qu’elle est justement ce qui nous distingue de l’animal, sachant qu’il est toujours possible d’humaniser, après coup, une décision logique mais jamais de rendre logique une décision « humaine ». Fidèle au « en même temps » Macronien, il semblerait donc que les femmes, qui sauvent l’univers dans les productions hollywoodiennes et qui terrassent des gars trois fois plus gros qu’elles en talon aiguille et sans ruiner leur vernis à ongle, soient certes les égales des hommes, mais que les violences qui leur sont faites soient plus graves que celles qu’elles infligent car, c’est bien connu, les hommes ne se prennent jamais le contenu bouillant d’une poêle ou d’une casserole en pleine face et j’ai rêvé tous les objets plus ou moins oblongs ou tranchants qui m’ont été jetés, dans un périmètre dangereux, par de néanmoins charmantes personnes irritées par les difficultés que j’avais, durant mes jeunes années, comme (même si ça n’excuse rien) la plupart des musiciens, avec le concept de monogamie. La violence pouvant par ailleurs ne pas être forcément physique et quand, à la fin d’un repas, on vous sort, en vous posant le paquet de mort aux rats sur la table : « c’était bon ? », même si, au cas particulier, c’était du bluff, croyez-moi, ça fait drôle. Et je passe sur le harcèlement moral et l’instrumentalisation des enfants qui peuvent pousser certains hommes au désespoir. Tout ça pour dire que, comme le montrent les statistiques sérieuses, c’est plutôt fifty-fifty et qu’il y a deux faces à la pièce, aussi déplorables l’une que l’autre. En outre, même si le fantasme nourrit les téléfilms de série B américains, il est plutôt rare que le parfait gentleman se transforme du jour au lendemain en un individu violent. Généralement, si elles sont honnêtes, beaucoup de femmes admettent que le côté bourrin et sanguin de leur conjoint s’était déjà manifesté au début de la relation et qu’au lieu de tourner les talons elles ont été séduites ou sécurisées par la chose qui, lorsqu’elle se retourne contre elles, n’est alors (sans pour autant l’excuser et à l’instar de ces hommes qui se font avoir pour n’avoir focalisé leur attention que sur certaines parties charnues de leur conjointe) que la conséquence d’un manque évident de discernement dans le choix de leur partenaire sachant, chose qui n’a pas pu leur échapper au bout d’un moment, que, généralement, ces hommes sont de faux sanguins et, contrairement à des hommes virils qui n’hésiteront pas à rentrer dans le lard de n’importe qui et n’ont pas de ressentiment refoulé, eux se contrôlent très bien face à plus fort qu’eux, se défoulant seulement sur les plus faibles. De plus voter de nouvelles lois dans un monde qui s’effondre et dans lequel, en attendant le retour à la loi de la jungle, la sécurité basique des citoyens, tous sexes confondus, n’est plus assurée, c’est un peu comme mettre un panneau « interdit aux mouches » au lieu d’installer une moustiquaire.
Passons également sur la réforme de la fonction publique censée nous vendre l’idée que nos problèmes viennent du statut de nos fonctionnaires (qu’on s’ingénie par ailleurs à empêcher de fonctionner pour après dire qu’ils sont inefficaces et qu’il faut privatiser) et que le fait de les remplacer, sans toucher aux causes, par des précaires, détruisant ainsi, au passage, la seule niche d’emploi officiellement et honteusement réservée aux Français, serait , par je ne sais quel tour de passe-passe et selon la même logique consistant à privatiser les aéroports de Paris, de nature à améliorer la situation.
Je ne peux donc qu’encourager, sans illusions, mais l’espoir fait vivre, tous ceux qui ne sont pas contents et qui le peuvent à monter à Paris (sans Gilet Jaune) le 14 juillet histoire de chanter la sérénade à Macron à la face du Monde sachant que tout sera fait pour que la populace soit maintenue à distance des caméras des médias dominants.
Sur ce, j’ai le bas du dos qui commence à tirer et je retourne donc à ma convalescence, le but de cette vidéo étant principalement de vous informer que j’ai beau n’être qu’amour et petites fleurs et avoir la chance de n’avoir jamais eu à haïr personne, pendant que je mettais à profit cette pause forcée pour sous-titrer mes anciennes vidéos qui ne l’étaient pas, je me suis rendu compte que certaines avaient été censurées à l’insu de mon plein gré. L’eau monte donc à toute vitesse. J’ai donc, et ça fera plaisir à ceux qui me le demandent depuis longtemps, retranscrit la totalité de mes textes sur un vieux blog que j’ai réactivé pour l’occasion. Le nombre de vidéos étant considérable, j’ai automatisé une partie du boulot avec des macro-commandes et des scripts, donc je n’exclus pas que vous trouviez quelques coquilles de-ci, de-là. Vous trouverez le lien dans la description ainsi que celui de mes chaînes secondaires que je vous conseille de noter quelque part sachant que, si cette chaîne était supprimée, avant de passer à autre chose, je ferais une synthèse écrite, en PDF, afin, pour ce que ça vaut, qu’il subsiste une trace à l’intention de ceux qui seraient intéressés et que, grâce à ces liens, vous puissiez la récupérer.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
Merci la mite j'adore tes paroles
RépondreSupprimerA bientôt de te lire
Toujours aussi excellent ! Points de vue lucides et surtout bourrés de pédagogie avec ses comparaisons truculentes. Merci pour ces bons moments
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