Bonjour,
quand on veut diviser pour régner, la meilleure façon de détruire quelqu’un ce n’est pas de lui taper dessus, c’est au contraire de laisser les autres s’en charger en le favorisant au vu et su de tout le monde alors-même qu’il n’a rien demandé. Ce meneur dans l’entreprise qui tend dangereusement à fédérer ses collègues, au lieu de le brimer et d’en faire un martyr il suffit de l’augmenter, lui et lui seul, et d’oublier par inadvertance une copie de sa feuille de paye à côté de la photocopieuse pour qu’il devienne instantanément un vendu dont tout le monde se méfie. De la même façon, les manœuvres semblant favoriser les femmes qui, elles non plus, dans leur majorité, n’ont rien demandé, avec des lois débiles et inapplicables, font que la colère légitime de beaucoup d’hommes va se tromper de cible et qu’au lieu d’être dirigée contre le gouvernement et les instigateurs, en couvrant par exemple Marlène Schiappa et sa bande de féministes hystériques qui s’arroge le droit de parler au nom des autres, de goudron et de plumes, cette colère va se tourner, et c’est le but, contre les femmes en général, creusant encore davantage le fossé artificiel de cette guerre des sexes qu’on nous impose. Donc, contrairement aux apparences, même si on pourrait croire que ce sont les hommes qui sont visés, ce sont bien les femmes la cible principale. Pour les hommes déjà largement émasculés le boulot est déjà fait, ce qui, la nature ayant horreur du vide, a eu pour conséquence de masculiniser certaines femmes en leur conférant une autorité basée non pas sur leur force physique mais sur la protection artificielle de la société, créant des soi-disant « femmes fortes » qui cesseront de l’être à la seconde où ladite société s’écroulera et où elles commenceront à prendre des baffes, c’est donc, à présent, au tour des véritables femmes fortes, celles qui s’obstinent à rester des femmes, d’être impitoyablement démolies. L’enjeu étant de briser le cœur nucléaire de la société, celui qui résiste encore un peu à la marchandisation.
Après l’homme, c’est donc au tour de la femme d’être dépouillée, une à une, de ses prérogatives, à commencer par la beauté. Dans un premier temps, ces usurpatrices qui se font appeler féministes, dont la laideur intérieure transparait souvent à l’extérieur, plutôt que de travailler sur elles-mêmes, se sont efforcées de rendre toutes les femmes aussi inattirantes qu’elles, crachant sur 2000 ans de civilisation, en régressant de façon tragi-comique vers la boule de poils hirsute et pas lavée cromagnonesque, les seuls upgrades tolérés étant les cheveux roses ou verts et le smartphone. Puis, après avoir violemment dénoncé le fait que celles qu’on a rétrogradées du titre prestigieux de mère, à celui de parent 2, soient un objet de désir, mettant au chômage un peu partout des hôtesses d’accueil trop sexy qui n’en demandaient certainement pas tant, voilà qu’on attribue désormais des titres de Miss à des transsexuels, comme récemment pour Miss Espagne. Je pense qu’il ne va plus falloir attendre très longtemps pour assister à des révélations en cascades et des coming-outs d’actrices connues qui se révéleront être des transsexuels et pour que, comme dans l’Angleterre puritaine élisabéthaine et jusqu’à Charles II, époque où le théâtre était interdit aux femmes, il devienne courant que des transsexuels jouent ouvertement des rôles féminins.
Si la dysphorie de genre est probablement aussi vieille que l’humanité et que l’on peut avoir une compassion légitime pour les personnes qui en souffrent, ce qui se passe avec les créatures artificielles qu’a enfantées la science moderne est totalement nouveau. J’ai eu récemment un commentaire assez touchant d’une personne trans qui dénonçait le mouvement LGBT, commentaire qui a malheureusement été retiré avant que j’aie eu le temps de lui répondre. En substance ce que je lui aurais dit c’est que je partageais son analyse et que, pour avoir eu l'occasion de pouvoir discuter ouvertement avec des personnes trans qui se sont avérées avoir la même position, je pense qu'elles sont nombreuses à penser que le LGBT ne représente pas plus les trans, que les hommes politiques le reste de la population. En effet, logiquement, un trans devrait, me semble-t-il, souhaiter être perçu comme une femme et vivre comme une femme dans un monde hétéronormé, puisque son problème identitaire tout entier est basé sur une distinction nette entre les deux genres. Du coup son but ultime devrait être qu'on ne le remarque pas comme trans, "trans" n'étant pas pour lui une identité mais une étape souvent douloureuse entre l'état mâle et l'état femelle (ou inversement). Le problème étant qu'on ne peut pas vivre comme une femme si on n'est pas perçu comme une femme, et, tout le monde n'étant pas Blaire White, certaines personnes ont des caractéristiques physiques qui rendent cet objectif complètement inatteignable, peu importent les sommes faramineuses qu’on leur extorque dans le processus, car l’enjeu est aussi économique. Créer pour eux, en leur piquant tout leur fric, une sorte de troisième sexe revendiqué qui les singularise est une absurdité d’un point de vue logique et ceux qui se complaisent là-dedans font montre d'une sorte de perversion morbide qui n'a plus rien à voir avec le désir honnête de s'intégrer discrètement dans la société et d’y vivre sa vie avec le sexe qu'on ressent mais démontre, au contraire, un plaisir jouissif (et parfois revanchard) à tenter de la détruire. On n’est plus là dans la tentative, à mon sens illusoire, de devenir femme, mais dans un processus de destruction qui vise non pas à s’identifier à la femme, mais à la remplacer par autre chose. Sachant que pendant qu’on prépare, par contre-coup, aux femmes européennes une vieillesse solitaire et amère avec des chats, solitude qu’elles tenteront de supporter en consommant toujours plus, les femmes extra-européennes continuent, elles, à pondre en masse une population de remplacement qui va éradiquer peu à peu toute trace de ce qui fut notre civilisation.
Il m’arrive souvent de critiquer l’Islam … en France, car si ça ne me gêne pas, sur le principe, que les gens respirent la moquette 5 fois par jour, vu que visiblement, au gouvernement, d’autres la fument, j’aimerais autant qu’ils aillent le faire ailleurs, car cette religion qui n’est pas contingentée à la sphère spirituelle mais qui contient, comme par ailleurs le judaïsme, une forte composante politique et prétend normer tous les aspects de la vie de ses adeptes, n’est pas, de fait, compatible, dès qu’elle cesse d’être anecdotique, avec le maintien de notre civilisation sur le long terme voire le moyen sinon le court. Pour autant, il faut se rendre à l’évidence ; et je ne sais pas si Allah est vraiment hakbar mais Mahomet était peut-être un visionnaire, étant donné que 1500 ans à l’avance, il avait anticipé la venue de Marlène Schiappa et de sa nouvelle absurdité consistant désormais, après le manspreading et le fait de parler aux femmes, à réprimer carrément le fait de les regarder, selon que ledit regard sera perçu comme appuyé ou non, ce qui, tant qu’on n’aura pas inventé l’appuyomètre, va être compliqué et laissé à l’appréciation des juges, lesquels comme chacun le sait sont d’infâmes machistes qui ne favorisent jamais les femmes. Du coup, et c’est peut-être aussi un des buts recherchés, en comparaison, la solution Islamique, consistant à recouvrir l’ensemble de la gent féminine avec un sac à patates en laissant, magnanimement, des trous pour les yeux, aurait presque un parfum de logique et de bon sens si l’alternative est de laisser les femmes faire péter leur décolleté ou passer un quart d’heure allongées sur leur lit pour rentrer dans un jean moulant, et encore une heure dans la salle de bain à concocter ce que le code de la consommation appellerait tromperie sur la marchandise, tout ça pour qu’on n’ait pas le droit de regarder. La rue étant à tout le monde, si on commence à interdire à certains de regarder, on doit, dans un souci de pure logique, aussi prévenir l’incitation au crime en instaurant un code vestimentaire, sinon, il n’y a pas d’égalité. Car il ne faut pas se leurrer, un homme ne peut pas s’empêcher de regarder une jolie femme, tout au plus avec l’expérience, apprend-il, quand il est accompagné et qu’il tient à ses chevilles, à contrôler l’amplitude de ses mouvements et à jouer sur sa vision périphérique, et une loi qui s’attaque à sa nature profonde et à quelque chose qui est codé dans ses gènes ne saurait être perçue que comme abusive. Il est donc clair que cette loi, qu’encore une fois la majorité des femmes n’a pas demandé, ne les protègera pas contre quoi que ce soit, pas en tout cas contre des légions de migrants économiques en rut, mais va, au contraire, à terme, paver la voie vers un régression de leurs droits, notamment en matière vestimentaire et jouer le jeu d’une islamisation rampante contre laquelle, preuve de leur ambivalence et de leur manque de sincérité, les féministes ne font rien, pas plus que Marlène Schiappa n’a dénoncé le fait que Benalla poussant jusqu’au bout la logique de l’égalité homme-femme a aussi tabassé une femme le 1er mai.
Il ne sert à rien de dénoncer l’immigration, l’islam, le sionisme, la maçonnerie, la finance, le mondialisme et la foultitude d’autres intérêts et groupes de pression qui convergent à détruire notre civilisation, si on n’est pas capables de restaurer la complémentarité homme femme qui est la base de tout l’édifice et c’est aux femmes qu’il incombe de mener cette révolution culturelle en faisant entendre leur voix.
Comme le démontrent les vidéos que je traduis, il y a de plus en plus de femmes intelligentes qui prennent conscience des attaques répétées contre la féminité qui se cachent derrière un féminisme inventé et poussé par le capital pour faire des femmes des esclaves salariées, libres uniquement de consommer, afin de faire baisser le coût du travail. J’ai moi-même une fille et il ne me viendrait jamais à l’idée de nier aux femmes qui le souhaitent la possibilité de s’épanouir professionnellement, mais quand la société leur impose un choix entre une carrière ou la maternité et que quand on leur tolère d’enfanter c’est à condition de laisser leurs enfant toujours plus jeunes dans des crèches et écoles maternelles dans lesquelles privés de l’amour inconditionnel que seule une mère peut apporter, au lieu de développer, pendant ces année cruciales, une personnalité riche, il vont apprendre, en plus de la théorie du genre et de comment se masturber, que le conformisme est la seule façon d’attirer l’attention des ersatz salariés auxquels on les confie, il y a peut-être un petit problème.
Je me refuse à croire qu’au pays de Descartes il n’y ait pas de femmes pour dénoncer ces choses en tout ou en partie sur YouTube, surtout quand je vois les commentaires élaborés et pertinents que certaines d’entre vous laissent sur mes vidéos. Donc, si vous décidez de faire entendre votre voix ou que vous connaissez quelqu’un qui le fait et qui manque de visibilité, n’hésitez pas à me faire passer les liens dans les commentaires, afin, qu’à mon modeste niveau, je puisse en faire la promotion.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours logique, honnête et argumenté. J’essaie autant que faire se peut de lire vos commentaires même si je n’ai, hélas, plus le temps de répondre à tout le monde ce qui ne signifie pas, loin s’en faut, que je ne tiens pas compte de vos remarques et de vos arguments. PewTube semblant avoir cessé définitivement son activité, il ne me reste plus que BitChute comme chaîne secondaire, lien que vous trouverez dans la description. On ne sait donc pas trop ce que l’avenir nous réserve, même si les anomalies que je constatais sur la chaîne semblent avoir cessé. Merci à tous ceux qui likent et surtout qui partagent, ce qui est souvent un acte de courage compte tenu du climat sur les réseaux sociaux et sans lesquels faute de promotion par YouTube, cette chaîne serait condamnée à stagner. Merci à tous pour votre soutien et votre fidélité et à bientôt … j’espère.
quand on veut diviser pour régner, la meilleure façon de détruire quelqu’un ce n’est pas de lui taper dessus, c’est au contraire de laisser les autres s’en charger en le favorisant au vu et su de tout le monde alors-même qu’il n’a rien demandé. Ce meneur dans l’entreprise qui tend dangereusement à fédérer ses collègues, au lieu de le brimer et d’en faire un martyr il suffit de l’augmenter, lui et lui seul, et d’oublier par inadvertance une copie de sa feuille de paye à côté de la photocopieuse pour qu’il devienne instantanément un vendu dont tout le monde se méfie. De la même façon, les manœuvres semblant favoriser les femmes qui, elles non plus, dans leur majorité, n’ont rien demandé, avec des lois débiles et inapplicables, font que la colère légitime de beaucoup d’hommes va se tromper de cible et qu’au lieu d’être dirigée contre le gouvernement et les instigateurs, en couvrant par exemple Marlène Schiappa et sa bande de féministes hystériques qui s’arroge le droit de parler au nom des autres, de goudron et de plumes, cette colère va se tourner, et c’est le but, contre les femmes en général, creusant encore davantage le fossé artificiel de cette guerre des sexes qu’on nous impose. Donc, contrairement aux apparences, même si on pourrait croire que ce sont les hommes qui sont visés, ce sont bien les femmes la cible principale. Pour les hommes déjà largement émasculés le boulot est déjà fait, ce qui, la nature ayant horreur du vide, a eu pour conséquence de masculiniser certaines femmes en leur conférant une autorité basée non pas sur leur force physique mais sur la protection artificielle de la société, créant des soi-disant « femmes fortes » qui cesseront de l’être à la seconde où ladite société s’écroulera et où elles commenceront à prendre des baffes, c’est donc, à présent, au tour des véritables femmes fortes, celles qui s’obstinent à rester des femmes, d’être impitoyablement démolies. L’enjeu étant de briser le cœur nucléaire de la société, celui qui résiste encore un peu à la marchandisation.
Après l’homme, c’est donc au tour de la femme d’être dépouillée, une à une, de ses prérogatives, à commencer par la beauté. Dans un premier temps, ces usurpatrices qui se font appeler féministes, dont la laideur intérieure transparait souvent à l’extérieur, plutôt que de travailler sur elles-mêmes, se sont efforcées de rendre toutes les femmes aussi inattirantes qu’elles, crachant sur 2000 ans de civilisation, en régressant de façon tragi-comique vers la boule de poils hirsute et pas lavée cromagnonesque, les seuls upgrades tolérés étant les cheveux roses ou verts et le smartphone. Puis, après avoir violemment dénoncé le fait que celles qu’on a rétrogradées du titre prestigieux de mère, à celui de parent 2, soient un objet de désir, mettant au chômage un peu partout des hôtesses d’accueil trop sexy qui n’en demandaient certainement pas tant, voilà qu’on attribue désormais des titres de Miss à des transsexuels, comme récemment pour Miss Espagne. Je pense qu’il ne va plus falloir attendre très longtemps pour assister à des révélations en cascades et des coming-outs d’actrices connues qui se révéleront être des transsexuels et pour que, comme dans l’Angleterre puritaine élisabéthaine et jusqu’à Charles II, époque où le théâtre était interdit aux femmes, il devienne courant que des transsexuels jouent ouvertement des rôles féminins.
Si la dysphorie de genre est probablement aussi vieille que l’humanité et que l’on peut avoir une compassion légitime pour les personnes qui en souffrent, ce qui se passe avec les créatures artificielles qu’a enfantées la science moderne est totalement nouveau. J’ai eu récemment un commentaire assez touchant d’une personne trans qui dénonçait le mouvement LGBT, commentaire qui a malheureusement été retiré avant que j’aie eu le temps de lui répondre. En substance ce que je lui aurais dit c’est que je partageais son analyse et que, pour avoir eu l'occasion de pouvoir discuter ouvertement avec des personnes trans qui se sont avérées avoir la même position, je pense qu'elles sont nombreuses à penser que le LGBT ne représente pas plus les trans, que les hommes politiques le reste de la population. En effet, logiquement, un trans devrait, me semble-t-il, souhaiter être perçu comme une femme et vivre comme une femme dans un monde hétéronormé, puisque son problème identitaire tout entier est basé sur une distinction nette entre les deux genres. Du coup son but ultime devrait être qu'on ne le remarque pas comme trans, "trans" n'étant pas pour lui une identité mais une étape souvent douloureuse entre l'état mâle et l'état femelle (ou inversement). Le problème étant qu'on ne peut pas vivre comme une femme si on n'est pas perçu comme une femme, et, tout le monde n'étant pas Blaire White, certaines personnes ont des caractéristiques physiques qui rendent cet objectif complètement inatteignable, peu importent les sommes faramineuses qu’on leur extorque dans le processus, car l’enjeu est aussi économique. Créer pour eux, en leur piquant tout leur fric, une sorte de troisième sexe revendiqué qui les singularise est une absurdité d’un point de vue logique et ceux qui se complaisent là-dedans font montre d'une sorte de perversion morbide qui n'a plus rien à voir avec le désir honnête de s'intégrer discrètement dans la société et d’y vivre sa vie avec le sexe qu'on ressent mais démontre, au contraire, un plaisir jouissif (et parfois revanchard) à tenter de la détruire. On n’est plus là dans la tentative, à mon sens illusoire, de devenir femme, mais dans un processus de destruction qui vise non pas à s’identifier à la femme, mais à la remplacer par autre chose. Sachant que pendant qu’on prépare, par contre-coup, aux femmes européennes une vieillesse solitaire et amère avec des chats, solitude qu’elles tenteront de supporter en consommant toujours plus, les femmes extra-européennes continuent, elles, à pondre en masse une population de remplacement qui va éradiquer peu à peu toute trace de ce qui fut notre civilisation.
Il m’arrive souvent de critiquer l’Islam … en France, car si ça ne me gêne pas, sur le principe, que les gens respirent la moquette 5 fois par jour, vu que visiblement, au gouvernement, d’autres la fument, j’aimerais autant qu’ils aillent le faire ailleurs, car cette religion qui n’est pas contingentée à la sphère spirituelle mais qui contient, comme par ailleurs le judaïsme, une forte composante politique et prétend normer tous les aspects de la vie de ses adeptes, n’est pas, de fait, compatible, dès qu’elle cesse d’être anecdotique, avec le maintien de notre civilisation sur le long terme voire le moyen sinon le court. Pour autant, il faut se rendre à l’évidence ; et je ne sais pas si Allah est vraiment hakbar mais Mahomet était peut-être un visionnaire, étant donné que 1500 ans à l’avance, il avait anticipé la venue de Marlène Schiappa et de sa nouvelle absurdité consistant désormais, après le manspreading et le fait de parler aux femmes, à réprimer carrément le fait de les regarder, selon que ledit regard sera perçu comme appuyé ou non, ce qui, tant qu’on n’aura pas inventé l’appuyomètre, va être compliqué et laissé à l’appréciation des juges, lesquels comme chacun le sait sont d’infâmes machistes qui ne favorisent jamais les femmes. Du coup, et c’est peut-être aussi un des buts recherchés, en comparaison, la solution Islamique, consistant à recouvrir l’ensemble de la gent féminine avec un sac à patates en laissant, magnanimement, des trous pour les yeux, aurait presque un parfum de logique et de bon sens si l’alternative est de laisser les femmes faire péter leur décolleté ou passer un quart d’heure allongées sur leur lit pour rentrer dans un jean moulant, et encore une heure dans la salle de bain à concocter ce que le code de la consommation appellerait tromperie sur la marchandise, tout ça pour qu’on n’ait pas le droit de regarder. La rue étant à tout le monde, si on commence à interdire à certains de regarder, on doit, dans un souci de pure logique, aussi prévenir l’incitation au crime en instaurant un code vestimentaire, sinon, il n’y a pas d’égalité. Car il ne faut pas se leurrer, un homme ne peut pas s’empêcher de regarder une jolie femme, tout au plus avec l’expérience, apprend-il, quand il est accompagné et qu’il tient à ses chevilles, à contrôler l’amplitude de ses mouvements et à jouer sur sa vision périphérique, et une loi qui s’attaque à sa nature profonde et à quelque chose qui est codé dans ses gènes ne saurait être perçue que comme abusive. Il est donc clair que cette loi, qu’encore une fois la majorité des femmes n’a pas demandé, ne les protègera pas contre quoi que ce soit, pas en tout cas contre des légions de migrants économiques en rut, mais va, au contraire, à terme, paver la voie vers un régression de leurs droits, notamment en matière vestimentaire et jouer le jeu d’une islamisation rampante contre laquelle, preuve de leur ambivalence et de leur manque de sincérité, les féministes ne font rien, pas plus que Marlène Schiappa n’a dénoncé le fait que Benalla poussant jusqu’au bout la logique de l’égalité homme-femme a aussi tabassé une femme le 1er mai.
Il ne sert à rien de dénoncer l’immigration, l’islam, le sionisme, la maçonnerie, la finance, le mondialisme et la foultitude d’autres intérêts et groupes de pression qui convergent à détruire notre civilisation, si on n’est pas capables de restaurer la complémentarité homme femme qui est la base de tout l’édifice et c’est aux femmes qu’il incombe de mener cette révolution culturelle en faisant entendre leur voix.
Comme le démontrent les vidéos que je traduis, il y a de plus en plus de femmes intelligentes qui prennent conscience des attaques répétées contre la féminité qui se cachent derrière un féminisme inventé et poussé par le capital pour faire des femmes des esclaves salariées, libres uniquement de consommer, afin de faire baisser le coût du travail. J’ai moi-même une fille et il ne me viendrait jamais à l’idée de nier aux femmes qui le souhaitent la possibilité de s’épanouir professionnellement, mais quand la société leur impose un choix entre une carrière ou la maternité et que quand on leur tolère d’enfanter c’est à condition de laisser leurs enfant toujours plus jeunes dans des crèches et écoles maternelles dans lesquelles privés de l’amour inconditionnel que seule une mère peut apporter, au lieu de développer, pendant ces année cruciales, une personnalité riche, il vont apprendre, en plus de la théorie du genre et de comment se masturber, que le conformisme est la seule façon d’attirer l’attention des ersatz salariés auxquels on les confie, il y a peut-être un petit problème.
Je me refuse à croire qu’au pays de Descartes il n’y ait pas de femmes pour dénoncer ces choses en tout ou en partie sur YouTube, surtout quand je vois les commentaires élaborés et pertinents que certaines d’entre vous laissent sur mes vidéos. Donc, si vous décidez de faire entendre votre voix ou que vous connaissez quelqu’un qui le fait et qui manque de visibilité, n’hésitez pas à me faire passer les liens dans les commentaires, afin, qu’à mon modeste niveau, je puisse en faire la promotion.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours logique, honnête et argumenté. J’essaie autant que faire se peut de lire vos commentaires même si je n’ai, hélas, plus le temps de répondre à tout le monde ce qui ne signifie pas, loin s’en faut, que je ne tiens pas compte de vos remarques et de vos arguments. PewTube semblant avoir cessé définitivement son activité, il ne me reste plus que BitChute comme chaîne secondaire, lien que vous trouverez dans la description. On ne sait donc pas trop ce que l’avenir nous réserve, même si les anomalies que je constatais sur la chaîne semblent avoir cessé. Merci à tous ceux qui likent et surtout qui partagent, ce qui est souvent un acte de courage compte tenu du climat sur les réseaux sociaux et sans lesquels faute de promotion par YouTube, cette chaîne serait condamnée à stagner. Merci à tous pour votre soutien et votre fidélité et à bientôt … j’espère.
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