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samedi 6 juillet 2019

Pourquoi les super-héros c'est pas terrible ! (21 nov. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/lIZlIPpQxlk



Bonjour,
chaque pays a les superhéros qu’il mérite, les américains ont Spiderman, nous on a eu François Hollande doté du pouvoir de redresser la courbe du chômage à mains nues. Un pouvoir tellement terrifiant que dans sa grande sagesse, il n’a jamais osé l’utiliser. Depuis on a macron qui à défaut de voler, plane, peut téléporter des migrants sur nos côtes, désintégrer les acquis sociaux et détecter instantanément dans un rayon de 10 kilomètres la présence d’un éphèbe torse nu.
Même Stan Lee le créateur de l’univers Marvel dont sont issus Spiderman, les X-men et autres Hulk et qui est décédé récemment n’aurait pu imaginer dans son cerveau pourtant fertile, une telle combinaison de super-pouvoirs que le monde, quand il n’est pas plié de rire, nous envie. Le décès de Stan Lee a suscité une vive émotion, notament aux États-Unis, où le comics est une véritable institution (raison pour laquelle j’ai aussi fait une version un peu différente de cette vidéo en anglais pour ceux que ça intéresse). Beaucoup de gens intelligents y gaspillent leurs neurones à se demander qui gagnerait dans un combat opposant Spiderman à Batman ou Hulk à Superman, adversaires provenant du concurrent de Marvel DC comics, qui compte également dans son écurie Flash, Wonder Woman et autres Aquaman.
Avec Stan Lee, on nous refait le coup de Steve Jobs, élevant à sa mort au rang de bienfaiteur de l’humanité quelqu’un qui a juste gagné du pognon, non en soignant le cancer mais en créant une addiction toxique à un produit dont ladite humanité n’avait pas besoin pour évoluer dans la bonne direction.  Il n’en reste pas moins que les deux étaient des esprits brillants et des visionnaires. Quand vous avez ce genre de profil, vous avez 9 chances sur 10, ne me demandez pas pourquoi, mais c’est comme ça,  que ces personnes soient ce que, avec 2 strikes YouTube au compteur, je vais prudemment appeler des Schtroumpfs, et dans les deux cas, ça se vérifie encore.
Certains y verront un complot Schtroumpf qui viserait au délitement de la civilisation issue de la chrétienté. A leur décharge, c’est vrai que, au premier abord, des gens comme Soros et beaucoup d’autres qu’on retrouve sous chaque caillou que l’on soulève sur la pente de notre dégénérescence, tendraient à accréditer cette thèse, pour autant outre qu’il serait malhonnête d’associer tous leurs coreligionnaires à leurs projets délétères, ils ne sont pas les seuls à agir de concert pour nous pousser dans cette direction, nonobstant le fait que notre comportement viral en tant qu’espèce, incapable de se réfréner et d’éviter la destruction complète de son hôte, nous pousse déjà  naturellement, à la base, dans cette voie. En outre, comme dotés en moyenne d’un QI plus élevé que nous, ils sont logiquement plus nombreux à arriver à des postes de pouvoir, on peut aussi considérer qu’ils sont donc simplement plus nombreux à être fous (même s’il est évident vu le niveau proche de la crevette hydrocéphale de certains dans les médias, qu’il y a aussi des cas de pistonnage communautaire). Il faut bien comprendre que nous sommes tous un peu cinglés et qu’en tant qu’être social, comme les fourmis, nous restons fonctionnels tant que nous nous maintenons dans les limites de notre modeste fonction coopérative, nous ne sommes pas taillés pour devenir riche, célèbre ou les deux et quand ça arrive notre folie, privée de garde-fous, a tendance à partir en sucette. Pour les Schtroumpfs c’est encore pire, car si nous sommes simplement des individus qui collaborent, ils sont eux, un être collectif éternel, qui ne meurt pas et donc n’oublie pas et devra subir jusqu’à la fin des temps le traumaSchtroumpf des camps hitlériens, nous obligeant à un devoir de mémoire qui n’est pas naturel pour le reste de la population pour qui la Saint Barthélémy, les Chouans ou les Cathares sont juste des noms sur des livres d’histoire et qui appréciait qu’Hitler les y rejoigne pour qu’on puisse enfin aller de l’avant.
On me dira que les premières personnes avec lesquelles Stan Lee a été embauché pour collaborer, comme le talentueux Jack Kirby, étaient Schtroumpfes. Ce n’est pas choquant si l’on considère que la probabilité de trouver des employés norvégiens dans un restaurant chinois ou un Kebab n’est pas très élevée et que contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire avec l’enfumage de la discrimination, il est naturel quand on a une entreprise de s’entourer de gens comme soi dont on comprend le fonctionnement et en qui on peut avoir confiance. C’est ce qui explique que dans les médias possédés ou dirigés par des Schtroumpfs leur proportion, de la femme de ménage au PDG, est sensiblement plus élevée que dans le reste de la population. Ça ne me choque pas, ma seule critique à ce niveau étant qu’on ne puisse pas faire pareil. Toujours est-il que tant de par cette concentration naturelle qu’en raison de ses obsessions spécifiques, si un Schtroumpf, souvent brillant, peut apporter beaucoup à une société quand il est dentiste, docteur, avocat, négociant… il a le potentiel, même si encore une fois, il ne faut pas généraliser, de devenir toxique dès qu’il devient influenceur d’opinion, même en tant que simple professeur, poussant toute une société à partager ses obsessions et à partir à la chasse au nazi fantôme, tout en négligeant les véritables dangers qui la menacent. Nul doute que Stan Lee n’avait rien à voir avec Soros et on sent qu’au fond il s’agissait d’un brave type, mais inconsciemment pour certains, et consciemment pour d’autres, Hitler ayant promu sa vision du mâle alpha et s’étant quasiment accaparé le concept, beaucoup de Schtroumpfs influenceurs qui ressemblent plus à Woody Allen qu’à cet archétype ont tendance à modeler la société pour rejeter la virilité en bloc, promouvoir le féminisme  et favoriser la mutation des non-Schtroumpfs en bêta-mâles moins menaçants. Et c’est exactement ce qu’a fait Stan Lee.
Spiderman ? Un binoclard chétif qui se fait mordre par une araignée radioactive et se voit doté d’une force qu’il n’a pas méritée ou gagnée et qui lui permet entre autres de prendre sa revanche sur le mâle alpha, qui plus est blond, de la série, Flash Thompson, présenté comme un méchant harceleur.
Captain America ? Un homuncule malingre complexé par sa morphologie qui se voit injecter un sérum et devient un super soldat qui s’en va combattre, devinez quoi ? Les nazis. Ensuite, il se retrouve congelé pendant des décennies et, à son réveil, vivant lui aussi dans le passé, comme les schtroumpfs, il continue à lutter contre des nazis ou des ersatz de nazis au doux nom de crâne rouge ou Hydra.
Thor ? Un docteur malingre et de surcroît boiteux qui trouve un bâton lequel lui sert de canne la journée et peut se transformer en marteau lui conférant les pouvoirs et l’apparence du fils d’Odin.
Daredevil, hulk, la liste est longue… Sachant, pour les puristes, que je me base sur les premières versions de ces histoires que je suis assez vieux pour avoir lues quand j’avais 8 ans. A cette lointaine époque perdue aux confins du Pléiostène Supérieur dans la spirale du temps qui passe, Nick Fury par exemple était encore blanc, avant que, histoire de gommer le passé comme on le fait avec l’histoire, on ne commence à tout réécrire pour changer la couleur et le sexe des anciens personnages, au lieu de se limiter à en créer de nouveaux, par ailleurs généralement gays et même transgenres. Faut bien faire rêver les gosses.
Toujours est-il que le message précurseur véhiculé, et repris depuis par l’industrie du virtuel, qui fait qu’on se fait bouffer dans la vraie vie, est : « pas la peine de faire de l’exercice et de t’emmerder avec une réalité qui n’existe pas tant que tu ne la vois pas, reste juste sur ton canapé à bouffer des chips en lisant des comics et en espérant qu’une araignée compatissante transforme en carrosse la citrouille de ta vie de merde ». On m’objectera que pour certaines personnes ça a eu l’effet contraire, tout aussi délétère, de promouvoir un idéal corporel non plus visant à la force et la santé mais axé sur un souci d’esthétique d’essence féminine et qui n’est pas pour rien dans le développement du culturisme, avec, là-aussi, comme pour Steve Rogers (petit nom de Captain America), le recours à des sérums magiques pour devenir massifs. Toujours est-il que cet état d’esprit est une catastrophe pour nos sociétés. Quand les jeunes garçons gaspillent leur énergie créatrice à réfléchir à ce qu’ils feraient s’ils avaient des pouvoirs au lieu de rêver à ce qu’ils pourraient accomplir avec ce qu’ils ont déjà, c’est grave. Cette pollution délétère du temps de cerveau disponible est du même ordre que celle qui fait que quasiment tout le monde a une vague idée de quoi faire en cas d’attaque, pour le moins improbable, de zombies, mais que personne ne sait quoi faire quand quelqu’un nous attaque avec un couteau avec ou sans Allahou Akhbar en cadeau-Bonux.
Mais ce n’est pas tout. Que font les superhéros de Stan Lee avec leurs pouvoirs. Si j’étais mordu par une araignée, après avoir soigneusement désinfecté la plaie, je mettrais un gilet jaune et j’irais probablement récupérer Macron à l’Élysée histoire d’avoir une conversation civilisée et honnête et pour être sûr qu’il m’écoute, l’individu ayant tendance à être facilement distrait, il se retrouverait certainement suspendu dans le vide par les pieds en haut de la tour Eiffel pendant que je parle. Et si j’étais Hulk sur le sol américain, je rendrais une courtoise visite aux membres du conseil d’administration de la FED histoire de tester jusqu’à qu’elle à quelle hauteur je peux les lancer en espérant que la chose n’abimerait aucun des satellites en orbite. Mais encore une fois, qui combattent les super héros ? Des banksters ? Jamais. Des politiciens ? Jamais. L’état profond et les lobbies ? Encore moins. Ça serait bien pourtant : les vengeurs contre Bilderberg, les X-men et le retour du Grand Orient, Thor et le mystère des chemtrails. Mais à la place, ils combattent des nazis, des ersatz de nazis et des archétypes de mâles alpha crétinisés par le scénario pour que le mauvais usage qu’ils font de leur pouvoir soit un défi à la logique et du même niveau zéro de conscience politique, à l’exception peut-être de Fatalis, docteur Doom pour les américains. Tout comme Hollywood, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, ils nous entraînent dans leur délire et ne nous montrent que des faux coupables, ou des caricatures. Et même quand ils combattent des envahisseurs c’est ce genre, et jamais celui-là.
C’est toxique pour notre civilisation. La première fois que j’ai lu Thor, du haut de mes 8 ans j’étais dans une colère noire, car en introduisant des dieux dans le mix, ils avaient détruit le substrat pseudo-scientifique qui assurait la cohérence du système. C’était aussi, au passage, un moyen détourné et subliminal de s’attaquer au substrat catholique qui supporte notre civilisation. En principe, les contes de fées et la pensée magique correspondent mieux au schéma de pensée féminin, les femmes étant par exemple plus versées sur l’astrologie et le mystique que l’homme, non franc-maçon, qui raisonne différemment. Là on était déjà limite en termes de féminisation, visant à faire des hommes des rêveurs éveillés lesquels ne bénéficient pas eux de l’expérience de la maternité pour leur foutre la baffe salutaire qui les ramènera sur Terre. Il ne manquait plus qu’une chose au tableau pour finir de jeter aux chiottes toute chance de pensée constructive : la magie. Et paf, bonjour docteur Strange. A partir de là j’ai laissé tomber, la chose n’étant plus qu’une version pour garçons des contes de fées. Et qu’au bout du compte, Marvel ait été rachetée par Disney est absolument logique.
Je comprends que pour beaucoup de gens, Stan Lee était un type brillant et sympa, et probablement qu’il l’était, mais comme beaucoup de Schtroumpfs quand ils ont l’opportunité d’être des influenceurs publics, il a réussi à nous affaiblir en découvrant une nouvelle addiction capable de changer dans le mauvais sens notre façon de penser, l’ensemble de toutes ces addictions contribuant à nous rendre incapables de faire ce que nous faisons habituellement le mieux, construire et maintenir une civilisation.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours honnête, logique et argumenté sans auto-censure ce qui avec 2 strikes YouTube au compteur commence à devenir compliqué. Je vous mets donc par sécurité le lien de mes chaînes secondaires dans la description. Cette chaîne par principe n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public avant que la censure ne me fasse taire définitivement, sachant que, grâce à vous, le cap des 15 000 abonnés a été dépassé contre vents et marées. Merci du fond du cœur et à bientôt… j’espère.

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