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jeudi 4 juillet 2019

Comment le féminisme a entubé les femmes. (9 sept. 2017)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/nz1wh6K8EjQ



Bonjour, traditionnellement, et c'est grâce à ça que nous avons survécu jusqu'à aujourd'hui, la femme avait un rôle fondamental, au sens propre du terme, parfois ingrat et qui demandait beaucoup d'abnégation et de sacrifices, consistant à élever elle-même ses enfants et à en faire des individus sains et équilibrés en leur garantissant un environnement familial stable, lequel ne pouvait s'obtenir qu'en faisant les efforts nécessaires pour être une bonne compagne vers laquelle l'homme aurait envie de retourner et pour laquelle il serait, en retour, prêt à tous les sacrifices pour assurer la subsistance et la sécurité de sa famille, surtout quand il fallait, pour cela, aller dehors, dans la neige, affronter des mammouths et des tigres à dents de sabre. Cette stabilité assurait celle de la société tout entière, augmentant, génération après génération, le nombre d'individus équilibrés avec, pour résultat, en dépit des guerres et autres aléas, une société toujours plus humaine et une civilisation toujours plus aboutie. Ce n'était facile pour personne, mais l'homme se sentait utile et respecté et la femme pouvait, à minima, s'épanouir en tant que mère en accomplissant ce pour quoi la nature l'avait faite. Il est bien-sûr évident qu'une femme est aussi un être humain et qu'en tant que tel elle a des aspirations qui ne sont pas déterminées par son sexe et que c'est une bonne chose que la société ait évolué jusqu'à ce que le choix lui ait été donné de pouvoir les réaliser, mais il s'agit d'un choix! et c'est là que le féminisme qui au départ partait d'un bon sentiment et n'était pas une mauvaise chose est parti en cacahuète car, contrairement à ce que ledit féminisme lui fait croire, ce qui est rien moins qu'une escroquerie intellectuelle, en faisant ce choix, elle n'a pas plus, mais autre chose. Il n'y a que 24 heures par jour et ce que l'on gagne d'un côté, on le perd de l'autre. Le boulot de mère et de compagne nécessitant, sinon un plein-temps, une constante disponibilité pour être bien fait, les conséquences peuvent être particulièrement néfastes. Certes, une femme qui a eu ses enfants jeune peut parfaitement avoir le beurre et l'argent du beurre en démarrant une nouvelle vie à 40 ans afin de satisfaire ses aspirations, tout en évitant le spectre d'une vieillesse solitaire et amère. En revanche, celles qui succombent aux sirènes du féminisme, devenu idéologique, afin d'éviter le soi-disant "asservissement du foyer" deviennent, en croyant s'émanciper, des esclaves salariées et passent les années durant lesquelles elles ont, sexuellement, la plus forte valeur et ont le plus de choix pour trouver un partenaire décent qui ferait un bon père pour leurs enfants, à jouer les cigales et à se faire, pour les plus chanceuses, une situation, pour ensuite se retrouver, à ans, à se demander pourquoi il n'y a plus, sur le marché, de types biens disposés à satisfaire leur horloge biologique qui s'emballe. En outre, il n'est qu'à écouter certaines pour savoir pourquoi les Américains les appellent des me me me (moi moi moi) tant la doxa les a persuadées à l'instar du slogan l’Oréal "parce que je le vaux bien' qu'elles méritent un homme, de statut social supérieur, qui les aimera pour ce qu'elles sont sans qu'elles n'aient à faire le moindre effort tandis que, comme tous les produits de consommation avec lesquels elles tentent de combler le vide de leur existence, il répondra, lui, à toutes leurs spécifications techniques et exigences, lesquelles augmentent avec les années jusqu'à la prise de conscience douloureuse, quand elles se prennent la réalité en pleine face, du gâchis qu'a été leur vie. Sans compter que les rares individus potentiellement intéressés, sachant qu'en cas de divorce, même lorsqu'il n'en sont pas à l'initiative, une justice sexiste, raison de l'augmentation desdits divorces pour des raisons futiles ou des états-d'âme, les contraindra à des compensations financières tout en les privant de leurs enfants éventuels, vont y regarder à deux fois, d'où l'éclosion et l'expansion foudroyante des Sōshoku Danshi (草食男子) au Japon et des MGTOW aux États-Unis qui préfèrent renoncer définitivement aux femmes et mener leur petite vie peinard, le jeu n'en valant plus la chandelle. Quant à celles qui croient parvenir à conjuguer les deux, en dehors des femmes aisées qui font changer les couches par d'autres, moins aisés, et des quelques Super-Women qui, en apparence en tout cas, prétendent y arriver, elles ne récoltent généralement que le pire des deux mondes. Leur travail, pour lequel leur manque de totale disponibilité fait qu'elles sont moins payées et qu'elles progressent moins vite que leurs collègues masculins, ne leur laissant du temps, à la maison, que pour les tâches ménagères et pas pour les moments gratifiants passés avec leurs enfants auxquels elles n'ont même plus le temps, ni l'énergie, de confectionner des repas sains et équilibrés. Certaines loupent jusqu'aux premiers pas ou premiers mots desdits enfants et je n'imagine même pas le coup de poignard dans le cœur que ce doit être quand c'est la nounou ou la crèche qui raconte comment la chose s'est passée. Quant à leur vie de couple... Quand leur conjoint rentre à la maison, au lieu d'un nid douillet dans lequel il peut se détendre, raconter sa journée et évacuer ses tensions, c'est lui qui doit écouter sa conjointe se décharger de ses problèmes de boulot au milieu des cris qui sont la seule façon de gérer des enfants stressés et bruyants quand on n'a pas de temps à leur consacrer et qu'on n'a pas les moyens de leur acheter une console et de les faire éduquer par la télé. Du coup, on assiste à une explosion des mères célibataires, peu susceptibles de pouvoir se recaser avec un homme doté de plus de trois neurones fonctionnels, phénomène aggravé par le fait qu'on a fait croire aux jeunes femmes, au nom d'une égalité totalement artificielle, qu'elles pouvaient, sans conséquence, se comporter comme des hommes et papillonner comme bon leur semble. Des femmes qui, en dépit de signes avant-coureurs souvent perceptibles, choisissent des hommes violents ou des bad boys à problèmes, qu'elles finissent par quitter mais dont elles contribuent à propager le matériel génétique, l’État subventionnant ce comportement irresponsable par des aides variées, accélérant, de fait, la dislocation de la famille et la naissance de générations d'individus sans bases émotionnelles stables, de moins en moins capables de rationalité et d'autant plus susceptibles de reproduire le phénomène. L'égalité homme-femme vendue par le féminisme, en conformité totale avec le credo républicain, est une conception purement idéologique. La seule égalité qui peut se concevoir c'est le droit au respect mutuel lequel est la conséquence directe des valeurs inculquées par les mères à leur progéniture. Si les mères ont bien fait leur job, leurs fils respecteront les femmes. Malheureusement cette tâche est de plus en plus dévolue à l’État. Ce n'est pas pour rien qu'on est passé du ministère de l'instruction publique à celui de l'éducation nationale, lequel est bien content de pouvoir ainsi laver le cerveau à des enfants de plus en plus jeunes avec la bonne parole égalitariste et droit-de-l’hommiste avec, en prime, une pincée de théorie du genre. Du coup on assiste à des raisonnements du type :" si on est égaux, il n'y a pas de raison de porter secours à une femme ou de ne pas la traiter comme un homme en lui donnant un coup de poing". Après tout, depuis la sublime Emma Peel et la plantureuse Xéna la guerrière, le cinéma et la télé nous abreuvent, jusqu'à plus soif, de femmes en talons-aiguilles qui terrassent des types trois fois plus gros qu'elles sans défaire leur brushing ou abîmer leur vernis à ongles. Dans la réalité c'est plutôt ça surtout depuis l'importation de populations produites en chaîne par des mères qui les laissent pousser tout seuls comme des mauvaises herbes et dont on attend impatiemment qu'elle nous gratifie des futurs Montaigne prophétisés par Francis Huster. Cette égalité d'opérette et, dans la foulée, le mythe de la femme indépendante qu'on glorifie dans les films et les séries, croulant sous les prétendants qui se battent pour ses beaux yeux et en train de s'envoyer en l'air dans l'insouciance d'une éternelle jeunesse tandis qu'on dépeint les femmes au foyer comme des pauvres hères couvertes de vomi et de couches culottes, ne font illusion que tant que la société est suffisamment fonctionnelle pour assurer la protection physique des femmes et les protéger des conséquences de leurs actions et parfois de leur irresponsabilité. Au fur et à mesure que ladite société se désagrège, on assiste à un retour de la loi de la jungle, cette protection se délite et les femmes, faute d'hommes qui aient encore l'envie ou, conséquence de la castration culturelle permanente, les cojones, de les protéger, commencent à prendre littéralement des coups, se font violer en masse par des populations allogènes qui les considèrent comme de la viande et se retrouvent de plus en plus dans une misère affective et financière, l’État, ruiné, préférant, afin de préserver encore un peu la paix civile, tourner ses largesses vers des femmes de la diversité, célibataires sur le papier mais mariées religieusement et dont le mari fantôme, qui squatte officieusement l'appartement, leur fait un petit Français statistique par an, avec la régularité d'un métronome, sans que cela n'éveille les suspicions de la CAF quant audit statut de célibataire. J'ai eu un temps un appartement à la location dans un quartier sensible et je sais de quoi je parle. Le féminisme est la négation de la féminité en ce sens qu'il dévalorise et va jusqu'à nier le rôle de la maternité et de l'abnégation naturelle qui va avec, dans l'accomplissement satisfaisant d'une vie de femme. Le pire est, qu'appâtées par la pseudo émancipation de l'esclavage salarié, avec comme seule contrepartie la possibilité de consommer davantage de produits souvent futiles, les femmes ont massivement investi le marché du travail, faisant baisser les salaires au point que désormais, même celles qui le souhaitent, ne peuvent plus rester à la maison, le salaire de leurs conjoints n'étant plus suffisants à assurer une qualité de vie décente et, l'immigration massive ayant, dans l'intervalle, mis la touche finale à ladite baisse des salaires. Résultat : les femmes n'ont jamais été aussi malheureuses, les hommes aussi désœuvrés et les enfants aussi peu préparés à affronter l'avenir difficile qui les attend. Merci de liker et de partager et si vous avez des arguments complémentaires ou contradictoires à faire valoir, les commentaires sont là pour ça.

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