Bonjour,
j’en vois souvent qui se lamentent dans les commentaires parce que si tout ce que je dénonce et beaucoup d’autres avec moi est frappé au coin du bon sens, cette prise de conscience reste au stade de paroles verbales et demeure contingentée à une niche de l’Internet au sein de laquelle, en outre, depuis quelque temps, les principaux protagonistes, se disputant visiblement une part d’un marché saturé, qui stagne faute de produire de nouvelles idées, semblent plus occupés à se bagarrer entre eux et à se défier en duel de MMA qu’à autre chose.
La dissidence qui a fini par vivre de sa contestation et n’a donc plus aucun intérêt à sacrifier son gagne-pain a été parfaitement canalisée par le système et est devenue, à l’instar des partis politiques et autres syndicats, une voie de garage supplémentaire dans laquelle les gens viennent user leur mécontentement de façon inoffensive, avant soit de se décourager face à l’absence totale de concrétisation dans le monde réel, soit de se radicaliser continuant à faire ce qui ne marche pas en espérant un résultat différent, ce que certains voient comme la définition de la folie et qui dans les cas les plus extrêmes fait d’eux des repoussoirs bien pratiques qui éloignent le chaland d’idées un peu trop sulfureuses que leur attitude contribue à discréditer permettant aux chiens de garde dudit système de jeter le bébé avec l’eau du bain. Vous ajoutez à tout ça un appauvrissement et une dénaturation systématique du langage qui n’a plus rien à envier à la dystopie de Georges Orwell avec en plus, par sécurité, suffisamment d’atteintes à la liberté d’expression pour que, compte tenu de tout ce dont on ne peut plus parler, tout discours subversif ne puisse être que parcellaire et donc apparaisse incohérent, et vous avez une partie de la réponse quant à savoir pourquoi les choses ne bougent pas.
Tout cela n’est bien sûr que la conséquence d’un travail de sape plus profond, car en d’autres temps quand on n’avait pas encore castré le peuple, à une époque où les femmes n’avaient peut-être pas le droit de vote mais avaient encore le vrai pouvoir de pousser les hommes à mourir pour les défendre, les paroles de cette dissidence qui peu à peu s’embourgeoise auraient peut-être été une étincelle suffisante pour embraser les foules. Mais ça c’était avant.
On voit souvent dans les productions américaines, le méchant qui humilie ses victimes, les oblige à lécher ses bottes, tripote les femmes devant des maris impuissants, ainsi que moult autres actes barbares, presque aussi inhumains que l’obligation de regarder en entier un film de Bernard Henri Lévy. Mais en réalité, il ne s’agit pas simplement de méchanceté gratuite comme on tente de nous le faire croire. C’est simplement un outil de domination vieux comme le monde visant à insuffler un sentiment d’impuissance et de défaitisme dans la population, pour éviter toute tentation de révolte contre une minorité dirigeante ou nuisible qui sans ça ne ferait pas le poids. L’islam l’a bien compris, le Sionisme aussi et c’est exactement ce que nous fait le gouvernement avec le racket routier, le coup des 80 à l’heure dont personne ne veut et qui ne servent à rien, mais qu’on nous oblige à avaler, pour conforter notre sentiment d’impuissance, comme on l’a fait avant avec le mariage pour tous ou en crachant sur le référendum de 2005. Castration rime avec acceptance et il est illusoire, sauf à mettre en place une stratégie opposée et coordonnée qui nécessiterait d’arrêter les batailles d’égo stériles, d’attendre patiemment d’en arriver à ce point mythique au-delà duquel ce sera insupportable en espérant que les gens vont réagir. Il y a des pays où les gens crèvent de faim la gueule ouverte et où ils ne réagissent toujours pas. Les gens ne réagiront que si on leur montre leur force, ou, à défaut la faiblesse de ceux qui se posent en bergers du troupeau de moutons. Le Marquis de Sade qui aujourd’hui passerait pour un enfant de cœur et ne serait qu’une lettre de plus dans le LGBTIQQ machin-chose, partait du principe que si l’on parvenait à faire accepter à une femme de faire quelques pas avec une seule chaussure, il n’y avait plus de limite à ce que l’on pouvait lui faire accepter ensuite. Dale Carnegie qui a longtemps servi de bible à tous les démarcheurs en porte à porte, ne dit rien d’autre, il suffit d’obtenir un premier oui, même si c’est en réponse à une affirmation aussi triviale que « il fait beau », ce oui en entraînant alors un autre et ainsi de suite jusqu’à l’acceptation d’un aspirateur hors de prix ou d’une encyclopédie en 46 volumes. Il fallait déjà être doué pour nous vendre l’immigration heureuse et les chances pour la France, l’Europe qui allait résoudre tous nos problèmes, avec en prime l’inversion de la courbe du chômage. Sachant que quelqu’un de très bon pourrait même vous refourguer le bouquin de François Hollande qu’il est contraint, pour l’instant, de vendre en grande surface, selon le principe du 2 + 1 gratuit, avec l’achat de deux paquets de PQ en ouate de cellulose triple épaisseur.
Le résultat de notre castration collective, c’est que nous voulons une révolution sans risque et sans violence par le bulletin de vote, qui plus est avec l’aberration démocratique spécifiquement Française d’un scrutin à deux tours, se berçant du doux espoir de pouvoir influencer nos dirigeants en faisant appel à la justice ou la moralité, ou en montrant qu’on n’est pas content. Mais tout ce que l’on peut faire, d’une grève canalisée par un syndicat, a un vote neutralisé par un parti politique ou un commentaire acidulé qui se perd dans quelque forum de la dissidence a autant d’effet qu’un pet de lapin constipé sur une toile cirée. Tant qu’on n’a pas recours à la seule chose qu’ils craignent, à savoir la force, comme l’ont fait des révolutionnaires que, plus à une contradiction près, on célèbre tous les 14 juillet tout en condamnant leurs méthodes, en faisant en sorte qu’homme politique devienne un métier plus dangereux que transporteur de nitroglycérine, ce qui au moins ferait fuir les alimentaires, ils vont continuer à nous la mettre profond, en tuant le CDI, les pensions de réversion, saignant les retraites et nous distrayant avec l’immigration, qui pour problématique qu’elle est, reste un caillou dans la chaussure, placé là pour que, tant la douleur, quand on l’a, que la sensation d’aller mieux si on l’enlève, fassent oublier les autres points douloureux dont on souffre et qu’ils ne veulent pas soigner. Et après avoir eux-mêmes ouvert les portes en grand, il y a fort à parier que, de plus en plus de politiques, vont prendre des postures martiales et bouter, magnanimement, hors les murs, quelques migrants surnuméraires, histoire de donner l’illusion que les choses changent.
Avec leurs lois liberticides, dont les termes et les définitions sont laissées à l’interprétation de juges qui peuvent mettre dedans tout ce qu’ils veulent, inciter à la révolution, qui est pourtant à la base de notre credo politique, pourrait, selon qui est chargé du dossier, se voir qualifier d’apologie du terrorisme par ces mêmes juges qui selon leur définition condamneraient sans sourciller tant les sans-culottes que jean Moulin. Mais je suis désolé, même si quelque nostalgique du bonnet phrygien se mettait subitement à flinguer les membres d’un gouvernement pour lequel, en outre, seulement 28% des inscrits a voté par défaut au 2eme tour et à peine 18 au premier, en quoi ça devrait nous terroriser ? Et donc en quoi ce serait du terrorisme ? Il y a quand même un petit souci de définition, parce qu’honnêtement si ça arrive, de la même façon que nos politiciens qui ne se sentent pas concernés par le terrorisme musulman peuvent nous dire sereinement qu’il faut s’habituer, je rachète une télé et je m’installe confortablement sur le canapé avec des cacahuètes et un petit carnet pour compter les points. Et si demain des islamistes s’achetaient un cerveau et, au lieu de gares et de supermarchés, se mettaient à crier « Allahu Akbar » à l’Elysée ou à Matignon qui semblent bizarrement aussi sacrés pour eux que la Mecque étant donné à quel point ils les évitent, pas sûr que je me convertisse à l’Islam pour autant, mais si dans la foulée ils proposaient des pin’s de l’état Islamique, vu qu’ils feraient, même si leur méthode est fruste et critiquable, une partie du ménage qu’on n’a pas les couilles de faire, je pourrais, dans un moment de faiblesse, être tenté de lâcher 2 euros pour la cause.
En ces temps de connerie galopante, je suis obligé de préciser, que c’est du second degré et que, non, je ne soutiens pas l’état islamique, de même que je ne vous encourage pas davantage à risquer de vous faire tuer et de foutre votre vie en l’air (sans compter celle de votre famille) en perpétrant un acte, certes héroïque au sens littéral du terme, mais inconsidéré que, par ailleurs, je ne commettrais pas moi-même, sauf, car il faut penser à tout, dans le cas hautement improbable où vous seriez un tueur en série et que vous auriez déjà, de toute façon, décidé de tuer quelqu’un, auquel cas, si vraiment vous ne pouvez pas vous en empêcher, plutôt qu’une gamine innocente, tant qu’à tuer, tuez utile et là-aussi, si vous vendez des pin’s …
Mais bon, blague à part, je poursuis juste une analyse jusqu’au bout de sa logique et j’appelle un chat un chat, et ç’est tout ce que c’est : une analyse purement théorique, qui doit être prise comme telle, sachant que je ne souhaite la mort de personne, et pour répondre à ceux qui se lamentent, et trouvent anormal que même si moi et d’autres faisons des diagnostics et proposons des solutions, il ne se passe rien : c’est normal. Le problème n’est absolument pas le manque de solutions. Des solutions il y en a beaucoup et contrairement à l’idée reçue selon laquelle il faudrait être énarque ou polytechnicien pour diriger un pays, n’importe qui d’honnête, doté de deux neurones fonctionnels et d’un zeste de bon sens est capable d’en proposer. Pareil pour ce qui est de faire un bon diagnostic. Mais pour que ces idées portent, il faut les imposer et pour ça, une fois exclue la farce des élections ou la croyance en l’intervention d’une déité quelconque qui nous sauvera directement ou par procuration, il ne reste que trois options. La première : contraindre par la force le gouvernement en place en faisant peser sur lui une menace plus lourde que celle de la divulgation des tous les dossiers glauques grâce auxquels ses membres sont tenus par les roubignoles et sans l’assurance desquels on ne les laisserait pas arriver au pouvoir. La seconde : un bon vieux coup d’état, en espérant tomber sur un gentil dictateur honnête et qui aurait à cœur l’intérêt général, et la troisième, beaucoup plus lente, est d’éveiller suffisamment les esprits d’au moins 10% de la population pour fomenter une révolution, ce qui est compliqué quand ceux qui devraient s’unir passent leur temps à se tirer dans les pattes. Tout ce que je peux faire, c’est d’apporter de l’eau au moulin de la réflexion collective, alors je le fais, parce que même si je ne touche que 0,0001 % de la population en termes d’abonnés, on ne sait jamais d’où partira l’étincelle et aussi parce que parfois des gens me disent que mes réflexions les ont aidés d’une façon ou d’une autre ce qui atténue la sensation croissante de pisser dans la mer pour la faire déborder. Je me disais ce matin dans ma salle de bain que si j’avais plus d’influence, et surtout du temps et de l’énergie, je lancerais un mouvement non républicain ; car ça fait plus de deux siècles que la république s’emploie à tuer la France et il est plus que temps que la France tue la république. Un mouvement qu’on pourrait appeler SPARTACUS pour le côté symbolique, car il s’agit bien d’une révolte des esclaves, le salariat n’étant qu’une version plus efficace de l’esclavage, et avec le même slogan que Mc Donald « venez comme vous êtes ». Tous ceux qui y adhéreraient signeraient simplement un pacte de non-agression ; et, à partir de là, peu importe qu’ils soient communistes révolutionnaires, royalistes, partisans comme moi de la démocratie directe, nationalistes, Maurrassiens… du moment qu’ils soient d’accord pour en finir avec ce système mafieux et, avant de se chamailler sur ce qu’on mettra en place après, de d’abord faire le ménage, sachant quand même que les poux qui nous gouvernent sont bien accrochés sur leurs testicules, qu’ils ne lâcheront la place que sous la contrainte et non sans tirer dans le tas avant. De toute façon, même si on ne peut présumer de rien, ce sera difficile de faire moins bien qu’eux. En outre, n’étant pas l’esclave d’une idéologie particulière, tant qu’on ne nie, ni la réalité, ni les problèmes, sachant que nul ne détient la vérité, picorer un peu chez tout le monde ne me poserait aucun problème et un montage du genre : un roi, sous une constitution à la Chouard écrite par le peuple avec des lois votées en démocratie directe, supprimant ainsi tous les parasites parlementaires à 5000 euros par mois, la nationalisation des banques, de la téléphonie, de l’énergie, des autoroutes et des transports tout en favorisant la libre entreprise dans les secteurs non régaliens, en mettant conjointement un terme à l’éducation nationale pour revenir à l’instruction publique et en arrêtant l’immigration en échange d’une véritable indépendance accordée à l’Afrique, etc. me semblerait de nature, en affinant encore un peu le concept, à fédérer beaucoup de monde. J’en étais-là de mes réflexions quand ma femme a frappé à la porte parce qu’elle voulait prendre sa douche, donc je ne sais pas comment finit l’histoire. Mais si quelqu’un qui a plus de poids ou d’opiniâtreté que moi veut se saisir de l’idée, j’en ai plein d’autres, donc c’est avec plaisir que je la lui cède.
Encore une fois, je ne vends rien et je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je soumets juste à votre appréciation, tant qu’on me laisse faire, une réflexion qui vaut ce qu’elle vaut et dont la seule prétention est d’être logique, honnête et argumentée. Merci à tous ceux qui likent et qui partagent assurant la croissance régulière d’une chaîne qui n’a pas, qui plus est, vocation à être accessible à tout le monde. Comme d’habitude je vous mets les liens de mes chaînes secondaires PewTube et BitChute au cas où cette chaîne s’évaporerait subrepticement profitant de la chaleur estivale. Merci pour votre fidélité et votre soutien et à très bientôt… j’espère.
j’en vois souvent qui se lamentent dans les commentaires parce que si tout ce que je dénonce et beaucoup d’autres avec moi est frappé au coin du bon sens, cette prise de conscience reste au stade de paroles verbales et demeure contingentée à une niche de l’Internet au sein de laquelle, en outre, depuis quelque temps, les principaux protagonistes, se disputant visiblement une part d’un marché saturé, qui stagne faute de produire de nouvelles idées, semblent plus occupés à se bagarrer entre eux et à se défier en duel de MMA qu’à autre chose.
La dissidence qui a fini par vivre de sa contestation et n’a donc plus aucun intérêt à sacrifier son gagne-pain a été parfaitement canalisée par le système et est devenue, à l’instar des partis politiques et autres syndicats, une voie de garage supplémentaire dans laquelle les gens viennent user leur mécontentement de façon inoffensive, avant soit de se décourager face à l’absence totale de concrétisation dans le monde réel, soit de se radicaliser continuant à faire ce qui ne marche pas en espérant un résultat différent, ce que certains voient comme la définition de la folie et qui dans les cas les plus extrêmes fait d’eux des repoussoirs bien pratiques qui éloignent le chaland d’idées un peu trop sulfureuses que leur attitude contribue à discréditer permettant aux chiens de garde dudit système de jeter le bébé avec l’eau du bain. Vous ajoutez à tout ça un appauvrissement et une dénaturation systématique du langage qui n’a plus rien à envier à la dystopie de Georges Orwell avec en plus, par sécurité, suffisamment d’atteintes à la liberté d’expression pour que, compte tenu de tout ce dont on ne peut plus parler, tout discours subversif ne puisse être que parcellaire et donc apparaisse incohérent, et vous avez une partie de la réponse quant à savoir pourquoi les choses ne bougent pas.
Tout cela n’est bien sûr que la conséquence d’un travail de sape plus profond, car en d’autres temps quand on n’avait pas encore castré le peuple, à une époque où les femmes n’avaient peut-être pas le droit de vote mais avaient encore le vrai pouvoir de pousser les hommes à mourir pour les défendre, les paroles de cette dissidence qui peu à peu s’embourgeoise auraient peut-être été une étincelle suffisante pour embraser les foules. Mais ça c’était avant.
On voit souvent dans les productions américaines, le méchant qui humilie ses victimes, les oblige à lécher ses bottes, tripote les femmes devant des maris impuissants, ainsi que moult autres actes barbares, presque aussi inhumains que l’obligation de regarder en entier un film de Bernard Henri Lévy. Mais en réalité, il ne s’agit pas simplement de méchanceté gratuite comme on tente de nous le faire croire. C’est simplement un outil de domination vieux comme le monde visant à insuffler un sentiment d’impuissance et de défaitisme dans la population, pour éviter toute tentation de révolte contre une minorité dirigeante ou nuisible qui sans ça ne ferait pas le poids. L’islam l’a bien compris, le Sionisme aussi et c’est exactement ce que nous fait le gouvernement avec le racket routier, le coup des 80 à l’heure dont personne ne veut et qui ne servent à rien, mais qu’on nous oblige à avaler, pour conforter notre sentiment d’impuissance, comme on l’a fait avant avec le mariage pour tous ou en crachant sur le référendum de 2005. Castration rime avec acceptance et il est illusoire, sauf à mettre en place une stratégie opposée et coordonnée qui nécessiterait d’arrêter les batailles d’égo stériles, d’attendre patiemment d’en arriver à ce point mythique au-delà duquel ce sera insupportable en espérant que les gens vont réagir. Il y a des pays où les gens crèvent de faim la gueule ouverte et où ils ne réagissent toujours pas. Les gens ne réagiront que si on leur montre leur force, ou, à défaut la faiblesse de ceux qui se posent en bergers du troupeau de moutons. Le Marquis de Sade qui aujourd’hui passerait pour un enfant de cœur et ne serait qu’une lettre de plus dans le LGBTIQQ machin-chose, partait du principe que si l’on parvenait à faire accepter à une femme de faire quelques pas avec une seule chaussure, il n’y avait plus de limite à ce que l’on pouvait lui faire accepter ensuite. Dale Carnegie qui a longtemps servi de bible à tous les démarcheurs en porte à porte, ne dit rien d’autre, il suffit d’obtenir un premier oui, même si c’est en réponse à une affirmation aussi triviale que « il fait beau », ce oui en entraînant alors un autre et ainsi de suite jusqu’à l’acceptation d’un aspirateur hors de prix ou d’une encyclopédie en 46 volumes. Il fallait déjà être doué pour nous vendre l’immigration heureuse et les chances pour la France, l’Europe qui allait résoudre tous nos problèmes, avec en prime l’inversion de la courbe du chômage. Sachant que quelqu’un de très bon pourrait même vous refourguer le bouquin de François Hollande qu’il est contraint, pour l’instant, de vendre en grande surface, selon le principe du 2 + 1 gratuit, avec l’achat de deux paquets de PQ en ouate de cellulose triple épaisseur.
Le résultat de notre castration collective, c’est que nous voulons une révolution sans risque et sans violence par le bulletin de vote, qui plus est avec l’aberration démocratique spécifiquement Française d’un scrutin à deux tours, se berçant du doux espoir de pouvoir influencer nos dirigeants en faisant appel à la justice ou la moralité, ou en montrant qu’on n’est pas content. Mais tout ce que l’on peut faire, d’une grève canalisée par un syndicat, a un vote neutralisé par un parti politique ou un commentaire acidulé qui se perd dans quelque forum de la dissidence a autant d’effet qu’un pet de lapin constipé sur une toile cirée. Tant qu’on n’a pas recours à la seule chose qu’ils craignent, à savoir la force, comme l’ont fait des révolutionnaires que, plus à une contradiction près, on célèbre tous les 14 juillet tout en condamnant leurs méthodes, en faisant en sorte qu’homme politique devienne un métier plus dangereux que transporteur de nitroglycérine, ce qui au moins ferait fuir les alimentaires, ils vont continuer à nous la mettre profond, en tuant le CDI, les pensions de réversion, saignant les retraites et nous distrayant avec l’immigration, qui pour problématique qu’elle est, reste un caillou dans la chaussure, placé là pour que, tant la douleur, quand on l’a, que la sensation d’aller mieux si on l’enlève, fassent oublier les autres points douloureux dont on souffre et qu’ils ne veulent pas soigner. Et après avoir eux-mêmes ouvert les portes en grand, il y a fort à parier que, de plus en plus de politiques, vont prendre des postures martiales et bouter, magnanimement, hors les murs, quelques migrants surnuméraires, histoire de donner l’illusion que les choses changent.
Avec leurs lois liberticides, dont les termes et les définitions sont laissées à l’interprétation de juges qui peuvent mettre dedans tout ce qu’ils veulent, inciter à la révolution, qui est pourtant à la base de notre credo politique, pourrait, selon qui est chargé du dossier, se voir qualifier d’apologie du terrorisme par ces mêmes juges qui selon leur définition condamneraient sans sourciller tant les sans-culottes que jean Moulin. Mais je suis désolé, même si quelque nostalgique du bonnet phrygien se mettait subitement à flinguer les membres d’un gouvernement pour lequel, en outre, seulement 28% des inscrits a voté par défaut au 2eme tour et à peine 18 au premier, en quoi ça devrait nous terroriser ? Et donc en quoi ce serait du terrorisme ? Il y a quand même un petit souci de définition, parce qu’honnêtement si ça arrive, de la même façon que nos politiciens qui ne se sentent pas concernés par le terrorisme musulman peuvent nous dire sereinement qu’il faut s’habituer, je rachète une télé et je m’installe confortablement sur le canapé avec des cacahuètes et un petit carnet pour compter les points. Et si demain des islamistes s’achetaient un cerveau et, au lieu de gares et de supermarchés, se mettaient à crier « Allahu Akbar » à l’Elysée ou à Matignon qui semblent bizarrement aussi sacrés pour eux que la Mecque étant donné à quel point ils les évitent, pas sûr que je me convertisse à l’Islam pour autant, mais si dans la foulée ils proposaient des pin’s de l’état Islamique, vu qu’ils feraient, même si leur méthode est fruste et critiquable, une partie du ménage qu’on n’a pas les couilles de faire, je pourrais, dans un moment de faiblesse, être tenté de lâcher 2 euros pour la cause.
En ces temps de connerie galopante, je suis obligé de préciser, que c’est du second degré et que, non, je ne soutiens pas l’état islamique, de même que je ne vous encourage pas davantage à risquer de vous faire tuer et de foutre votre vie en l’air (sans compter celle de votre famille) en perpétrant un acte, certes héroïque au sens littéral du terme, mais inconsidéré que, par ailleurs, je ne commettrais pas moi-même, sauf, car il faut penser à tout, dans le cas hautement improbable où vous seriez un tueur en série et que vous auriez déjà, de toute façon, décidé de tuer quelqu’un, auquel cas, si vraiment vous ne pouvez pas vous en empêcher, plutôt qu’une gamine innocente, tant qu’à tuer, tuez utile et là-aussi, si vous vendez des pin’s …
Mais bon, blague à part, je poursuis juste une analyse jusqu’au bout de sa logique et j’appelle un chat un chat, et ç’est tout ce que c’est : une analyse purement théorique, qui doit être prise comme telle, sachant que je ne souhaite la mort de personne, et pour répondre à ceux qui se lamentent, et trouvent anormal que même si moi et d’autres faisons des diagnostics et proposons des solutions, il ne se passe rien : c’est normal. Le problème n’est absolument pas le manque de solutions. Des solutions il y en a beaucoup et contrairement à l’idée reçue selon laquelle il faudrait être énarque ou polytechnicien pour diriger un pays, n’importe qui d’honnête, doté de deux neurones fonctionnels et d’un zeste de bon sens est capable d’en proposer. Pareil pour ce qui est de faire un bon diagnostic. Mais pour que ces idées portent, il faut les imposer et pour ça, une fois exclue la farce des élections ou la croyance en l’intervention d’une déité quelconque qui nous sauvera directement ou par procuration, il ne reste que trois options. La première : contraindre par la force le gouvernement en place en faisant peser sur lui une menace plus lourde que celle de la divulgation des tous les dossiers glauques grâce auxquels ses membres sont tenus par les roubignoles et sans l’assurance desquels on ne les laisserait pas arriver au pouvoir. La seconde : un bon vieux coup d’état, en espérant tomber sur un gentil dictateur honnête et qui aurait à cœur l’intérêt général, et la troisième, beaucoup plus lente, est d’éveiller suffisamment les esprits d’au moins 10% de la population pour fomenter une révolution, ce qui est compliqué quand ceux qui devraient s’unir passent leur temps à se tirer dans les pattes. Tout ce que je peux faire, c’est d’apporter de l’eau au moulin de la réflexion collective, alors je le fais, parce que même si je ne touche que 0,0001 % de la population en termes d’abonnés, on ne sait jamais d’où partira l’étincelle et aussi parce que parfois des gens me disent que mes réflexions les ont aidés d’une façon ou d’une autre ce qui atténue la sensation croissante de pisser dans la mer pour la faire déborder. Je me disais ce matin dans ma salle de bain que si j’avais plus d’influence, et surtout du temps et de l’énergie, je lancerais un mouvement non républicain ; car ça fait plus de deux siècles que la république s’emploie à tuer la France et il est plus que temps que la France tue la république. Un mouvement qu’on pourrait appeler SPARTACUS pour le côté symbolique, car il s’agit bien d’une révolte des esclaves, le salariat n’étant qu’une version plus efficace de l’esclavage, et avec le même slogan que Mc Donald « venez comme vous êtes ». Tous ceux qui y adhéreraient signeraient simplement un pacte de non-agression ; et, à partir de là, peu importe qu’ils soient communistes révolutionnaires, royalistes, partisans comme moi de la démocratie directe, nationalistes, Maurrassiens… du moment qu’ils soient d’accord pour en finir avec ce système mafieux et, avant de se chamailler sur ce qu’on mettra en place après, de d’abord faire le ménage, sachant quand même que les poux qui nous gouvernent sont bien accrochés sur leurs testicules, qu’ils ne lâcheront la place que sous la contrainte et non sans tirer dans le tas avant. De toute façon, même si on ne peut présumer de rien, ce sera difficile de faire moins bien qu’eux. En outre, n’étant pas l’esclave d’une idéologie particulière, tant qu’on ne nie, ni la réalité, ni les problèmes, sachant que nul ne détient la vérité, picorer un peu chez tout le monde ne me poserait aucun problème et un montage du genre : un roi, sous une constitution à la Chouard écrite par le peuple avec des lois votées en démocratie directe, supprimant ainsi tous les parasites parlementaires à 5000 euros par mois, la nationalisation des banques, de la téléphonie, de l’énergie, des autoroutes et des transports tout en favorisant la libre entreprise dans les secteurs non régaliens, en mettant conjointement un terme à l’éducation nationale pour revenir à l’instruction publique et en arrêtant l’immigration en échange d’une véritable indépendance accordée à l’Afrique, etc. me semblerait de nature, en affinant encore un peu le concept, à fédérer beaucoup de monde. J’en étais-là de mes réflexions quand ma femme a frappé à la porte parce qu’elle voulait prendre sa douche, donc je ne sais pas comment finit l’histoire. Mais si quelqu’un qui a plus de poids ou d’opiniâtreté que moi veut se saisir de l’idée, j’en ai plein d’autres, donc c’est avec plaisir que je la lui cède.
Encore une fois, je ne vends rien et je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je soumets juste à votre appréciation, tant qu’on me laisse faire, une réflexion qui vaut ce qu’elle vaut et dont la seule prétention est d’être logique, honnête et argumentée. Merci à tous ceux qui likent et qui partagent assurant la croissance régulière d’une chaîne qui n’a pas, qui plus est, vocation à être accessible à tout le monde. Comme d’habitude je vous mets les liens de mes chaînes secondaires PewTube et BitChute au cas où cette chaîne s’évaporerait subrepticement profitant de la chaleur estivale. Merci pour votre fidélité et votre soutien et à très bientôt… j’espère.
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