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vendredi 5 juillet 2019

Benalla : arme de castration massive (1 août 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/WFVXF_lr-s8



Bonjour,
cette vidéo va être un peu plus sérieuse que d’habitude, sachant qu’encore une fois, on se fait entuber avec cette affaire Benalla et qu’on ne peut pas percevoir les enjeux si l’on garde le nez dans la gigantesque bouse de vache que les médias sont en train de produire. Il faut donc s’éloigner un peu du sujet et revenir aux sources. Il faut bien comprendre que le système n’a qu’une hantise : la révolution (en tous les cas, quand ce n’est pas lui qui la contrôle). Or ceux qui font généralement la révolution, la vraie, celle qui implique de tuer des gens et aussi de risquer de se faire tuer, ce sont des hommes, d’où la promotion du féminisme, du LGBT et autre égalités homme-femme qui permettent le glissement d’une société virile patriarcale vers une société submissive, non pas matriarcale, mais neutre, car les femmes, quand on les pousse à bout où quand leurs enfants sont menacés, sont également capables de violence, et constituent donc, elles aussi, une menace pour le système, ce qui explique la tendance actuelle à les remplacer par des trans sur le devant de la scène chaque fois que c’est possible. Dans une société équilibrée où la complémentarité homme-femme joue, elles sont en outre l’inspiration et la source du courage des hommes auxquels elles assurent une intendance indispensable à leur succès en apportant du ravitaillement sur les barricades et en pansant leurs plaies. Cela explique également pourquoi on antagonise autant les hommes contre les femmes, aboutissant par réaction d’auto-défense envers un féminisme toxique à l’expansion croissante de mouvements comme le MGTOW. Il est donc tout aussi important pour l’oligarchie de détruire la féminité par le féminisme que la masculinité par l’égoïsme, sachant qu’un homme ne peut se réaliser pleinement que dans l’abnégation. En d’autres termes, les vraies femmes sont aussi importantes que les vrais hommes pour produire une société virile et solidaire, seule capable de se défendre et de se faire respecter.
Vous l’aurez compris, et l’affaire Benalla s’inscrit parfaitement dedans, l’enjeu premier du système, c’est justement de castrer la société afin de pouvoir imposer sa dictature sans résistance. La chose se fait graduellement et après ce qui vient de se passer, autant dire que, pour nous, la pétanque ou n’importe quel autre jeu de boules, c’est plié. La première étape concrète, le travail de sape idéologique remontant à bien plus loin, a consisté à pervertir, par les effets délétères du féminisme, lui-même issu de l’idée absurde d’humanisme, des équilibres millénaires qui n’étaient rien moins que les piliers supportant notre société ; faisant malhonnêtement passer comme preuve qu’il n’y avait pas de conséquences et que cette évolution était positive ce qui n’est rien d’autre, à l’échelle d’une civilisation, que ce petit moment de stabilité avant l’effondrement, que l’on peut observer dans une démolition contrôlée, ou lorsque le coyote du dessin animé dépasse en courant le bord de la falaise et ne tombe que quand il regarde par terre et s’en rend compte.
Au nom d’une égalité hors sol purement idéologique et à sens unique, l’homme a été privé de la possibilité d’utiliser son avantage intolérable de la force physique, laquelle a forcément pour corollaire une forme naturelle de violence, elle aussi bannie, et il n’est plus toléré dans la société qu’avec les mains attachées dans le dos et un boulet au pied. Une fois privés de notre virilité et empêchés de toute réaction violente, massive et légitime qui est la seule efficace pour se défendre et virer les parasites de tout type, il ne restait plus qu’à nous convaincre collectivement de notre impuissance. Dans une société virile et solidaire, une manifestation s’interprète comme « ATTENTION ! Dernier avertissement avant révolution » ce que Juppé avait bien compris en 95, mais quand Sarkozy a tenté le coup de ne pas tenir compte de manifestations massives et que les manifestants sont tranquillement repartis chez eux la queue entre les jambes au lieu de marcher sur L’Élysée, nous avons collectivement perdu tout pouvoir. Hollande avait beau jeu ensuite de faire de même avec le mariage pour tous, et depuis, ce ne sont que brimades après brimades pour nous conforter dans notre sentiment d’impuissance et l’idée que toute résistance est inutile. Que ce soit la loi travail, la limitation de vitesse à 80 à l’heure ou le discours de Macron qui, en assumant, sans se soumettre au châtiment éventuel que le mot assumer implique quand on parle Français, nous dit en substance qu’il fait ce qu’il veut et qu’il nous emmerde. Et on ne bouge toujours pas, confirmant que la métamorphose est achevée, que nous sommes bien une société d’eunuques et qu’il n’y a plus de limite à ce qu’ils peuvent nous faire.
Car, et c’est symptomatique d’une castration réussie, ce qu’on condamne dans l’affaire Benalla, ce ne sont pas, sauf un peu pour la forme, les passe-droits et les avantages. Ça on est habitués, avec notamment le scandale de ce qu’on appelle le « tour extérieur », qui permet au président de nommer qui il veut sans concours à un poste de haut fonctionnaire voire, si ça lui chante, pour la récompenser d’avoir bien arrosé ses plantes pendant les vacances, sa concierge ; laquelle, sans condition de diplôme, de qualification ou d’expérience, pourrait se retrouver comme tous ces élus battus qu’on recase et ces copains à qui on renvoie l’ascenseur, à un de ces nombreux postes inutiles où pour ne rien faire ou, pour les plus vaillants, aller couper des rubans au soleil dans les îles 3 fois par an, on peut toucher à vie, même avec un QI d’huître, un salaire mensuel à 5 chiffres.
Ça bizarrement ça ne choque plus grand monde, en revanche là où tout le monde est vent debout c’est contre l’acte insupportablement viril, dans ce monde de fiottes, consistant à exercer de la violence contre quelqu’un, qui n’était pas non plus un perdreau de l’année, et qui venait de jeter des bouteilles sur des CRS. La question n’est même pas posée de savoir si cette violence, par ailleurs à peine équivalente à une paire de baffes, était méritée ou pas : c’est de la violence donc c’est mal et, cerise sur le gâteau, les actes de Benalla permettent de diaboliser encore un peu plus les comportements virils et violents, qui peuvent être légitimes et nécessaires, en les assimilant au comportement des racailles auxquelles on a laissé, à cette seule fin, le monopole exclusif de ladite virilité. Quand la violence est, objectivement, la seule arme qui pourrait nous sortir de ce hold-up politique et que toute manifestation de violence est hystériquement et unanimement condamnée par réflexe pavlovien, juste parce que c’est de la violence, on sait que le système a gagné.
Encore une fois, dans un jeu dont les dés sont pipés, la seule chose que l’on peut opposer à une dictature, car c’est bien de cela qu’il s’agit, c’est la force et non pas la loi, sauf à faire appliquer ladite loi par la force ce qui revient au même. Asselineau qui se refuse à admettre cette vérité élémentaire a toujours un article pour chaque situation, du débouchage des toilettes au décalaminage de la cheminée, et après l’article 50 pour nous sauver de l’Europe il enfourche à présent le blanc destrier de l’article 68 pour destituer le président. Comme si on pouvait retourner contre nos dirigeants une loi qu’ils ne s’appliquent jamais à eux-mêmes et qui n’est là que pour nous maintenir en esclavage tout en nous ôtant nos réflexes naturels d’auto-défense ; défense déléguée à l’état en échange de notre liberté. Invoquer la loi dans un système mafieux est à peu près aussi efficace que de dire à la personne qui vous sodomise à sec avec un pistolet pointé sur votre tempe que c’est mal et que ça contrevient à l’article 222 du code pénal. La seule façon dont la loi peu empêcher notre viol anal collectif c’est de se la scotcher sur les fesses avec du Chatterton et dans les deux cas ce sera compliqué de s’asseoir après. En théorie pourtant, Asselineau n’a pas tort, et je le rejoins tout à fait quand il dénonce le fait que de tous ces pseudos représentants du peuple qui ont sauté sur l’occasion pour se refaire une virginité politique et se draper dans leur vertu à deux balles et s’insurger à peu de frais, il ne s’en soit pas trouvé un pour demander la saisine de la haute cour, qui certes n’aurait pas abouti compte tenu du rempart de la bande de bras cassés à 5000 euros par mois de la république en marche derrière lequel Macron fait le flambard et qui est juste là pour dire oui, mais qui aurait au moins permis d’insuffler dans l’inconscient collectif l’idée dangereuse mais salutaire qu’on peut virer un président, à coup de pied au cul si nécessaire. Mais comme ils sont complices et nourris par le même système, lesdits représentants, du parti communiste au Front National, en tirant à côté de la cible et en déposant, au lieu de viser Macron, des motions de censure inutiles contre un gouvernement qui n’a rien à voir avec l’affaire, contribuent volontairement, au contraire, à conforter l’idée qu’à part aboyer dans le vide, et mettre un bulletin dans une urne tous les 5 ans, on ne peut rien faire et que l’on est impuissants.
La situation est grave et il faut bien comprendre que, avec cette affaire, les magouilles au plus haut niveau et dont tout le monde feignait hypocritement d’ignorer l’existence pour conserver l’illusion d’une démocratie, sont désormais non seulement étalées au grand jour, mais assumées par le président lui-même. On ne s’embête même plus avec la vaseline, c’est ça le véritable scandale, pas le non-évènement que nous vendent les médias et le comportement de racaille de Benalla. Pour ceux qui trouvent bizarre que d’un coup les médias deviennent subversifs et qu’ils s’attaquent à ce même Macron qu’ils ont encensé, qu’ils se rassurent, ce n’est pas ce qui se passe, ce n’est pas une attaque, mais au contraire un sacre et la consécration d’un pouvoir absolu. Pas celui de Macron à qui on prépare, à terme, un destin de Marie-Antoinette, mais de cette oligarchie à laquelle il doit sa place. Cette affaire, et c’est pour cela que des médias aux ordres s’en délectent, n’est rien d’autre qu’un test, le petit coup de pied qu’on donne sur le corps encore tiède de l’ours, pour savoir si la bête et bien morte avant de procéder au dépeçage. Les chiens sont prêts pour la curée. Ils bavent. Et je vous garantis que, vu notre réaction d’encéphalogramme plat face au mépris affiché de Macron, dépeçage il y aura et que ça va faire mal ; d’autant plus que pour faire face aux derniers soubresauts de la bête et à ceux d’entre nous à qui il resterait encore un peu de testostérone et qui pourraient se rebiffer, avant que le système ne déclenche la fausse révolution qu’il est en train de nous concocter pour finir de nous achever, on a importé une armée de réserve qui n’en a rien à foutre du sort de notre pays et du notre et qui fera tampon entre les fourches et le palais présidentiel tant que la CAF et les prestations sociales tomberont, secondée par une armée de bobos LGBT et droits-de-l’hommistes nourris eux aux subventions et aux prébendes diverses et variées et qui nous jetteront des canettes de loin.
Macron n’est certes qu’un pantin, mais sans pantins pour exécuter ses directives, le système est impuissant. Il est donc important de s’attaquer systématiquement à ses pantins et de le faire en perturbant son calendrier rythmé par les élections, avant que ledit système, qui a toujours plusieurs fers au feu, ne nous impose sa fausse opposition. En outre, Macron le mérite d’autant plus qu’il ajoute sa propre nuisance de mégalomaniaque à celle du système qu’il sert. Puisque qu’il dit lui-même : « qu’ils viennent me chercher », ce serait lui manquer de respect que de ne pas obtempérer. Mais ça va être compliqué et il le sait. Déjà pour ceux qui viennent de la campagne, à 80 à l’heure ça va prendre du temps. On se demande même si ce n’est pas fait exprès. Ensuite, comme je viens de l’évoquer, arrivés en périphérie, il ne manque plus que des girafes et une usine Areva pour que ce soit l’Afrique dans toute sa somptueuse diversité sauvage, et donc sauf à s’appeler Tarzan, ça va être dur de traverser, surtout quand on ne parle pas la langue. Ensuite, même si l’on passe, il y a encore une deuxième ceinture de bobos à franchir lesquels n’opposeront certes pas une grosse résistance mais qui compliqueront encore la tâche et qui ne se joindront pas à nous non plus. Enfin, il faudra prendre l’Élysée, fortifiée comme fort Knox, ce qui est compréhensible vu le prix de la vaisselle commandée par Brigitte avec nos petits sous sous, même si, au bout du compte, cela pourrait s’avérer plus facile qu’escompté sachant que la police et la gendarmerie en ont ras le képi, pour rester poli, raison pour laquelle Macron a plus confiance en des Benalla pour assurer sa sécurité qu’en des fonctionnaires sous-payés qui sont aussi des Français aux hémorroïdes qui chauffent, pour ceux qui n’auraient toujours pas compris, en dehors des secrets d’alcôves et des histoires de cul, pourquoi il y a des barbouzes à l’Élysée.
Mais pourquoi se donner tout ce mal, sachant que macron ne va pas pouvoir se terrer encore 4 ans dans son palais présidentiel et qu’il faudra bien qu’il sorte un jour sur un terrain où il perd une partie de ses avantages, c’est-à-dire le reste de la France. Et c’est là, qu’en citoyens respectueux et obéissants, il faudra aller le chercher, conformément à sa demande.
Je rappelle que cette chaine n’est pas monétisée et que je ne vends rien. Je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours logique, honnête et argumenté et j’accepte avec plaisir la critique et la contradiction du moment qu’elles sont, elles aussi, argumentées. Merci à tous ceux qui likent, commentent et surtout qui partagent car je ne suis pas vraiment mis en avant par YouTube et sans vous pour répandre la bonne parole, on est condamnés à rester entre nous. Comme d’habitude je vous mets les liens de mes chaînes secondaires PewTube et BitChute, juste comme ça, …au cas où Merci pour votre fidélité et votre soutien et à très bientôt… j’espère.

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