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jeudi 4 juillet 2019

La source de tous nos problèmes. (13 oct. 2017)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/ZPm3GtgGAfA



Bonjour, il est de l'intérêt de ceux qui nous dirigent de nous maintenir la tête au ras du sol, au niveau des bouses médiatique odorantes avec lesquelles on nous distrait, plutôt que de nous laisser prendre un peu de hauteur et de nous laisser mesurer la vraie nature de nos problèmes. Si l'on y réfléchit bien, nous n'avons pas 50 000 problèmes nous n'avons qu'un, dont découlent tous les autres : l'énergie. La plus grande menace que nous ayons à craindre : l'accident nucléaire, est liée à l'énergie. La seconde : la surpopulation et sa conséquence directe : l'immigration de masse, également car la méthode la plus efficace pour diminuer les naissances c'est l'augmentation du niveau de vie, lequel dépend entièrement de l'énergie. La cause actuelle de la majorité des guerres c'est l'énergie. La principale source de pollution de la planète est liée à l'utilisation de l'énergie dite fossile, appellation sujette à débat. Les problèmes de faim et de soif peuvent, eux aussi, être facilement réglés par l'énergie, laquelle permet d'augmenter la production agricole, de conserver les aliments, de distiller l'eau etc. Nous sommes esclaves de l'énergie. Si on nous coupe l'électricité - et avec elle la protection de cet environnement totalement artificiel dans lequel nous évoluons - nous ne savons plus rien faire. Ni faire du feu, ni nous orienter, ni nous procurer et conserver de la nourriture, trouver de l'eau potable, nous protéger, nous déplacer sur de longues distances... La société nous a réduits à un pouce et un index qui sont les deux seuls organes nécessaires pour allumer la lumière, tourner un robinier, composer le code de sa carte bancaire et envoyer un texto sur son téléphone. Avec une énergie libre, les états et les puissances d'argent perdraient la quasi-totalité de leur pouvoir et de leur raison d'être. La fausse monnaie imposée au reste du monde, par la force, par les États-Unis, pour le compte de ses maîtres, pour payer le pétrole, ne vaudrait plus un kopeck. Tout l'équilibré géopolitique de la planète seraient changé du jour au lendemain. Ce n'est donc pas être complotiste que de considérer que s'il existe des énergies libres, elles représentent l'ultime menace pour l'oligarchie qui nous dirige et que le risque est majeur que toute innovation en la matière soit immédiatement enterrée, surtout si elle permet une répartition non-centralisable (et taxable) desdites énergies. Il ne faut pas oublier que dans la majorité des pays, dont la France et les États-Unis, des milliers de brevets sont classés manu-militari "secret défense" avec interdiction faite aux inventeurs d'en parler ou de les mettre en pratique. Il est donc tout à fait envisageable que les mêmes qui tuent par millions des gens pour le pétrole et menacent tous les jours notre vie avec le nucléaire aient, depuis longtemps, dans leurs tiroirs des solutions alternatives, cyniquement enterrées, juste pour se maintenir au pouvoir et se remplir les poches. En outre, la communauté scientifique est largement à la botte des politiques et des puissances d'argent qui les tiennent par le financement et l'endoctrinement des universités avec, comme conséquence, que même dans les sciences dures, il existe aussi, ce qui est un comble, une bien-pensance sévèrement cadenassée par ceux, pas toujours les plus brillants, qui tiennent les postes-clés et à laquelle il vaut mieux se conformer si l'on veut espérer faire carrière. Ce n'est donc pas parce que des "experts", dont on ne sait jamais qui les finance, s'arrogent le droit de parler au nom de toute la communauté scientifique, nous disent que quelque chose est impossible, que nous sommes obligés de les croire. Comme le dit un adage souvent vérifié : "l'idiot du village, ignorant que la chose était impossible, la fit". Notre confiance aveugle dans la science nous conduit, comme souvent, à mettre la charrue avant les bœufs et à oublier que, même si la théorie peut parfois conduire à l'invention, ladite science arrive souvent après, pour tenter d'expliquer les phénomènes et que beaucoup desdites inventions sont le fruit de bricoleurs de génie, pas forcément scientifiques, qui bidouillent dans leur garage, de même que le type qui a inventé la poudre n'a pas commencé par une formule chimique. Comme disait Einstein : "l'imagination est plus importante que le savoir". Actuellement, des bricoleurs qui tentent de produire des moteurs surnuméraires, avec des aimants, n'ont pas forcément entendu parler de l'énergie du point zéro, popularisé par de nombreuses séries de science-fiction, et de la possibilité théorique de taper dans la réserve, quasiment infinie, du vide quantique de l'espace estimée, par certains scientifiques, à 800 millions de volts par centimètre cube. Grâce à internet tout le monde, dans le grand public, a entendu parler de Nikola Tesla, en dépit de la chape de plomb qui a été coulée, depuis des années, sur le sort lamentable qui lui a été fait, ses recherches et les choses assez extraordinaires qu'il a réalisées. Nul dans la communauté scientifique ne remet en cause de son génie et son avance considérable sur son époque, mais même si de plus en plus desdits scientifiques s'époumonent dans le vide, personne ne semble motivé à les suivre et à explorer sérieusement les pistes qu'il a ouvertes, alors qu'on dépense des milliards dans des impasses comme la fusion chaude et qu'on amuse la galerie avec des voitures électriques et l'énergie solaire, lesquelles dépendent de batteries et de panneaux hautement polluants à fabriquer et à recycler, à la durée de vie limitée et qui, au bout du compte, coûtent très cher à la collectivité, sans apporter globalement grand-chose à l'environnement mais qui, en revanche, sont parfaitement compatibles avec l'économie de marché. Il faut toujours garder une certaine humilité face aux choses que l'on ne connaît pas et je ne suis pas en train de remettre en cause la première loi de la thermodynamique ou le principe attribué à Lavoisier selon lequel "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme", même si, quand on y réfléchit bien, l'énergie surnuméraire ne les contredit pas forcément. En revanche, je sais que quand on a affaire à un menteur pathologique, régulièrement pris la main dans le sac, ce qui est, hélas, le cas de notre système politico-médiatique, même si on ne peut jamais exclure qu'il dise la vérité, il est toujours plus sage d'assumer qu'il nous ment. Cela ne veut pas dire pour autant, sauf à tomber dans le sophisme dont c'est un des trucs de base, que ceux qui disent le contraire ont forcément raison, et on trouve sur internet des choses parfois tellement grosses ou farfelues, qu'on finit par se demander si leur but n'est pas davantage de décrédibiliser l'idée même d'énergie libre que le contraire, sachant en outre, comme je l'évoquais plus haut, que la probabilité est faible qu'on laisse se balader longtemps sur YouTube quelque chose qui pourrait vraiment renverser le système. Le plus gros piège étant de partir dans des discussions enflammées qui se rapprochent plus d'une guerre de religion que d'une confrontation logique et scientifique. Je finirai sur une anecdote personnelle, comme certainement vous en connaissez tous, sur la fameuse voiture à eau qui ressurgit régulièrement contre le monstre du Loch Ness. Quand j'étais gamin, mon père m'a raconté avoir vu fonctionner, quand il avait 6 ans, juste avant le début de la guerre d'Espagne, un prototype de moteur à eau, activé par un cylindre qui tournait dans un bain d'huile et que c'est ce qui l'avait motivé à devenir mécanicien. J'ai toujours été un peu sceptique sur cette histoire mon père, lequel par ailleurs était vraiment un très brave homme, ayant une légère tendance à l'exagération. Personnellement par réaction aux conditions de travail dans lesquelles ils bossait et de ses mains, tellement imprégnés de cambouis, qu'en dépit d'utilisation intensive de pâte Arma, elle restaient noires du 1er janvier au décembre, je n'ai jamais été attiré par la mécanique. Mais le hasard a fait que dans les années 80, dans le cadre d'une des nombreuses activités que j'ai exercées, je me suis retrouvé à faire la chasse aux fraudes en matière automobile et notamment aux trafics de compteurs. Un beau jour j'ai reçu dans mon bureau un vieux bonhomme, avec un béret vissé sur la tête, comme on n'en voit plus beaucoup aujourd'hui, qui venait pour se renseigner. Au bout d'un entretien de trois-quarts d'heure environ, il m'a dit : "vous êtes sympa, je vais vous montrer quelque chose". Je l'ai accompagné jusqu'en bas du bâtiment et il m'a montré une vieille 4l blanche. En m'approchant, je me suis rendu compte que le moteur tournait, mais c'était vraiment très silencieux. J'étais surpris car il avait laissé tourner ledit moteur trois-quarts d'heure. Il m'a répondu qu'il n'avait pas le choix car sinon il ne pouvait pas redémarrer. Ensuite il m'a dit : "touchez le capot, allez, allez, touchez le capot". Je l'ai fait et il était complètement froid. Il m'a ensuite dit : "mettez la main devant l'échappement" et au bout d'un moment, j'avais sur la main de la vapeur d'eau. Pas la moindre odeur d'hydrocarbure. Il m'a dit : "C'est normal ! elle tourne à l'eau, n'importe quelle eau, même l'eau de vaisselle". Il m'a ensuite annoncé que le véhicule avait 520 kilomètres au compteur, chose que je n'ai pas pu vérifier car il s'agissait d'un compteur à cinq chiffres seulement, donc impossible de savoir combien de tours il avait fait. Il n'a pas voulu, non plus, ouvrir le capot. Je lui ai donc demandé pourquoi il ne commercialisait pas son invention. Il a rigolé et il m'a dit : "Jeune-homme, je n'ai pas envie de finir comme Coluche". L'humoriste était décédé quelques semaines auparavant, provoquant, devant des incohérences qui font encore débat aujourd'hui, le début en France de ce que l'on pourrait appeler le complotisme de masse mais qui n'est rien d'autre qu'une méfiance de bon sens, vis-à-vis du discours politico-médiatique d'un système, dont le caractère dictatorial commençait à poindre de par les restrictions, sans cesse renforcées depuis, sur la liberté d'expression. Puis il est monté dans sa voiture et il est parti, pratiquement sans bruit, même quand il a accéléré. Je suis resté planté comme con en me grattant la tête et je n'ai jamais trop su quoi penser de cette histoire. Merci de liker et de partager et si vous avez des éléments de nature à enrichir le débat, les commentaires sont là pour ça.

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