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jeudi 4 juillet 2019

La première richesse d'un pays c'est : a) sa diversité? b) son QI? (8 févr. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/Be1O48tTdmM


Bonjour, Le système utilise, pour nous diviser, la propension de ceux qui voient la bouteille à moitié vide à se quereller avec ceux qui la voient à moitié pleine alors que, si on imagine que ladite bouteille est la réalité, le combat devrait plutôt se situer entre ceux qui la voient et ceux qui ne la voient pas ou pire, qui la nient. Ces derniers ne peuvent espérer gagner qu’en détruisant la seule arme qui leur est opposable, à savoir l’intelligence, en commençant, dans la pure tradition de cette novlangue omniprésente visant à détruire les nuances, par noyer le poisson en amalgamant, d’un côté l’entendement, c’est-à-dire la compréhension (sens qu’on retrouve dans la racine intelligere), et de l’autre le QI, qui relève davantage de la puissance de calcul, les deux ne s’inscrivant pas forcément dans la même échelle de temps. Au niveau de l’individu, ce qui compte, c’est l’entendement. De même qu’il ne sert à rien d’avoir un ordinateur gamer dernier cri juste pour regarder ses mails, un QI élevé, outre qu’il nuit gravement au bonheur, n’est pas forcément garant d’une bonne intelligence du Monde, à commencer par la compréhension de sa place dans l’univers et l’humilité qui va avec. On peut donc tout à fait, comme le prouvent, hélas, un certain nombre de nos intellectuels et autres énarques, avoir le QI, mais pas l’intelligence. Il est souvent préférable de comprendre lentement et les plus grands sages, lesquels sont souvent loin d’être des génies, sont, sous cet angle, plus intelligents que beaucoup de surdoués, même quand ces derniers évitent l’écueil d’un semi-autisme monomaniaque. Il est clair cependant que, dans nos sociétés, un QI minimum reste indispensable. Je dis bien « dans NOS sociétés » car, sans tomber pour autant dans un rousseauisme naïf, pour y être allé, je n’ai aucun doute que les aborigènes d’Australie, qui ont un des QI moyen les plus bas de la planète (j’insiste sur moyen), s’ils n’ont aucune chance dans l’environnement artificiel bétonné et technologique que nous confondons avec la réalité, ont, en revanche compte tenu de leur environnement originel et de leur mode de vie, une compréhension de leur place dans l’univers, et donc une intelligence du Monde réel, beaucoup plus aiguisée que la nôtre. Mais, dans notre monde à nous, qui est déjà allé au-delà de ce que la nature peut réparer, et donc est condamné à une course contre la montre, en espérant qu’une technologie, à découvrir ou gardée sous le coude pour raisons économique par les enfoirés qui nous gouvernent, pourra nous sauver, notamment de l’extinction nucléaire, il est évident, pour moi en tout cas, qu’une société a tout à gagner à avoir un maximum de puissance de calcul. Quand je dis puissance, je n’intègre pas toutes les théories fumeuses, inventées pour que tout le monde ait sa médaille en chocolat, du genre QE (c’est-à-dire le quotient émotionnel) sous prétexte qu’il ne faut vexer personne dans ce monde où l’on dit aux enfants que l’important est de participer et où, je vois venir gros comme une maison, qu’on va finir par interdire les mathématiques car c’est trop discriminant pour certaines personnes. Le Japon, qui a un QI sensiblement supérieur au nôtre, n’a quasiment pas de matière première et n’a d’autre ressource que sa matière grise et son capital humain. Si on compare son PIB à celui de l’Afrique, qui elle croule sous lesdites matières premières, on peut mesurer la différence, d’autant plus que le Japon est, à la base, et encore aujourd’hui, lui-aussi colonisé et sous domination étrangère, comme en témoignent les nombreuses bases américaines sur son territoire, mais, au cas particulier, le colonisé est plus intelligent que le colonisateur, ce qui lui permet de tirer son épingle du jeu. Il est donc évident que le QI est le bien plus précieux d’un pays, sous réserve qu’il soit épaulé par un nationalisme fort et la prévalence du bien commun sur celle de l’individu. Il semble tout aussi évident, pour tout individu sain, qu’on a tout intérêt à pousser à ce que l’effort collectif soit concentré principalement à détecter et à booster les gens intelligents, c’est-à-dire à chercher à produire un maximum de locomotives capables de tirer l’ensemble vers le haut, au lieu de dépenser notre énergie et nos ressources à tenter, en vain, de transformer, par le nivellement par le bas , sous prétexte d’égalitarisme, des wagons en locomotives, lesdits wagons pouvant alors êtres optimisés à jouer au mieux leur rôle de wagon qui n’est pas moins important, ni honorable et parfaitement complémentaire. De même, faire entrer massivement des populations qui ont un QI moyen sensiblement inférieur ne peut qu’avoir des conséquences néfastes sur notre intelligence collective. Quel que soit notre degré d’intelligence, cette dernière ne nous sert à rien si nous n’avons ni but, ni règle de conduite ou pire, si ces règles de conduite sont la résultante d’un manque d’humilité, lequel nous amène à prétendre à des absolus en s’imaginant qu’ils sont à notre portée. Contrairement aux cultures asiatiques lesquelles, avec le principe du Ying et du Yang, intègrent qu’en toute chose il y a une part de son opposé, cette part pouvant symboliser l’humain lui-même, notre culture occidentale vit dans la dualité avec, pour conséquence, que toutes ces idéologies délétères qui pourrissent notre société s’appuient sur les absolus que sont supposés être le bien et le mal, hérités principalement d’un catholicisme sur lequel elles se plaisent pourtant à déféquer au propre (ou plutôt au cas particulier au sale) comme au figuré. Mais, privés de l’humilité qu’impose la croyance à un Dieu tout puissant, ou en l’occurrence à une trinité, le catholicisme n’étant pas un vrai monothéisme et cette trinité ayant justement pour finalité de transcender la dualité apparente du bien et du mal, sans rien donc pour le ramener à sa juste place, l’individu devenu roi, un roi qu’on ne saurait offenser, a l’orgueil de croire qu’il peut prétendre à ces pseudos absolus tandis que, paradoxalement, il poursuit un bonheur illusoire qu’il base, non sur sa capacité à s’émerveiller, mais sur l’assouvissement des désirs que la société de consommation crée pour lui. La croyance en ces absolus de bien et de mal, sans paradigme divin pour la mettre en perspective, est d’autant plus un jeu de dupes que, si certains choisissent ouvertement le mal par le biais du satanisme, d’autres, comme monsieur Jourdain avec sa prose, font de même, sans le savoir, en cultivant le conformisme au culte de l’individu qui leur sert de nouveau catéchisme, mais qui reprend, en fait, le principe de base dudit satanisme. Ces derniers s’enorgueillissent pourtant, souvent de bonne foi, d’être dans le camp du bien absolu, tous ceux qui ne pensent pas comme eux étant, dès lors, de facto, dans le camp du mal. C’est d’autant plus illogique que ces gens, qui n’ont que le mot égalité à la bouche, font par-là la démonstration de leur incapacité à raisonner autrement qu’en terme de hiérarchie morale. Il s’en suit, dès lors, un dialogue de sourd avec ceux qui tentent de baser leur opinion sur le bon sens, la logique et la réalité, ces derniers ne réalisant pas toujours, ça m’est arrivé aussi, que même si leurs interlocuteurs ont tué Dieu, ils ont gardé la religion, comme des poulets qui courent sans leur tête, et sont plus fanatiques que la sainte inquisition. De temps en temps, certains de ces poulets sans tête s’égarent dans les commentaires et on les reconnait facilement par leur colère torquemadesque, ponctuée d’insultes envers le blasphémateur que je suis, avec zéro argument, autre que leur ressenti, dont tout le monde se fout car, justement, ce n’est pas un argument. Il est presque drôle que tous ceux qui, depuis les soi-disant lumières, se sont cachés derrière la raison pour lutter contre l’obscurantisme religieux, s’opposent désormais à la raison par l’obscurantisme égalitariste. On est passés de l’individu oblitéré par le collectif au collectif désagrégé par l’individu, lequel, sous un vernis technologique, n’a jamais été aussi proche de l’animal. Ce n’est pas vraiment l’intelligence qui nous distingue des animaux, c’est ce que nous en faisons. Si nous devons nous comporter comme des animaux, lesdits animaux, par définition, le font déjà mieux que nous et, qui plus est, sans mettre en danger l’écosystème. Quel est alors l’intérêt objectif à perdre du temps et de l’énergie à se préoccuper de la survie de l’humanité laquelle, en outre, travaille d’évidence à creuser sa propre tombe ? C’est la raison pour laquelle, je me bats, non pour l’humanité, mais pour la civilisation sans laquelle, c’est mon opinion, l’humanité, comme la totalité du monde animal, n’est rien d’autre qu’un ensemble de tubes à fabriquer des excréments. Merci de liker et de partager. Je ne prétends pas détenir la vérité. J’essaye juste de comprendre comment les choses s’articulent en livrant un raisonnement qui se veut logique et argumenté donc, si vous trouvez des failles dans ledit raisonnement ou des choses que j’aurais oubliées, les commentaires sont là pour ça. Comme d’habitude, si ce que je dis vous parle, vous trouverez en description le lien vers ma chaine PewTube alternative à YouTube la censure en moins, à conserver au cas où cette chaîne viendrait à disparaître. Merci et à bientôt, j’espère.

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