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jeudi 4 juillet 2019

Pourquoi nous croyons encore au Père Noël (21 déc. 2017)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/htgSP0KxJ3g



Bonjour, il y a un lien que beaucoup de gens ne perçoivent pas entre les idéologies productrices de misère humaine telles que le féminisme, la mouvance LGBT, les arts contemporains, l'immigrationnisme et autres mouvements de déconstruction et le capitalisme le plus sauvage ; lien qui va plus loin encore que l'évidence selon laquelle plus on est malheureux, plus on a un vide à combler, plus on consomme. Comme le capitalisme, toutes ces idéologies découlent en leur base, d'un raisonnement tronqué, d'un sophisme (car la chose est faite par certains de manière volontaire et pernicieuse) visant à nier la réalité ou à la rendre plurielle, ce qui revient au même. Il n'y a qu'une seule réalité et si l'on peut en avoir une multitude de perceptions différentes selon que l'on soit grand, petit, myope, astigmate, homme, femme... on ne peut pas en déduire, sauf à tomber dans ledit sophisme, que parce qu'aucune de ces perceptions n'est la réalité, la réalité n'existe pas. Il existe des règles qui s'appliquent à tout le monde qui sont là pour nous le rappeler et qu'il est dangereux d'ignorer. Si vous sautez du 20ème étage, que vous soyez grand, petit, homme, femme, myope ou astigmate, vous allez vous écraser, et si vous respirez sous l'eau, vous allez vous noyer. De même, parce que les gens se perçoivent différemment par rapport aux deux sexes masculin et féminin, ça ne veut pas dire que les deux sexes ne sont pas la règle ou carrément qu'ils n'existent pas et que l'on peut s'en affranchir en validant à la place des perceptions qui sont fausses par nature comme toutes les perceptions. Si une lesbienne trans à cheveux roses, qui se perçoit comme un ornithorynque, se fait violer par un migrant qu'elle ne pourra pas dénoncer de peur d'être traitée de raciste, au bout de neuf mois la petite cigogne la ramènera à l'infâme réalité d'être une femme. Pareil pour l'économie. Il y a des règles comme les ressources naturelles limitées et ce n'est pas parce que l'on peut produire à l'infini de la monnaie numérique à coup de 1 et de 0 qu'on peut s'imaginer devenir de plus en plus riches alors que c'est le contraire. Tant qu'il y a des œufs, si vous avez un coupon avec écrit dessus bon pour un œuf, votre coupon vaut un œuf. Vous pouvez même le vendre ou l'échanger contre autre chose, c'est magique ! Surtout si c'est vous qui possédez la machine à imprimer les coupons et que personne ne vous interdit d'en imprimer autant que vous voulez et que vous pouvez acheter ceux qui pourraient vous mettre des bâtons dans les roues toujours avec des coupons. Si on distribue à tout le monde des coupons pour les œufs, tout le monde sera riche... de l'illusion d'avoir un œuf, mais vous ne pouvez pas faire une omelette avec votre coupon. Si trop de monde veut son omelette et qu'il n'y a plus que 12 œufs disponibles parce qu'on a préféré imprimer des coupons que de produire des œufs, le système se cassera la gueule, rattrapé par la réalité. La crise financière qui s'annonce n'est rien d'autre qu'un retour à ladite réalité qui va cruellement nous rappeler que les billets, même verts, ne se mangent pas et que si l'argent n'est plus corrélé aux choses réelles qui lui donnent sa valeur, il ne vaut rien. Même chose pour l'illusion de l’État providence, lequel n'est en fait qu’un système mafieux qui ne peut que redistribuer de l'argent qu'il nous prend sous forme d'impôts ou qu'il prend à nos enfants sous forme de dette. L’État ne donne rien, il redistribue non sans avoir, au préalable, prélevé sa commission. En fait il prend à ceux, de moins en moins nombreux, qui produisent et auxquels, du coup, il enlève la motivation de travailler, pour acheter la paix sociale et les votes de ceux, de plus en plus nombreux, qui ne produisent pas, en leur refilant des miettes, tout en laissant la plus grosse part du gâteau à des parasites financiers qui ne produisent rien non plus. Tous ceux qui attendent miracles et financements de l’État, comme si ce dernier pouvait, par magie, puiser dans une réserve céleste, alors que tout ce qu'il peut faire c'est déshabiller Pierre pour habiller Paul, n'ont rien compris au film. Ils sont comme ma fille quand elle avait 4 ans qui s'émerveillait de voir comme par magie des billets sortir du distributeur et qui me disait : "papa, quand j'aurai une carte comme toi, j'aurai plein d’argent !" ou, quand je ne voulais pas céder à un de ses caprices en lui disant que ça coûtait cher, me répondait : "C'est pas grave, tu n'as qu'à aller chercher de l'argent au distributeur". C'est pour ça que l’État soutient autant toutes ces idéologies mortifères car il s'abreuve à la même source et découle de la même escroquerie. C'est pareil pour l'immigration. Le réservoir de la misère humaine est aussi illimité que sa capacité à se reproduire. On va en accueillir combien ? Quelqu'un a pensé à fixer une limite ? Le fait d'avoir, de par le travail des générations qui nous ont précédées, de ses sacrifices et de ses morts, une vie facile, nous a fait perdre de vue la réalité qui se cache derrière nos acquis sociaux et nos droits, à savoir qu'ils ont été bâtis sur des devoirs. Si on nait dans une maison, on peut avoir l'impression qu'elle a toujours été là et oublier qu'elle a été bâtie dans l'effort et la sueur et tant que nos parents s'occupent de l'entretien on oublie même qu'elle exige un entretien. On peut généreusement distribuer des bibelots que n'a pas payés et qui ne nous ont demandé aucun effort et se sentir généreux. Mais les gens à qui on donne deviennent dépendants, ne faisant pas eux non plus d'efforts, et ils reviennent, de plus en plus nombreux, et quand on n'a plus rien à donner, ils commencent à prendre, jusqu'à ce qu'on se retrouve dehors de sa propre maison, qui peu à peu va se détériorer faute d'entretien, incapables d'en rebâtir une autre car on ne sait plus rien faire à de nos dix doigts. Et si on a le malheur de frapper à la porte pour demander l'aumône, on sera accueillis par un "casse-toi sale blanc !", franc et sans complexe, car nous sommes les seuls, sur la planète, à nous soucier de l'avenir des autres races. Même chose pour le féminisme. Les femmes sont par nature vulnérables. Le mythe de la superwoman n'est possible que parce que l’État entretient l'illusion, en se substituant à l'homme pour protéger la femme, et il le fait mal car, comme tout le reste, il ne peut que redistribuer aux femmes, en en gardant une partie pour lui, l'argent qu'il pique aux hommes. Et comme il n'en a jamais assez, il pousse les femmes vers l'esclavage salarié, sous prétexte d'émancipation, pour pouvoir aussi les taxer. En outre, l'état n'aimera jamais les femmes comme les hommes peuvent le faire et quand ledit État finit par s'effondrer, la réalité rattrape la superwoman féministe qui se retrouve seule face à la violence brute de cultures qui lui confèrent à peine le statut d'être humain. Je pourrais, hélas, continuer à l'infini tant le déni de réalité a empoisonné l'essence même de notre société, notre soi-disant république des droits de l'homme et du citoyen s'étant littéralement construite dessus. Pour autant, si l'on peut comprendre que certains y voient un intérêt car avant que, immanquablement, la réalité nous rattrape, d'une façon ou d'une autre, il s'écoule toujours un délai, qui peut être long, durant lequel quelques personnes gagnent beaucoup d'argent ou de gloriole, de même que dans une vente pyramidale ou une chaîne de Ponzi, elles aussi basées sur l'ineptie que les arbres montent jusqu'au ciel, il y a, au départ, des bénéficiaires, on peut s'interroger sur ce qui pousse les gens à croire au père Noël et y adhérer en aussi grand nombre, au point d'élire un Macron juste moment crucial, après le Brexit et Trump, où de par un alignement des astres inespéré et exceptionnel, il était possible de mettre un coup d'arrêt à un paradigme mortifère, gâchant, en votant pour le système, non seulement la chance de la France, mais peut-être du monde entier. Il est clair que quand l’État lui-même fait partie de l'escroquerie, il a intérêt à formater les gens par le biais des médias et de l'école à être le plus naïfs possible. Plus tordu encore, et c'est certainement là que réside la principale explication, en faisant en sorte que les enfants en bas âge soient élevés, non pas par leur mère, mais confiés à des crèches et des écoles maternelles, il prive ces derniers de la confiance en soi que seul peut générer l'amour inconditionnel de leur mère, durant les premières années de la vie, avant que le père ne prenne le relais en apportant la critique objective dont la mère n'est pas capable pour son enfant quand ledit enfant, enthousiaste à 100% pour ses premiers pas et ses premiers mots, commence à découvrir la paresse et le désintérêt et a besoin non plus d'être seulement encouragé, mais aussi d'être poussé et critiqué pour s'améliorer. Privés donc de ces fondations et confiés à des fonctionnaires sous-payés qui les traitent selon un cahier des charges minuté, les enfants sont trop tôt en compétition les uns avec les autres pour un peu d'attention, et développent un besoin de validation de leur comportement par des tiers qui passe avant leurs convictions profondes, puisque quand on est pris en charge par des étrangers dans un système normalisé, le conformisme est la norme. C'est également le manque de confiance en soi qui en découle qui produit ces individus qui partent en sucette à la moindre contradiction, qui n'écoutent pas ce que vous dites, réagissant simplement à des mots clés, régurgitant de façon pavlovienne et hystérique des clichés appris par cœur, sur lesquels on a construit leur identité artificielle de zombies qui ont des certitudes faute d'être capables d'avoir des convictions. Merci de liker et de partager. Comme toujours je ne fais que donner un avis que je pense logique et argumenté, mais si vous voyez des failles dans mon raisonnement ou souhaitez rajouter des choses qui m'auraient échappées, les commentaires sont là pour ça. Cette chaîne pouvant disparaître à tout moment, pensez aussi à vous abonner à ma chaîne PewTube que je vous mets en lien si vous trouvez un intérêt à ce que je dis et que vous voulez continuer à l'entendre, en dépit d'une censure grandissante. Joyeux Noël à tous, et si vous tombez sur cette vidéo dans trois mois, joyeuses pâques.

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