Bonjour, quand un joaillier met en vitrine quelque chose de joli et de précieux, que la majorité des gens qui passent devant ne peut pas s'offrir, il prend une foule de précautions : verre blindé, caméras, alarmes etc. sans lesquelles il s'expose à ce que l'objet lui soit dérobé par la force. S'il ne dispose pas des moyens adéquats pour limiter les risques de braquage, il conserve le dit objet dans un coffre. Le joaillier ne s'offusque pas des gens qui font du lèche-vitrine, même s'ils n'achètent pas. Il en est même plutôt content, car le but de ladite vitrine et d'attirer les regards, sachant que, statistiquement, parmi tous ces gens qui regardent, il finira par s'en trouver un qui achète. Le joaillier doit répondre aux questions des gens qui se renseignent, même s'ils n'ont pas visiblement les moyens d'acheter, tant qu'ils ne mobilisent pas tout son temps et se comportent normalement. Les femmes sont confrontées exactement à la même problématique. Si elles mettent leur marchandise en vitrine, elles doivent s'assurer qu'elles évoluent dans un environnement suffisamment sécurisé, lequel, jusqu'à il y a peu, était relativement la norme. De même, elles ne peuvent pas se plaindre que certains fassent du lèche-vitrine et si elles ne sont, bien évidemment, pas tenues de perdre tout leur temps avec ceux qui se renseignent sans remplir les conditions nécessaires pour être susceptibles de conclure une... transaction, tant qu'ils se comportent de manière respectueuse, elles ne peuvent pas, honnêtement, assimiler la chose à du harcèlement. Ce terme de "harcèlement" qui préoccupe notre gouvernement plus que le chômage alors que, comme on va le voir, il y a une corrélation évidente entre les deux, ce terme donc, comme d'habitude, ne correspond pas à la problématique visée et a été choisi en raison de son ambiguïté, laquelle permet d'englober, dans un écran de fumée médiatico-foireux, beaucoup de choses bénignes ou qui participent du jeu normal de la séduction, sachant qu'il faut quand même qu'un homme puisse regarder une femme ou lui adresser la parole, si l'on veut que notre espèce se reproduise. Cela permet surtout d'élargir la problématique à ce qui reste de cet enfoiré de mâle hétéro blanc qui a, pour le coup, dans sa majorité, l'outrecuidance de se tenir plutôt mieux que son alter-ego issu d'une diversité qui est aussi comportementale. Ces appels d'offres, plus ou moins subtils, qu'on tente d'intégrer à la problématique et qu'il suffit généralement de décliner avec une subtilité proportionnelle, s'ils peuvent parfois être pénibles pour certaines, souvent plus à raison de QUI ils émanent, ou du moment mal choisi, qu'en raison de la pratique elle-même, n'ont rien à voir avec les mains aux fesses, les tripotages de nichons, les mots salaces, les crachats et les insultes qui sont plus le fait, même si elle n'en a pas le monopole exclusif en ces temps de misère affective, d'une partie de la population qu'on ne veut pas stigmatiser. Il faut bien comprendre deux trois choses si l'on veut poser le bon diagnostic. Jadis il y avait deux types de femmes : celles qui avaient un honneur à défendre et les femmes de petite vertu. Les hommes étaient culturellement formatés à défendre l'honneur des premières et une tentative de pelotage dans un lieu public se serait très mal terminée pour l'instigateur. Pour les secondes, il en allait autrement étant donné que leur job était d'évacuer les tensions non résolues à une époque où les mœurs étaient loin d'être libérées. Les deux se distinguaient généralement par leur tenue vestimentaire et leur maquillage, tenue vestimentaire qui, sans ressembler tout à fait au sac à patates islamique, ne laissait pas apparaître grand-chose, à une époque où la vue d'un simple mollet faisait plus d'effet à un homme mûr que n'en a aujourd'hui le visionnage d'un gang band hardcore sur un ado, à peine pubère mais déjà blasé, et qui aura du mal, à partir de là, à considérer les femmes autrement que comme des paquets de viande. En outre, il suffisait qu'une des secondes quitte sa maison close et s'habille normalement pour être traitée avec respect et bénéficier de la protection masculine, a minima dans tout lieu public où la pression sociale s’exerçait. La fermeture des maisons closes en 1946, en plein début des trente glorieuses, a été suivie, peu de temps après, de la libération sexuelle, laquelle n'a été possible qu'en raison d'une période de plein emploi. En effet, les femmes ont une tendance naturelle à l'hypergamie, indispensable pour assurer la sécurité de leur progéniture, qui les pousse à être très regardantes quant à qui elles accordent leur faveur. Ce tabou a été levé pendant cette parenthèse, l'avenir ne semblant plus un problème et on a pu, sans danger, laisser fleurir les mini-jupes et les décolletés plongeants façon "fosse des Mariannes", les hommes trouvant, dans leur majorité, suffisamment de partenaires pour ne pas être trop frustrés, en dépit de l'absence de maisons closes, par cette stimulation visuelle supplémentaire. Les femmes évoluaient donc encore dans un environnement relativement sécurisé, d'autant plus que leur valeur marchande avait diminué sont les règles économiques de l'offre et de la demande. Malheureusement, les trente glorieuses c'est terminé et la machine économique s'est grippée. Les femmes ont gardé la mini-jupe et l'impact qu'elle peut avoir sur les hommes, mais leur instinct a repris le dessus et si elles sont toujours sexuellement libérées, elles privilégient, plus ou moins consciemment, les hommes en mesure de leur apporter un minimum de sécurité et de stabilité. Ces derniers étant de plus en plus rare, cela exacerbe la concurrence entre femmes et les pousse à une hypersexualisation de leurs attitudes, encouragées par la publicité et les médias qui y voient un bon moyen de vendre et de manipuler, tout en promouvant leur fausse réalité. Il y a donc de plus en plus d'hommes en butte à des provocations visuelles constantes et qui n'ont pas, crise économique oblige, d'exutoire pour évacuer leurs tensions sexuelles. Dans cette hiérarchie qui s'établit, des migrants, qui souvent maîtrisent mal leur propre langue maternelle et n'ont aucune valeur en matière de sécurité financière ou de stabilité, se retrouvent en bas de la chaîne alimentaire. En outre, ils viennent parfois de cultures dans lesquelles, à l'instar de nos ancêtres, mais le vernis de la civilisation en moins, la vue d'un mollet pourrait provoquer une émeute, et sont soumis à bien plus que ça, sans, en plus, aucune maîtrise de nos codes sociaux de base et donc sans quasiment avoir la moindre chance d'accéder à du sexe consensuel (sauf à tomber sur une lavée du cerveau antiraciste, souvent subventionnée par l’État ou papa et maman et qui, même quand elle ne finit pas, hélas pour elle, violée et étouffée dans son vomi, ne court pas autant les rues que les médias aimeraient nous le faire croire). Si on ajoute une pincée de racisme anti- blancs, doublée de la misogynie la plus crasse, avec en prime un taux de testostérone élevé est souvent un QI inversement proportionnel, les deux étant scientifiquement corrélés, il faut avoir de sacrées œillères idéologiques pour ne pas comprendre que nous sommes assis sur une bombe à retardement. Les allemands ne parviennent plus à cacher le nombre alarmant, non plus d'attouchements, mais de viols, visant le même public que le journal de Tintin à savoir les 7 à 77 ans, voire au-delà dans les deux sens. Il faut bien comprendre que toute notre société repose sur la coercition économique : on nous rend esclaves salariés, on nous permet parfois d'acheter une cage en brique et le système nous tient en nous menaçant de tout nous reprendre. Il suffit dès-lors d'un minimum de police pour tenir le pays et assurer sa sécurité. Mais ce système n'est pas adapté à des gens soit qui ont tout, comme Harvey Weinstein, et qui peuvent se permettre de perdre beaucoup sans affecter leur niveau de vie, soit qui n'ont rien et qui donc ne risquent rien. Pour ce qui est de ces derniers, même la prison peut leur sembler plus confortable que ce qu'ils ont quand d'aventure, après moultes récidives, on fini par les y enfermer, juste le temps de se convertir au doux pléonasme de l'islam radical. En outre, ils ne peuvent être tout surveillés faute de personnel et du fait que personne ne semble vouloir fermer le robinet qui en déverse chaque jour davantage, sans papiers, sans âge et sans signes distinctifs. A cela s'ajoutent les racailles des cités, victimes de la propagande SOS racisme et d'une école qui ne fait plus son job, favorisant les seuls élèves dont les parents peuvent compenser à la maison les carences du système éducatif, entraînant un repli sur soi et une ré-indigénisation de gens, qui pourtant sont là depuis trois ou quatre générations, et qui se voient condamnés, pour essayer de garder leurs femmes, lesquelles sont tentées par les blancs, pour s'élever socialement, ou par les noirs qui ont plus de testostérone, à une course contre la montre, eux aussi vers l' islamisation radicale qui permet de mettre lesdites femmes en cage. L’État n'est plus en mesure de faire face, d'autant plus qu'il ne peut que nier un problème dont il est à l'origine. Il a donné aux femmes un faux sentiment d'égalité à se substituant financièrement à l'homme, sous forme d'allocations diverses, pour celles qui en ont besoin et qui consommeront toujours plus qu'une femme au foyer, tout à laissant aux autres le plaisir de l'esclavage salarié que toujours, contrairement à la femme au foyer, on peut taxer. Mais l’État n'aimera jamais les femmes comme les hommes peuvent le faire et les laissera tomber sans état d'âme dès que les choses vont se gâter. Malheureusement, lesdits hommes n'ont plus l'instinct de les défendre depuis que la chasse aux machos a été ouverte et que leur programmation sociétale de protecteur, laquelle n'avait plus aucun sens dans un contexte d'égalité, a été détruite. Les femmes doivent donc bien comprendre qu'elles n'évoluent plus dans un environnement sécurisé et qu'elles ont le choix entre adopter le sac à patates islamique ou remettre sérieusement en cause le féminisme sans limites et lutter, autant qu'elles le peuvent, contre l'immigration et l'idéologie droits-de-l'hommiste qui n'est que le faux-nez du libéralisme le plus sauvage, dont Macron est la parfaite illustration. Libéralisme qui dans sa logique implacable les a marchandisées, produisant en masse de la bimbo rêvant des paillettes du showbiz, faisant baisser la valeur de toutes les autres et que des producteurs hollywoodiens, et pas que, peuvent se payer, à tous les sens du terme, sans que cela les empêche de dormir. Merci de liker et de partager et comme d'habitude, si vous avez des remarques constructives, dans un sens ou dans l'autre, les commentaires sont là pour ça.
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