Bonjour,
la vie c’est Rabelaisien, ça rote et ça pète ; même les énarques et même Marlène que son nom pourtant n’y prédispose pas. En fonction de la tonicité du sphincter le son émis est plus ou moins aigu et si le gilet Jaune se bat pour préserver ladite tonicité (en dépit des tentatives d’intrusions oligarchiques) afin de rester sur un fa dièse franc et solide, Macron fait ça en douce avec un sourire crispé tentant de rendre aussi discret que possible (comme pour le pacte de Marrakech) une note que dans la tessiture de la trompette on situerait plutôt aux alentours du Do pédale, simple terme technique, sans sous-entendu et pas plus homophobe que l’inventeur de la bicyclette. Et si les grenades de désencerclement parviennent à masquer le bruit, pour ce qui est de l’odeur, laquelle de par ses senteurs soufrées évoque davantage Pluton que Jupiter, c’est plus difficile, en dépit des effluves poivrées des lacrymos qui ont pourtant vocation à gommer dans une toux collective nos singularités flatulatoires de classe.
Quand j’étais gamin, feu mon père m’a un jour transmis la quintessence de sa sagesse en me conseillant d’un air grave : « la première fois que tu rencontres quelqu’un imagine le à poil sur la cuvette des WC avec une gastro ». J’ai toujours suivi ce conseil à la lettre avec, pour conséquence, parfois des problèmes avec ma hiérarchie dans mes activités professionnelles du fait de ma constance à ne jamais confondre l’homme et la fonction et à ne respecter que les gens (dont le nombre a hélas tendance à décroître au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pyramide) qui gagnaient ce respect par leur valeur et leurs actes et non ceux qui l’estimaient automatique et comme un dû en corrélation avec ladite fonction. Ce genre d’individu, au fond de lui-même conscient de sa médiocrité et d’autant plus vindicatif, a tendance à exiger ledit respect que par ailleurs il confond souvent avec la servilité et le léchage de bottes. Quand un gouvernement exige le respect à coup de matraques on sait à qui on a affaire. Aucun de ces pantins ne peut être respecté parce qu’aucun n’est respectable. Peu importent les titres ronflants dont ils se parent et les salaires chantaljouanesques qui vont avec.
Le fond du problème est l’absence totale chez ces politiciens du souci du bien commun. Certes leur bouche tient un discours fleuri, mais le subtil mélange de dioxyde de carbone, de méthane et d’hydrogène qui emplit rapidement la pièce dès qu’ils ouvrent la boite à mensonges est un fort indicateur de la nature exacte de ce qu’ils nous vendent en réalité, comme par exemple l’interminable courrier de Macron sur le grand Débat avec rien moins que 35 points d’interrogation et autant de questions pièges du style « préférez-vous l’enculade avec ou sans lubrifiant ? Si avec, quelle marque plébiscitez-vous et doit-on lever une nouvelle taxe pour le financer ? A moins que vous ne préfériez, à la place, réduire le train de vie de l’État en supprimant quelques infirmières ». Que de sollicitude. Et quand aux petits malins qui revendiqueraient le choix de : « pas d’enculade du tout », il dit bien en préambule que la chose étant dans son programme, il ne reviendra pas dessus. De toutes façons ce soi-disant débat est juste l’équivalent d’un pointeur laser qu’on fait bouger devant un chat en colère histoire de le distraire et de lui faire oublier qu’on vient de lui marcher sur la queue. Macron veut juste gagner du temps et même si je ne doute pas que le mouvement des gilets jaunes va s’inscrire dans la durée, il n’empêche pas hélas, dans l’intervalle, notre président légal mais illégitime d’utiliser chaque jour gagné avant son inévitable limogeage, à détruire la France à marche forcée. Pendant qu’on amuse la galerie, on signe en douce le pacte de Marrakech qui n’est pas contraignant mais avalise rien moins qu’un droit à la migration qui lui va le devenir, on négocie notre droit de véto au conseil de sécurité de l’ONU, on bousille notre agriculture et les industries qu’on n’a pas encore bradées en les privant de débouchés par une politique internationale aberrante, on vend notre patrimoine et, toujours sans consulter personne, voilà que va être signé ce mois-ci en toute discrétion médiatique le traité d’Aix-La-Chapelle. Sur le papier ledit traité est équilibré et réciproque, un peu comme si on décrétait qu’une poule et un renard avaient les mêmes droits avant de les enfermer dans la même cage en étant persuadé qu’il y a 50% de chances que la poule bouffe le renard. Dans la réalité, compte tenu des déséquilibres et des 50 000 personnes qui vont déjà travailler de l’autre côté de la frontière, la chose fera passer de facto pour un grand nombre d’individus certains pans de la gestion de l’Alsace, notamment en matière d’emploi, droit du travail, culture et langue, sous le giron allemand et, selon la méthode éprouvée déjà utilisée pour le mariage homosexuel dont on jurait quand on a voté le PACS que ça n’avait rien à voir et que la chose était hors de question, la première pierre est désormais posée, sous le vocable d’« intégration renforcée ». Mais pas de quoi s’affoler bande de complotistes puisqu’on vous dit qu’il n’est pas écrit en toutes lettres qu’on restitue l’Alsace et la Lorraine. Tout ça à mettre en perspective avec la petite larme hypocrite que notre leader suprême a versé pendant ses vœux, sans la moindre gêne, à l’évocation du centenaire de l’armistice. Le « En même temps » macronien, c’est de l’enfumage et, plus d’Europe, c’est moins de France : c’est aussi simple que ça. Ce type est peut-être un pantin, mais un pantin zélé et toxique sans le moindre intérêt pour un peuple qu’il méprise, surtout (sic) « quand les pauvres déconnent », pour le pays, qu’il estime désuet et, plus grave, pour le bien commun, concept qui lui est aussi étranger que des pieds de porc issus d’un cochon bouddhiste dans un couscous halal.
Mais c’est quoi au juste le bien commun ? La chose diffère, parfois subtilement, parfois beaucoup, d’un pays à l’autre et d’une civilisation à l’autre et doit être tempérée en fonction de la population, de ses aspirations spécifiques et de ce qui est faisable selon les richesses du pays, son climat et sa densité de population. Il s’agit toujours d’un équilibre ancré dans la réalité mais boosté par le pouvoir de l’imagination. Pour moi, en ce qui concerne la France, qui est un des rares pays au monde à pouvoir y prétendre, ce serait : permettre à chacun de pouvoir satisfaire ses besoins élémentaires et de se réaliser au mieux individuellement et collectivement dans les limites imposées par le maintien d’une civilisation qui a pour but de permettre aux générations futures d’en faire au moins autant. Aucun de ces buts parfaitement atteignables n’est atteint ni même évoqué. Or c’est important d’avoir un but surtout dans une société qui a perdu ses valeurs spirituelles au détriment de valeurs morales et qui n’a plus aucun sens, pas plus que la vie de consommateur toxicomane qu’elle propose. On remarque d’ailleurs que conformément à l’enfumage verbeux qui tient lieu de discours politique depuis l’avènement de la communication, les gouvernements ne parlent plus de buts qui sont par définition une priorité absolue qui passe avant les bons sentiments et les considérations morales, mais d’objectifs qui ne sont plus qu’un vague souhait, même si on les affuble tous du qualificatif obligé de prioritaire (tout étant prioritaire de nos jours) ; des objectifs donc, dans le même registre que ces vœux qu’émet un couple enlacé au passage d’une étoile filante, elle qu’il l’aime toujours, lui d’avoir un pénis plus imposant, ce qui, si on y réfléchit, est beaucoup plus généreux. Pour atteindre un but, par définition, on fait absolument tout ce qui est nécessaire. Par exemple si le but est de protéger ses frontières, on tire sans hésiter sur tout ce qui s’obstine à traverser sans permission ou tout du moins, comme l’Algérie ces derniers temps, on le reconduit immédiatement à la frontière ce qui, étant donné qu’elle se situe au milieu du désert, revient quand-même un peu au même, en revanche si c’est juste un objectif on essaie vaguement de dissuader les gens avec le succès que l’on connait. Les vrais synonymes sont extrêmement rares et remplacer un mot par un autre a souvent de lourdes conséquences. Cela ne veut pas dire que nos gouvernants n’ont pas de buts absolument prioritaires, mais ils ne sont pas avoués et ne peuvent être déduits que de la direction dans laquelle ils nous dirigent : métissage forcé généralisé et abêtissement culturel et chimique pour obtenir un magma d’esclaves, isolés dans la foule, sans racines ni soutien familial ou lien social, au service d’une élite aussi médiocre que parasitaire. Bien sûr à terme, et c’est d’ailleurs ce qu’on nous a vendu avec l’Europe, on aurait la paix mondiale, de la même façon que le lapin d’élevage est protégé du renard. Mais contrairement au lapin, nous sommes capables d’appréhender le concept de civet et d’imaginer qu’un pot de moutarde sur la table de la cuisine ne présage rien de bon. Il faut croire, comme le démontrent les gilets jaunes, que la phase d’abêtissement n’a pas encore été menée à son terme et que si l’idiocratie escomptée a déjà atteint les pantins du gouvernement, au point que la seule évocation de ce qui pourrait sortir d’un croisement entre Schiappa et Castaner a quelque chose d’apocalyptique, les gens, eux, contre toute attente, ont remis en marche la machine à penser cartésienne et que le mougeon, ce mélange de mouton et de pigeon transgénique qui faisait docilement et quinquennalement la queue dans les bureaux de vote, est en voie d’extinction aussi rapide que les illusions de ceux qui attendaient les 100€ promis par Macron. Des décennies de lavage de cerveau et de politiquement correct ont été balayées en quelques semaines et la petite digue qui subsiste encore, arcboutée sur toutes ces lois liberticides enfantées par la loi Gayssot, qui empêchent d’avoir des débats honnêtes, voire des débats tout court, lesquels, par définition, n’ont cure d’offenser quiconque, cette digue donc, commence à sérieusement se fissurer. Tout l’édifice mondialiste repose en effet sur le musèlement de la parole et l’impossibilité, à tort ou à raison, de braquer les projecteurs sur tel ou tel groupe ou lobby et de voir comment il se comporte en pleine lumière. Un mondialisme par le haut, qui est l’antithèse du bien commun, lequel exige l’humilité de se limiter à traiter les problèmes à sa portée dans leur limite géographique indispensable. Toute personne qui prétend régler les problèmes de l’humanité, a fortiori quand elle vous demande des sous pour cela sous forme de taxes ou de dons, soit manque de ladite humilité soit plus vraisemblablement vous entube. On ne peut pas résoudre directement la faim dans le monde, en revanche on peut résoudre la faim dans sa commune, c’est le principe de subsidiarité. Aucun échelon supérieur ne s’occupe de choses du ressort de l’échelon inférieur et réciproquement. L’individu fait ce qu’il veut chez lui, il se regroupe en commune pour régler les choses qu’il ne peut ou ne veut gérer individuellement, les communes se regroupent en département pour optimiser certains aspects, les départements se regroupent en nation et ainsi de suite. L’autorité doit toujours partir du bas vers le haut et non le contraire et l’option de plus de liberté contre moins de sécurité doit toujours être disponible à ceux qui la souhaitent sous réserve, sous peine de faire capoter toute la structure, qu’ils en subissent impitoyablement les conséquences et soient traités de la même façon, dans les mêmes circonstances, que la cigale de la fable. Certains partent du principe qu’un pauvre c’est un riche qui a échoué et que le pouvoir ayant tendance à corrompre, il serait dangereux de le donner au peuple. Je pense que si ça peut se discuter dans un système qui plébiscite les meilleurs et ou l’ascenseur social fonctionne, c’est faux dans un système qui favorise les plus roublards et les mieux connectés, car si beaucoup de gens ne se sont pas hissés en haut du panier de crabe, c’est souvent dès lors par excès d’honnêteté, ce qui en ferait justement les meilleurs pour gouverner. En outre dans le pouvoir par le peuple, ledit pouvoir est dilué, chacun n’en détenant qu’une petite partie, ce qui n’est pas le cas dans le pouvoir représentatif lequel inclut également les fumisteries supposément communistes auxquelles on assimile à tort ledit pouvoir du peuple qui n’y a pourtant jamais eu son mot à dire. De plus, contrairement à tout ce qui a été fait par le passé, la révolution numérique permet une révolution démocratique, sur laquelle on jette un voile pudique, dans laquelle tout citoyen pourrait voter en temps réel sur tout sujet et à n’importe quel échelon dans les domaines qui l’intéressent ce qui fait qu’on n’a plus besoin de représentants (sauf quelques tirés au sort pour signer des documents), voire même de cour de cassation et que même la constitution devient plus symbolique qu’autre chose. Le saut qualitatif pouvant sembler trop grand pour certains, le RIC est un compromis de transition acceptable et je remercie Cyril qui a adapté le logo de base que je proposais en quelque chose de beaucoup plus sexy. Vous trouverez les liens vers les deux versions dans la description pour ceux qui souhaitent les télécharger. Dans tous les cas, même dans l’hypothèse la plus pessimiste qui, selon ceux qui toisent la plèbe de haut, nous conduirait à une catastrophe, catastrophe que bizarrement les Suisses et d’autres ont su éviter sans problème, étant donné l’iceberg vers lequel notre élite nous précipite déjà à toute vitesse, entre un suicide collectif hypothétique et un assassinat oligarchique certain, je préfère mourir debout et dans la dignité qu’en levrette, la tête dans la petite flaque de pipi produite par ma peur de l’inconnu.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir, tant qu’on me laisse faire, un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
la vie c’est Rabelaisien, ça rote et ça pète ; même les énarques et même Marlène que son nom pourtant n’y prédispose pas. En fonction de la tonicité du sphincter le son émis est plus ou moins aigu et si le gilet Jaune se bat pour préserver ladite tonicité (en dépit des tentatives d’intrusions oligarchiques) afin de rester sur un fa dièse franc et solide, Macron fait ça en douce avec un sourire crispé tentant de rendre aussi discret que possible (comme pour le pacte de Marrakech) une note que dans la tessiture de la trompette on situerait plutôt aux alentours du Do pédale, simple terme technique, sans sous-entendu et pas plus homophobe que l’inventeur de la bicyclette. Et si les grenades de désencerclement parviennent à masquer le bruit, pour ce qui est de l’odeur, laquelle de par ses senteurs soufrées évoque davantage Pluton que Jupiter, c’est plus difficile, en dépit des effluves poivrées des lacrymos qui ont pourtant vocation à gommer dans une toux collective nos singularités flatulatoires de classe.
Quand j’étais gamin, feu mon père m’a un jour transmis la quintessence de sa sagesse en me conseillant d’un air grave : « la première fois que tu rencontres quelqu’un imagine le à poil sur la cuvette des WC avec une gastro ». J’ai toujours suivi ce conseil à la lettre avec, pour conséquence, parfois des problèmes avec ma hiérarchie dans mes activités professionnelles du fait de ma constance à ne jamais confondre l’homme et la fonction et à ne respecter que les gens (dont le nombre a hélas tendance à décroître au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pyramide) qui gagnaient ce respect par leur valeur et leurs actes et non ceux qui l’estimaient automatique et comme un dû en corrélation avec ladite fonction. Ce genre d’individu, au fond de lui-même conscient de sa médiocrité et d’autant plus vindicatif, a tendance à exiger ledit respect que par ailleurs il confond souvent avec la servilité et le léchage de bottes. Quand un gouvernement exige le respect à coup de matraques on sait à qui on a affaire. Aucun de ces pantins ne peut être respecté parce qu’aucun n’est respectable. Peu importent les titres ronflants dont ils se parent et les salaires chantaljouanesques qui vont avec.
Le fond du problème est l’absence totale chez ces politiciens du souci du bien commun. Certes leur bouche tient un discours fleuri, mais le subtil mélange de dioxyde de carbone, de méthane et d’hydrogène qui emplit rapidement la pièce dès qu’ils ouvrent la boite à mensonges est un fort indicateur de la nature exacte de ce qu’ils nous vendent en réalité, comme par exemple l’interminable courrier de Macron sur le grand Débat avec rien moins que 35 points d’interrogation et autant de questions pièges du style « préférez-vous l’enculade avec ou sans lubrifiant ? Si avec, quelle marque plébiscitez-vous et doit-on lever une nouvelle taxe pour le financer ? A moins que vous ne préfériez, à la place, réduire le train de vie de l’État en supprimant quelques infirmières ». Que de sollicitude. Et quand aux petits malins qui revendiqueraient le choix de : « pas d’enculade du tout », il dit bien en préambule que la chose étant dans son programme, il ne reviendra pas dessus. De toutes façons ce soi-disant débat est juste l’équivalent d’un pointeur laser qu’on fait bouger devant un chat en colère histoire de le distraire et de lui faire oublier qu’on vient de lui marcher sur la queue. Macron veut juste gagner du temps et même si je ne doute pas que le mouvement des gilets jaunes va s’inscrire dans la durée, il n’empêche pas hélas, dans l’intervalle, notre président légal mais illégitime d’utiliser chaque jour gagné avant son inévitable limogeage, à détruire la France à marche forcée. Pendant qu’on amuse la galerie, on signe en douce le pacte de Marrakech qui n’est pas contraignant mais avalise rien moins qu’un droit à la migration qui lui va le devenir, on négocie notre droit de véto au conseil de sécurité de l’ONU, on bousille notre agriculture et les industries qu’on n’a pas encore bradées en les privant de débouchés par une politique internationale aberrante, on vend notre patrimoine et, toujours sans consulter personne, voilà que va être signé ce mois-ci en toute discrétion médiatique le traité d’Aix-La-Chapelle. Sur le papier ledit traité est équilibré et réciproque, un peu comme si on décrétait qu’une poule et un renard avaient les mêmes droits avant de les enfermer dans la même cage en étant persuadé qu’il y a 50% de chances que la poule bouffe le renard. Dans la réalité, compte tenu des déséquilibres et des 50 000 personnes qui vont déjà travailler de l’autre côté de la frontière, la chose fera passer de facto pour un grand nombre d’individus certains pans de la gestion de l’Alsace, notamment en matière d’emploi, droit du travail, culture et langue, sous le giron allemand et, selon la méthode éprouvée déjà utilisée pour le mariage homosexuel dont on jurait quand on a voté le PACS que ça n’avait rien à voir et que la chose était hors de question, la première pierre est désormais posée, sous le vocable d’« intégration renforcée ». Mais pas de quoi s’affoler bande de complotistes puisqu’on vous dit qu’il n’est pas écrit en toutes lettres qu’on restitue l’Alsace et la Lorraine. Tout ça à mettre en perspective avec la petite larme hypocrite que notre leader suprême a versé pendant ses vœux, sans la moindre gêne, à l’évocation du centenaire de l’armistice. Le « En même temps » macronien, c’est de l’enfumage et, plus d’Europe, c’est moins de France : c’est aussi simple que ça. Ce type est peut-être un pantin, mais un pantin zélé et toxique sans le moindre intérêt pour un peuple qu’il méprise, surtout (sic) « quand les pauvres déconnent », pour le pays, qu’il estime désuet et, plus grave, pour le bien commun, concept qui lui est aussi étranger que des pieds de porc issus d’un cochon bouddhiste dans un couscous halal.
Mais c’est quoi au juste le bien commun ? La chose diffère, parfois subtilement, parfois beaucoup, d’un pays à l’autre et d’une civilisation à l’autre et doit être tempérée en fonction de la population, de ses aspirations spécifiques et de ce qui est faisable selon les richesses du pays, son climat et sa densité de population. Il s’agit toujours d’un équilibre ancré dans la réalité mais boosté par le pouvoir de l’imagination. Pour moi, en ce qui concerne la France, qui est un des rares pays au monde à pouvoir y prétendre, ce serait : permettre à chacun de pouvoir satisfaire ses besoins élémentaires et de se réaliser au mieux individuellement et collectivement dans les limites imposées par le maintien d’une civilisation qui a pour but de permettre aux générations futures d’en faire au moins autant. Aucun de ces buts parfaitement atteignables n’est atteint ni même évoqué. Or c’est important d’avoir un but surtout dans une société qui a perdu ses valeurs spirituelles au détriment de valeurs morales et qui n’a plus aucun sens, pas plus que la vie de consommateur toxicomane qu’elle propose. On remarque d’ailleurs que conformément à l’enfumage verbeux qui tient lieu de discours politique depuis l’avènement de la communication, les gouvernements ne parlent plus de buts qui sont par définition une priorité absolue qui passe avant les bons sentiments et les considérations morales, mais d’objectifs qui ne sont plus qu’un vague souhait, même si on les affuble tous du qualificatif obligé de prioritaire (tout étant prioritaire de nos jours) ; des objectifs donc, dans le même registre que ces vœux qu’émet un couple enlacé au passage d’une étoile filante, elle qu’il l’aime toujours, lui d’avoir un pénis plus imposant, ce qui, si on y réfléchit, est beaucoup plus généreux. Pour atteindre un but, par définition, on fait absolument tout ce qui est nécessaire. Par exemple si le but est de protéger ses frontières, on tire sans hésiter sur tout ce qui s’obstine à traverser sans permission ou tout du moins, comme l’Algérie ces derniers temps, on le reconduit immédiatement à la frontière ce qui, étant donné qu’elle se situe au milieu du désert, revient quand-même un peu au même, en revanche si c’est juste un objectif on essaie vaguement de dissuader les gens avec le succès que l’on connait. Les vrais synonymes sont extrêmement rares et remplacer un mot par un autre a souvent de lourdes conséquences. Cela ne veut pas dire que nos gouvernants n’ont pas de buts absolument prioritaires, mais ils ne sont pas avoués et ne peuvent être déduits que de la direction dans laquelle ils nous dirigent : métissage forcé généralisé et abêtissement culturel et chimique pour obtenir un magma d’esclaves, isolés dans la foule, sans racines ni soutien familial ou lien social, au service d’une élite aussi médiocre que parasitaire. Bien sûr à terme, et c’est d’ailleurs ce qu’on nous a vendu avec l’Europe, on aurait la paix mondiale, de la même façon que le lapin d’élevage est protégé du renard. Mais contrairement au lapin, nous sommes capables d’appréhender le concept de civet et d’imaginer qu’un pot de moutarde sur la table de la cuisine ne présage rien de bon. Il faut croire, comme le démontrent les gilets jaunes, que la phase d’abêtissement n’a pas encore été menée à son terme et que si l’idiocratie escomptée a déjà atteint les pantins du gouvernement, au point que la seule évocation de ce qui pourrait sortir d’un croisement entre Schiappa et Castaner a quelque chose d’apocalyptique, les gens, eux, contre toute attente, ont remis en marche la machine à penser cartésienne et que le mougeon, ce mélange de mouton et de pigeon transgénique qui faisait docilement et quinquennalement la queue dans les bureaux de vote, est en voie d’extinction aussi rapide que les illusions de ceux qui attendaient les 100€ promis par Macron. Des décennies de lavage de cerveau et de politiquement correct ont été balayées en quelques semaines et la petite digue qui subsiste encore, arcboutée sur toutes ces lois liberticides enfantées par la loi Gayssot, qui empêchent d’avoir des débats honnêtes, voire des débats tout court, lesquels, par définition, n’ont cure d’offenser quiconque, cette digue donc, commence à sérieusement se fissurer. Tout l’édifice mondialiste repose en effet sur le musèlement de la parole et l’impossibilité, à tort ou à raison, de braquer les projecteurs sur tel ou tel groupe ou lobby et de voir comment il se comporte en pleine lumière. Un mondialisme par le haut, qui est l’antithèse du bien commun, lequel exige l’humilité de se limiter à traiter les problèmes à sa portée dans leur limite géographique indispensable. Toute personne qui prétend régler les problèmes de l’humanité, a fortiori quand elle vous demande des sous pour cela sous forme de taxes ou de dons, soit manque de ladite humilité soit plus vraisemblablement vous entube. On ne peut pas résoudre directement la faim dans le monde, en revanche on peut résoudre la faim dans sa commune, c’est le principe de subsidiarité. Aucun échelon supérieur ne s’occupe de choses du ressort de l’échelon inférieur et réciproquement. L’individu fait ce qu’il veut chez lui, il se regroupe en commune pour régler les choses qu’il ne peut ou ne veut gérer individuellement, les communes se regroupent en département pour optimiser certains aspects, les départements se regroupent en nation et ainsi de suite. L’autorité doit toujours partir du bas vers le haut et non le contraire et l’option de plus de liberté contre moins de sécurité doit toujours être disponible à ceux qui la souhaitent sous réserve, sous peine de faire capoter toute la structure, qu’ils en subissent impitoyablement les conséquences et soient traités de la même façon, dans les mêmes circonstances, que la cigale de la fable. Certains partent du principe qu’un pauvre c’est un riche qui a échoué et que le pouvoir ayant tendance à corrompre, il serait dangereux de le donner au peuple. Je pense que si ça peut se discuter dans un système qui plébiscite les meilleurs et ou l’ascenseur social fonctionne, c’est faux dans un système qui favorise les plus roublards et les mieux connectés, car si beaucoup de gens ne se sont pas hissés en haut du panier de crabe, c’est souvent dès lors par excès d’honnêteté, ce qui en ferait justement les meilleurs pour gouverner. En outre dans le pouvoir par le peuple, ledit pouvoir est dilué, chacun n’en détenant qu’une petite partie, ce qui n’est pas le cas dans le pouvoir représentatif lequel inclut également les fumisteries supposément communistes auxquelles on assimile à tort ledit pouvoir du peuple qui n’y a pourtant jamais eu son mot à dire. De plus, contrairement à tout ce qui a été fait par le passé, la révolution numérique permet une révolution démocratique, sur laquelle on jette un voile pudique, dans laquelle tout citoyen pourrait voter en temps réel sur tout sujet et à n’importe quel échelon dans les domaines qui l’intéressent ce qui fait qu’on n’a plus besoin de représentants (sauf quelques tirés au sort pour signer des documents), voire même de cour de cassation et que même la constitution devient plus symbolique qu’autre chose. Le saut qualitatif pouvant sembler trop grand pour certains, le RIC est un compromis de transition acceptable et je remercie Cyril qui a adapté le logo de base que je proposais en quelque chose de beaucoup plus sexy. Vous trouverez les liens vers les deux versions dans la description pour ceux qui souhaitent les télécharger. Dans tous les cas, même dans l’hypothèse la plus pessimiste qui, selon ceux qui toisent la plèbe de haut, nous conduirait à une catastrophe, catastrophe que bizarrement les Suisses et d’autres ont su éviter sans problème, étant donné l’iceberg vers lequel notre élite nous précipite déjà à toute vitesse, entre un suicide collectif hypothétique et un assassinat oligarchique certain, je préfère mourir debout et dans la dignité qu’en levrette, la tête dans la petite flaque de pipi produite par ma peur de l’inconnu.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir, tant qu’on me laisse faire, un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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