Bonjour,
Macron est à la France ce que l’herpès anal est au coureur cycliste, ça fait mal au cul et c’est extrêmement difficile de s’en défaire. Il s’agit d’une de ces maladies politiquement transmissibles qui attaquent depuis des décennies notre organisme collectif affaibli au point que même cet équivalent symbolique du coliforme fécal représente aujourd’hui, dans une France en état de dégénérescence avancée, un danger potentiellement mortel. Jadis nos anticorps sociaux auraient descendu Jupiter de son olympe méprisant avec quelques bonnes roustes échelonnées de la maternelle au service militaire, et il aurait fini vendeur de lessive stagiaire auprès de la mère Denis, en commençant par faire les nœuds pour le nouvel Omo, si cher à Coluche et LGBT avant l’heure, dans les réclames de l’ORTF.
Nonobstant le fait que la France dispose d’un cheptel caprin conséquent qui pourrait avantageusement remplacer une partie de l’assemblée nationale pour moins cher tout en produisant du fromage, arriver à nous faire croire qu’en dépit de toutes les personnes de valeur qu’est capable de produire un pays de 65 millions d’habitants le fait qu’on se retrouve systématiquement avec des Hollande, Sarkozy et autres Macron est le résultat d’un processus démocratique, honnête et vertueux est certainement, avec la substitution du travail par l’emploi, le plus gros foutage de gueule de tous les temps. Un peu comme si, de tout ce qu’a produit Descartes, au lieu de retenir « le discours de la méthode » on ne retenait, pour le représenter, que le ténia de 5 mètres qu’il a expulsé quand il avait 10 ans et que ce choix ne choquait personne. Ces homuncules, qui, de par tout ce qui émane d’eux, sont une insulte permanente au peuple qu’ils sont supposés représenter aux yeux du Monde, sont spécialement sélectionnés et nous sont imposés par un système totalitaire bien camouflé derrière les faux choix qu’il nous propose, afin, et il fallait y penser, de conforter, par leur médiocrité et leur nullité surréalistes, l’illusion de notre incapacité collective à faire des bons choix, ce qui, paradoxalement, nous maintient, par la peur de nous-mêmes ainsi entretenue, dans la voie de garage de la démocratie représentative. Démocratie qui a annihilé toutes nos libertés fondamentales au profit de celle de consommer, et ceux qui se voient soudainement privés de cette liberté-là pour cause d’atrophie pécuniaire, comme les Gilets Jaunes, finissent par très vite réaliser qu’ils ont été privés de toutes les autres : celles de circuler, de manifester, de s’exprimer… a l’exception peut-être de celle de se faire mettre tant au rarement propre qu’au figuré. Si l’on pourrait à la limite supporter un système monarchique ou totalitaire qui aurait l’honnêteté d’annoncer la couleur, dès lors qu’il manifesterait, ne fusse que par orgueil, un vague soucis du bien commun et ferait son possible pour que les frigos soient raisonnablement pleins, il en va autrement lorsqu’il s’agit d’un système mafieux de spoliation qui non seulement nous vend à la découpe à des intérêts étrangers mais qui en plus nous prend pour des cons avec ses « valeurs de la république » qu’il nous assène à coups de matraques.
Qu’on l’apprécie ou non, force est de constater qu’Alain Soral a récemment rejoint la déjà trop longue liste des Reynouard, Ryssen et autres Le Lay condamnés à de la prison ferme pour leurs opinions dans le soi-disant pays des droits de l’homme qui a eu un temps voltaire sur ses billets de banque et que ce durcissement à son égard, alors qu’il tient le même discours depuis plus de 10 ans, coïncide bizarrement avec l’apparition des Gilets Jaunes qu’il soutient abondamment sur son site. Gilets jaunes qui remplissent les tribunaux et les prisons tandis que des criminels se baladent en liberté, ou avec un bracelet électronique comme Claude Guéant, lampiste sarkozien, qu’il a à peine fallu 15 ans pour condamner, la libido judiciaire oscillant entre l’impuissance érectile envers les politiques et l’éjaculation précoce envers ceux qui n’ont pas la décence de crever en silence. Sachant, en revanche, que, sauf si on les fait agresser par de faux Gilets Jaunes dont on pourra se demander comment ils auront pu pénétrer dans le périmètre, les braves qui vont prochainement manifester pour soutenir Macron, transportés gratuitement de tous les coins de France dans des bus payés avec nos sous, et a qui les CRS porteront des boissons chaudes et masseront les pieds quand ils seront fatigués, ne seront pas inquiétés et nous indiqueront la main sur le cœur et le regard outré, que la France est une démocratie, qu’ils n’ont subi aucune entrave dans leur droit de circulation, de manifestation et de parole et pourront tel le Cid déclamer : « Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt effort - Ils nous virent cent mille, BFM et consorts ». Après le coup de la cagnotte aussi bidonnée qu’illégale pour soutenir nos braves CRS qui souffrent de tennis-elbow dans l’indifférence générale, voici donc qu’on importe le concept de manifestation bidon comme aux États-Unis où Soros paie les participants 30 dollars de l’heure pour dire que Trump n’est pas gentil, mais Macron, dont on attend toujours qu’il justifie la provenance de 144 000 € sur ses comptes de campagne, a moins de scrupules et ne va pas payer de sa poche quand il a à sa disposition les moyens de l’État pour faire sa pub, comme quand il était ministre et comme il le fait déjà sous prétexte de « grand débat » pour sa liste de zombies, en marche branlante vers les européennes. Un grand débat sans gilets jaunes tenus à distance par quelques milliers de policiers xantophobes (la xantophobie étant la phobie du jaune), débat au cours duquel des maires, entassés comme des poulets en batterie classés label bleu blanc rouge par les préfets qui les ont sélectionnés, se voient accorder le privilège, sous la houlette des deux ministres impartiaux qui animent la chose, de poser, tel Francis Blanche à Pierre Dac, deux questions au Sâr Rabindranath Macron. Le ridicule ne tuant malheureusement plus, pour faire bonne mesure et détourner l’attention, comme à chaque fois, on envoie Marlène, seul décolleté potable disponible au gouvernement, au casse-pipe alors qu’on l’imaginerait plutôt dans la production desdits ustensiles fumatoires pour peu qu’il y ait quoi que ce soit d’autobiographique dans son bestseller « les filles bien n’avalent pas », ce qui laisserait la possibilité, au final, d’un solde créditeur en calumets suffisamment confortable pour inspirer feu Magritte jusque dans sa tombe qui n’en est peut-être pas une. Sa bouche lui servant hélas aussi à parler, on l’envoie donc au charbon, la pauvre petite, en la bombardant et c’est presque une promotion, co-animatrice avec Cyril Hanouna non pas d’un grand débat, réservé aux élus, mais d’une version pour la plèbe, un petit-débat en quelque sorte, avec arôme naturel de peuple et des vrais morceaux de gilets jaunes dedans. Peut-être aurait-il été plus judicieux, en termes d’audimat, de remplacer Hanouna par Jean-Claude Van Damme compte tenu de la dynamique déjà observée entre les deux personnages, mais la chose aurait risqué de lever de vrais lièvres en forme de singularité cosmique ce qui n’est pas non plus le but de l’exercice.
Macron n’est qu’un domino, mais c’est ce domino qui doit absolument tomber si l’on veut faire tomber tous les autres. Le ténia Macron, en bon parasite n’a aucun amour propre et tant qu’il sera à l’abri des vermifuges derrière un cordon de CRS restera contre vents et marées, il n’est qu’à voir comment il s’accroche à son bureau sur sa photo officielle, car même si le système perd de l’argent à cause de lui, du fait de l’explosion en vol de l’alternance bidon gauche-droite, ledit système n’a rien ni personne d’autre à opposer au terrifiant RIC pour garantir la poursuite de son entreprise de spoliation. Macron qui, au cas où son fanatisme s’avérerait insuffisant, est probablement tenu par quelque dossier scabreux, n’a aucune marge de manœuvre, dans un pays saigné à blanc par le racket, qui n’implique pas une révolution contre les perpétrateurs dudit racket qui l’ont mis là pour liquider la France et sucer ce qui lui reste de moelle. La lutte contre les Gilets Jaunes va donc s’intensifier, en essayant de donner l’illusion de l’existence de contre-manifestants pour influencer le mougeon indécis et tenter d’enrayer la menace de manifestations massives de millions de personnes qui rendraient la situation du pouvoir intenable. Pouvoir qui, à court de miettes à redistribuer, compte pathétiquement sur le fait que le temps fasse son œuvre et que les gens, emportés par le maelstrom médiatique permanent destiné à détourner leur attention des vrais problèmes et à nourrir leur anxiété, se lassent. Ça ne peut plus fonctionner lorsque lesdits gens voient leur situation s’aggraver à vitesse exponentielle ce qui a vocation à donner la jaunisse à de plus en plus de monde d’autant plus que tous ceux qui ont subi (ou assisté à) des violences policières sont confrontés au choix cornélien de crever en silence ou de se radicaliser. La gageure pour les Gilets Jaunes est donc de durer et de rendre la vie intenable au gouvernement sans s’aliéner des sympathisants en leur pourrissant la vie. Le sabotage des radars et les péages gratuits se sont avérés stratégiquement plus efficaces dans cette optique que le blocage des routes mais c’est une pente glissante et il ne faudrait pas qu’en se baladant sur le projet Gutenberg quelques gilets jaunes anglophones tombent, parmi les documents déclassifiés et rendus publics par le gouvernement américain, sur le guide de sabotage rédigé par l’ancêtre de la CIA, l’OSS, dans les années 40.
Sachant qu’il suffit d’une simple patate pour immobiliser pacifiquement et sans violence ni dégradation un fourgon de CRS, je vais, pour ma part, limiter mes suggestions aux actions légales et pacifiques qui, de toutes façons, sont les seules qu’on a le droit d’encourager. Les forces de l’ordre sont le seul rempart qui permet aux parasites qui nous gouvernent de se maintenir. La priorité est donc de les fatiguer et de les user moralement et psychologiquement. J’ai quelques idées sur une campagne de clips pour les démoraliser, que je ne peux hélas réaliser tout seul, faute de temps, de matériel et de figurants, mais si vous êtes bien impliqués dans les gilets Jaunes et que l’idée vous intéresse faites-vous connaître dans les commentaires. Il faut également varier les actions et en annoncer en semaine sans dire le jour, certaines pouvant par ailleurs être bidon, pour obliger le déploiement permanent, intenable sur la distance, d’un grand nombre de forces de l’ordre qui en outre devront surveiller H24 tous les lieux de pouvoir, préfectures, hôtels de villes, centres des impôts, journaux, médias, loges maçonniques… sur l’ensemble du territoire. J’ai entendu parler de manifestations de nuit, c’est dans l’esprit. Si l’on veut être taquin, un parcours dans le 9 3 sous le leitmotiv : « les banlieues avec nous » avec à l’arrivée un méchoui géant au stade de France qu’on envisage de discrètement privatiser lui aussi, serait un cauchemar pour le gouvernement qui risque l’émeute s’il coupe les transports ou s’il envoie massivement des CRS dans le coin, même s’il aurait beau jeu, et c’est un risque à ne pas négliger, de puiser dans son catalogue de fichés S et de policiers infiltrés pour tenter de générer des affrontements communautaires qui serviraient ses intérêts. Moins risqué mais plus médiatique, un pèlerinage massif à Lourdes avec dépôt d’un cierge et prière commune œcuménique pour que Dieu nous débarrasse de Macron par tout moyen qu’il jugera utile. Concernant les affichages on peut réaliser grâce à certains logiciels gratuits le découpage et l’exportation en PDF en 200 feuilles A4 d’une affiche standard de 4 mètres sur 3 qu’il suffit d’imprimer par petits paquets à répartir entre personnes ayant accès gratuitement à une imprimante pour produire, pour le prix d’un rouleau de scotch, de quoi recouvrir des panneaux d’affichage inutilisés par des images géantes promouvant les gilets jaunes, le RIC, demandant la démission de Macron ou dénonçant la violence policière. Il est également possible de faire le tour des Hypermarchés lesquels s’ils ne veulent pas voir, par exemple, des centaines de personnes monopoliser un chariot et encombrer les rayons sans rien acheter, ce qui est tout à fait légal, se feront un plaisir de diffuser en boucle sur leur plus grand téléviseur les vidéos qu’on mettra à leur disposition sur clé USB, il est aussi possible, j’ai vu passer cette idée dans les commentaires, de se rendre en masse devant les commissariats et les gendarmeries et de demander à se faire arrêter, on peut aussi envisager des manifestations à thème, par exemple « les gilets jaunes avec les infirmières » focalisés autour de lieux spécifiques, histoire de monter semaine après semaine à l’opinion publique que le bateau coule de partout. On peut aussi soutenir les stylos rouges et se proposer, histoire de changer un peu des associations LGBT, pour faire des interventions pédagogiques dans les établissements scolaires pour expliquer le mouvement… La limite c’est l’imagination et c’est bien connu, « en France on n’a pas de pétrole mais on a des idées », n’hésitez pas à partager les vôtres.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir, tant qu’on me laisse faire, un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
Macron est à la France ce que l’herpès anal est au coureur cycliste, ça fait mal au cul et c’est extrêmement difficile de s’en défaire. Il s’agit d’une de ces maladies politiquement transmissibles qui attaquent depuis des décennies notre organisme collectif affaibli au point que même cet équivalent symbolique du coliforme fécal représente aujourd’hui, dans une France en état de dégénérescence avancée, un danger potentiellement mortel. Jadis nos anticorps sociaux auraient descendu Jupiter de son olympe méprisant avec quelques bonnes roustes échelonnées de la maternelle au service militaire, et il aurait fini vendeur de lessive stagiaire auprès de la mère Denis, en commençant par faire les nœuds pour le nouvel Omo, si cher à Coluche et LGBT avant l’heure, dans les réclames de l’ORTF.
Nonobstant le fait que la France dispose d’un cheptel caprin conséquent qui pourrait avantageusement remplacer une partie de l’assemblée nationale pour moins cher tout en produisant du fromage, arriver à nous faire croire qu’en dépit de toutes les personnes de valeur qu’est capable de produire un pays de 65 millions d’habitants le fait qu’on se retrouve systématiquement avec des Hollande, Sarkozy et autres Macron est le résultat d’un processus démocratique, honnête et vertueux est certainement, avec la substitution du travail par l’emploi, le plus gros foutage de gueule de tous les temps. Un peu comme si, de tout ce qu’a produit Descartes, au lieu de retenir « le discours de la méthode » on ne retenait, pour le représenter, que le ténia de 5 mètres qu’il a expulsé quand il avait 10 ans et que ce choix ne choquait personne. Ces homuncules, qui, de par tout ce qui émane d’eux, sont une insulte permanente au peuple qu’ils sont supposés représenter aux yeux du Monde, sont spécialement sélectionnés et nous sont imposés par un système totalitaire bien camouflé derrière les faux choix qu’il nous propose, afin, et il fallait y penser, de conforter, par leur médiocrité et leur nullité surréalistes, l’illusion de notre incapacité collective à faire des bons choix, ce qui, paradoxalement, nous maintient, par la peur de nous-mêmes ainsi entretenue, dans la voie de garage de la démocratie représentative. Démocratie qui a annihilé toutes nos libertés fondamentales au profit de celle de consommer, et ceux qui se voient soudainement privés de cette liberté-là pour cause d’atrophie pécuniaire, comme les Gilets Jaunes, finissent par très vite réaliser qu’ils ont été privés de toutes les autres : celles de circuler, de manifester, de s’exprimer… a l’exception peut-être de celle de se faire mettre tant au rarement propre qu’au figuré. Si l’on pourrait à la limite supporter un système monarchique ou totalitaire qui aurait l’honnêteté d’annoncer la couleur, dès lors qu’il manifesterait, ne fusse que par orgueil, un vague soucis du bien commun et ferait son possible pour que les frigos soient raisonnablement pleins, il en va autrement lorsqu’il s’agit d’un système mafieux de spoliation qui non seulement nous vend à la découpe à des intérêts étrangers mais qui en plus nous prend pour des cons avec ses « valeurs de la république » qu’il nous assène à coups de matraques.
Qu’on l’apprécie ou non, force est de constater qu’Alain Soral a récemment rejoint la déjà trop longue liste des Reynouard, Ryssen et autres Le Lay condamnés à de la prison ferme pour leurs opinions dans le soi-disant pays des droits de l’homme qui a eu un temps voltaire sur ses billets de banque et que ce durcissement à son égard, alors qu’il tient le même discours depuis plus de 10 ans, coïncide bizarrement avec l’apparition des Gilets Jaunes qu’il soutient abondamment sur son site. Gilets jaunes qui remplissent les tribunaux et les prisons tandis que des criminels se baladent en liberté, ou avec un bracelet électronique comme Claude Guéant, lampiste sarkozien, qu’il a à peine fallu 15 ans pour condamner, la libido judiciaire oscillant entre l’impuissance érectile envers les politiques et l’éjaculation précoce envers ceux qui n’ont pas la décence de crever en silence. Sachant, en revanche, que, sauf si on les fait agresser par de faux Gilets Jaunes dont on pourra se demander comment ils auront pu pénétrer dans le périmètre, les braves qui vont prochainement manifester pour soutenir Macron, transportés gratuitement de tous les coins de France dans des bus payés avec nos sous, et a qui les CRS porteront des boissons chaudes et masseront les pieds quand ils seront fatigués, ne seront pas inquiétés et nous indiqueront la main sur le cœur et le regard outré, que la France est une démocratie, qu’ils n’ont subi aucune entrave dans leur droit de circulation, de manifestation et de parole et pourront tel le Cid déclamer : « Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt effort - Ils nous virent cent mille, BFM et consorts ». Après le coup de la cagnotte aussi bidonnée qu’illégale pour soutenir nos braves CRS qui souffrent de tennis-elbow dans l’indifférence générale, voici donc qu’on importe le concept de manifestation bidon comme aux États-Unis où Soros paie les participants 30 dollars de l’heure pour dire que Trump n’est pas gentil, mais Macron, dont on attend toujours qu’il justifie la provenance de 144 000 € sur ses comptes de campagne, a moins de scrupules et ne va pas payer de sa poche quand il a à sa disposition les moyens de l’État pour faire sa pub, comme quand il était ministre et comme il le fait déjà sous prétexte de « grand débat » pour sa liste de zombies, en marche branlante vers les européennes. Un grand débat sans gilets jaunes tenus à distance par quelques milliers de policiers xantophobes (la xantophobie étant la phobie du jaune), débat au cours duquel des maires, entassés comme des poulets en batterie classés label bleu blanc rouge par les préfets qui les ont sélectionnés, se voient accorder le privilège, sous la houlette des deux ministres impartiaux qui animent la chose, de poser, tel Francis Blanche à Pierre Dac, deux questions au Sâr Rabindranath Macron. Le ridicule ne tuant malheureusement plus, pour faire bonne mesure et détourner l’attention, comme à chaque fois, on envoie Marlène, seul décolleté potable disponible au gouvernement, au casse-pipe alors qu’on l’imaginerait plutôt dans la production desdits ustensiles fumatoires pour peu qu’il y ait quoi que ce soit d’autobiographique dans son bestseller « les filles bien n’avalent pas », ce qui laisserait la possibilité, au final, d’un solde créditeur en calumets suffisamment confortable pour inspirer feu Magritte jusque dans sa tombe qui n’en est peut-être pas une. Sa bouche lui servant hélas aussi à parler, on l’envoie donc au charbon, la pauvre petite, en la bombardant et c’est presque une promotion, co-animatrice avec Cyril Hanouna non pas d’un grand débat, réservé aux élus, mais d’une version pour la plèbe, un petit-débat en quelque sorte, avec arôme naturel de peuple et des vrais morceaux de gilets jaunes dedans. Peut-être aurait-il été plus judicieux, en termes d’audimat, de remplacer Hanouna par Jean-Claude Van Damme compte tenu de la dynamique déjà observée entre les deux personnages, mais la chose aurait risqué de lever de vrais lièvres en forme de singularité cosmique ce qui n’est pas non plus le but de l’exercice.
Macron n’est qu’un domino, mais c’est ce domino qui doit absolument tomber si l’on veut faire tomber tous les autres. Le ténia Macron, en bon parasite n’a aucun amour propre et tant qu’il sera à l’abri des vermifuges derrière un cordon de CRS restera contre vents et marées, il n’est qu’à voir comment il s’accroche à son bureau sur sa photo officielle, car même si le système perd de l’argent à cause de lui, du fait de l’explosion en vol de l’alternance bidon gauche-droite, ledit système n’a rien ni personne d’autre à opposer au terrifiant RIC pour garantir la poursuite de son entreprise de spoliation. Macron qui, au cas où son fanatisme s’avérerait insuffisant, est probablement tenu par quelque dossier scabreux, n’a aucune marge de manœuvre, dans un pays saigné à blanc par le racket, qui n’implique pas une révolution contre les perpétrateurs dudit racket qui l’ont mis là pour liquider la France et sucer ce qui lui reste de moelle. La lutte contre les Gilets Jaunes va donc s’intensifier, en essayant de donner l’illusion de l’existence de contre-manifestants pour influencer le mougeon indécis et tenter d’enrayer la menace de manifestations massives de millions de personnes qui rendraient la situation du pouvoir intenable. Pouvoir qui, à court de miettes à redistribuer, compte pathétiquement sur le fait que le temps fasse son œuvre et que les gens, emportés par le maelstrom médiatique permanent destiné à détourner leur attention des vrais problèmes et à nourrir leur anxiété, se lassent. Ça ne peut plus fonctionner lorsque lesdits gens voient leur situation s’aggraver à vitesse exponentielle ce qui a vocation à donner la jaunisse à de plus en plus de monde d’autant plus que tous ceux qui ont subi (ou assisté à) des violences policières sont confrontés au choix cornélien de crever en silence ou de se radicaliser. La gageure pour les Gilets Jaunes est donc de durer et de rendre la vie intenable au gouvernement sans s’aliéner des sympathisants en leur pourrissant la vie. Le sabotage des radars et les péages gratuits se sont avérés stratégiquement plus efficaces dans cette optique que le blocage des routes mais c’est une pente glissante et il ne faudrait pas qu’en se baladant sur le projet Gutenberg quelques gilets jaunes anglophones tombent, parmi les documents déclassifiés et rendus publics par le gouvernement américain, sur le guide de sabotage rédigé par l’ancêtre de la CIA, l’OSS, dans les années 40.
Sachant qu’il suffit d’une simple patate pour immobiliser pacifiquement et sans violence ni dégradation un fourgon de CRS, je vais, pour ma part, limiter mes suggestions aux actions légales et pacifiques qui, de toutes façons, sont les seules qu’on a le droit d’encourager. Les forces de l’ordre sont le seul rempart qui permet aux parasites qui nous gouvernent de se maintenir. La priorité est donc de les fatiguer et de les user moralement et psychologiquement. J’ai quelques idées sur une campagne de clips pour les démoraliser, que je ne peux hélas réaliser tout seul, faute de temps, de matériel et de figurants, mais si vous êtes bien impliqués dans les gilets Jaunes et que l’idée vous intéresse faites-vous connaître dans les commentaires. Il faut également varier les actions et en annoncer en semaine sans dire le jour, certaines pouvant par ailleurs être bidon, pour obliger le déploiement permanent, intenable sur la distance, d’un grand nombre de forces de l’ordre qui en outre devront surveiller H24 tous les lieux de pouvoir, préfectures, hôtels de villes, centres des impôts, journaux, médias, loges maçonniques… sur l’ensemble du territoire. J’ai entendu parler de manifestations de nuit, c’est dans l’esprit. Si l’on veut être taquin, un parcours dans le 9 3 sous le leitmotiv : « les banlieues avec nous » avec à l’arrivée un méchoui géant au stade de France qu’on envisage de discrètement privatiser lui aussi, serait un cauchemar pour le gouvernement qui risque l’émeute s’il coupe les transports ou s’il envoie massivement des CRS dans le coin, même s’il aurait beau jeu, et c’est un risque à ne pas négliger, de puiser dans son catalogue de fichés S et de policiers infiltrés pour tenter de générer des affrontements communautaires qui serviraient ses intérêts. Moins risqué mais plus médiatique, un pèlerinage massif à Lourdes avec dépôt d’un cierge et prière commune œcuménique pour que Dieu nous débarrasse de Macron par tout moyen qu’il jugera utile. Concernant les affichages on peut réaliser grâce à certains logiciels gratuits le découpage et l’exportation en PDF en 200 feuilles A4 d’une affiche standard de 4 mètres sur 3 qu’il suffit d’imprimer par petits paquets à répartir entre personnes ayant accès gratuitement à une imprimante pour produire, pour le prix d’un rouleau de scotch, de quoi recouvrir des panneaux d’affichage inutilisés par des images géantes promouvant les gilets jaunes, le RIC, demandant la démission de Macron ou dénonçant la violence policière. Il est également possible de faire le tour des Hypermarchés lesquels s’ils ne veulent pas voir, par exemple, des centaines de personnes monopoliser un chariot et encombrer les rayons sans rien acheter, ce qui est tout à fait légal, se feront un plaisir de diffuser en boucle sur leur plus grand téléviseur les vidéos qu’on mettra à leur disposition sur clé USB, il est aussi possible, j’ai vu passer cette idée dans les commentaires, de se rendre en masse devant les commissariats et les gendarmeries et de demander à se faire arrêter, on peut aussi envisager des manifestations à thème, par exemple « les gilets jaunes avec les infirmières » focalisés autour de lieux spécifiques, histoire de monter semaine après semaine à l’opinion publique que le bateau coule de partout. On peut aussi soutenir les stylos rouges et se proposer, histoire de changer un peu des associations LGBT, pour faire des interventions pédagogiques dans les établissements scolaires pour expliquer le mouvement… La limite c’est l’imagination et c’est bien connu, « en France on n’a pas de pétrole mais on a des idées », n’hésitez pas à partager les vôtres.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir, tant qu’on me laisse faire, un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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