Bonjour!
A l’instar des autruches et des dindes d’élevage, Nathalie Loiseau ne vole pas, mais elle a d’autres pouvoirs comme celui de l’oubli absolu. Alors que son alter-Ego Nathalie Ducoulombier dont l’étymologie latine, ça ne s’invente pas, signifie « lieu où l’on élève des pigeons » semble en apparence être une étudiante d’extrême, extrême, ultra-hyper droite ordinaire, la puberté passée, telle Shazam, sous le nom de Nathalie LOISEAU, elle brandit le glaive de la république en marche pour lutter contre les forces obscures du Rassemblement National. On aurait pu croire qu’avec une telle constance aviaire elle aurait pu nous pondre, sinon un œuf, une justification valide, mais tous les oiseaux n’étant pas des faucons, après avoir dit : « c’est pas vrai ! », oser prétendre, pour se justifier de la Pampers de mensonges rajoutée à l’accusation, que, l’esprit peut-être embrumé par les vapeurs opiaço-éthyliques de la vie estudiantine, elle avait oublié cet épisode, fruit d’un moment fugitif d’égarement motivé par le noble désir d’insuffler un peu de diversité politique à l’ENA, la classe plutôt éthologiquement du côté du poisson rouge à neurone unique hélicoïdal que de l’aigle royal. Dur d’invoquer le droit à l’erreur pour soi quand on ne l’accorde pas aux autres dans un monde où, le politiquement correct tenant lieu de colonne vertébrale, la politique s’est transformée en concours de spéléologie sans scaphandre dans une fosse à déjections, la ritournelle : « tu pues sale facho antisémite et polyphobe » ayant depuis longtemps remplacé les échanges de sophismes qui auparavant pouvaient au moins passer pour des débats d’idées. Par ailleurs, après que nous ayons eu à subir une castration à peine symbolique en nous faisant couper la flèche de Notre-Dame, le maniaque de la limitation de vitesse sur les routes secondaires, prenant au mot l’homme pour qui la culture française n’existe pas et qui persiste et signe en promettant de reconstruire la cathédrale encore plus belle sans par ailleurs avoir donné ne serait-ce qu’un centime de sa poche pour ça, a eu une autre idée : organiser un concours international d’architectes histoire d’être sûr que la chose ne soit plus 100% d’inspiration française et de voir, pourquoi pas, si on ne pourrait pas transformer l’édifice en lui adjoignant un toit en verre et des jardins suspendus servant d’écrin à une vulve géante mauve hérissée d’antennes 5g. Bref, c’est un peu comme si quelqu’un abîmait le haut de la Joconde et qu’on lançait un concours dans les écoles maternelles pour voir par quoi on pourrait le remplacer, si possible en valorisant la femme et la diversité par le biais d’une coupe afro-punk et de cheveux roses. Il resterait, pour nous consoler, le fameux sourire énigmatique qui a fait se perdre en conjectures pendant un demi-millénaire ceux qui se refusaient à y voir la fugace satisfaction d’avoir pu soulager discrètement une flatulence passagère. Sourire énigmatique à mettre en parallèle avec celui pincé mordu de Macron apercevant de justesse la caméra, devant notre dame en feu en réaction au bon mot que lui susurrait à l’oreille un Phillipe Hilare, visiblement très affecté par la tragédie en cours. Peut-être une fulgurance du genre : « Ma montre déconne, j’ai failli arriver en avance… » ou, moins probable vu le niveau : « Le bois n’aime pas la lettre hache, surtout quand on l’ajoute à thermite… ». Si l’on rajoute qu’on en a profité au passage pour raviver un projet immobilier de réaménagement du site de plus d’un milliard déjà dans les cartons et qui buttait sur les mesquines limitations réglementaires concernant les site classés, limitations qu’une loi d’exception permettant en outre au gouvernement de s’accaparer et de redispatcher les fonds donnés pour Notre-Dame, vient allègrement de faire passer à la trappe, par moment j’ai un peu l’impression d’être un naturiste hémorroïdaire assis par inadvertance sur un cactus au sommet d’une dune au cap d’Agde. Non seulement ça gâche quand même un petit peu le spectacle du lever de soleil au-dessus des vagues, mais toute nouvelle incursion politicienne dans cette zone sensible, laquelle en dépit de nombreuses réitérations, ne parvient pas à développer une accoutumance, a tendance à me rendre homophobiquement agressif. Homophobe étant d’ailleurs un des qualificatifs dont notre cher (au sens d’onéreux) président, qui selon ses termes a beaucoup appris, a gratifié d’entrée de jeu dans sa dernière allocution des gilets jaunes qu’il dépeint de surcroit comme antisémites, contradictoires, complotistes, inadaptés à la société et, ce qui pour lui semble être l’insulte suprême : démocrates absolutistes. Donc, pas de RIC, pas de reconnaissance du vote blanc, une proportionnelle plafonnée à 20%, tirage au sort de 150 péquins pour réfléchir sur la transition écologique et à qui on fera porter le chapeau des financements qu’il faudra bien trouver, rien sur le prix du diesel qui reflambe ou sur les 80 à l’heure, indexation des petites retraites, mais décote importante pour motiver les gens à travailler plus longtemps que 62 ans et incitation des femmes à divorcer encore davantage par la garantie par l’État du versement des pensions alimentaires en affranchissant ainsi certaines écervelées, souvent multirécidivistes, des conséquences de leur manque de discernement en matière de choix du géniteur de leur progéniture, progéniture qui avec un peu de chance pourra bénéficier des cours de Français désormais dispensés deux fois par mois par Brigitte Macron, l’option théâtre et cours particuliers étant pour l’instant facultative. Après une heure d’auto-congratulations et de considérations métaphysico-poétiques sur l’art d’être Français, le détenteur du record mondial de logorrhée verbale sans pause pipi, visiblement atteint en direct d’un court-circuit neuronal, se met à clamer qu’il allait s’occuper de l’Islam politique, du communautarisme dans certains quartiers en sécession, des détournements du regroupement familial et que pour entamer cette reconquista on avait besoin de frontières. Une fois que j’ai eu réussi à recracher la cacahuète que j’avais commis l’erreur de manger en même temps et à faire signe à ma femme qu’elle pouvait raccrocher et libérer la ligne du SAMU pour des cas plus graves, après une réécoute attentive du passage tout cela ressemble furieusement à une adhésion, cette fois assumée, à la ligne politique que le bientôt sous les barreaux Soral théorise sous la dénomination de national-sionisme : en gros la main droite tape sur les « arabes » pendant que la gauche fait entrer les migrants. Je n’ai jamais pensé que l’Islam était compatible avec la France ni cru à la main tendue Soralienne, mais en bon pragmatique je ne demandais qu’à être convaincu du contraire et je pense que, vu la tournure des évènements, beaucoup dans les quartiers, qui sont les prochains sur la liste à devoir se faire remplacer dans la hiérarchie des priorités sociales, vont bientôt regretter de ne pas m’avoir donné tort et, se contentant de compter les points pendant 24 semaines, d’avoir refusé la main que leur tendaient les gilets Jaunes. En attendant, ils continueront à voter massivement pour ceux qui les utilisent et, fort de cette certitude, le droit de vote aux européennes dans les prisons introduit, tant au sens propre que figuré, cette année n’est pas juste une lubie innocente.
J’ai toujours dit que tout ce qui pouvait nuire à Macron que cela vienne de gauche ou de droite, et c’est la force des gilets Jaunes, était bon à prendre car il n’a beau être qu’un pantin il est la cheville qui tient tout l’édifice fragilisé, mais si on attend trop et que le système qui place déjà ses pions un peu partout parvient à trouver une solution de rechange, c’est cuit. Or force est de constater que si elle n’est pas équilibrée par des voix nationalistes au vrai sens du terme, la gauche, livrée à elle-même fait ce qu’elle sait faire le mieux, neutraliser les mouvements sociaux en saucissonnant les problèmes pour qu’on perde la vision d’ensemble et en épuisant les énergies dans des luttes contre des moulins à vents ou contre des conséquences dont on méconnait les causes. La gauchisation du mouvement a fait qu’après avoir commencé par mettre le feu à des préfectures, saccager des temples maçonniques, défoncer des portes de ministère et s’approcher dangereusement de l’Élysée, des médias et des banques il a glissé vers le saccage et le pillage de boutiques, loin du 16éme arrondissement, perpétrés par des blacks blocs que seul un brassard (et encore pas toujours) différencie des hommes de la BAC et réciproquement et toujours pas arrêtés malgré les nouvelles brigades policières, styles Stormtroopers Star Wars mais dotées de braguettes sur les uniformes, qui se focalisent de manière aléatoire et violente sur les gilets jaunes. Simultanément les doléances tendent à porter non vers un véritable changement de système mais à valider l’escroquerie syndicale d’une meilleure redistribution des miettes par l’État, oubliant que ledit état, par nature parasitaire, ne produit rien et ne peut que redistribuer un pourcentage de ce qu’il pique et que dans sa forme actuelle, il n’est pas la solution, mais une partie du problème. Ce manque d’équilibre se fait sentir également au sein des gilets jaunes constituants qui débattent sur le toit de l’édifice sans commencer par les fondations, à savoir : qu’est-ce que la France et par extension qu’est-ce qu’être français pour que ça ait un sens et que ce soit viable ? Peut-on encore accepter l’oxymore de la double nationalité et valider qu’un joueur puisse être licencié à la fois à l’OM et au PSG ? Reconnait-on l’héritage catholique ? La laïcité, sous sa forme actuelle, est-elle dans l’intérêt de la France et des Français ? Doit-on accepter des religions qui sont aussi des systèmes politiques ? Doit-on tolérer les communautés et les réseaux d’influence ? Quels doivent-être les avantages des Français par rapport aux non-Français et surtout quel est notre but collectif, notre finalité ? Contrairement à ce qu’essaient de nous faire gober des gens comme Branco en mettant la charrue avant les bœufs, certes nous sommes dans cette situation parce que nous avons des élites corrompues, mais c’est parce que nous n’avons jamais répondu à ces questions que nous avons des élites corrompues. Questions que nous épargnait, à mon avis à tort, la spiritualité religieuse.
Quand on dit « l’humain d’abord », slogan que Macron, particulièrement souple des abducteurs a fait sien dans son allocution, capable « en même temps », dans le même discours, d’éléments de langages marinistes et mélanchonistes, je suis toujours un peu perplexe. Le seul fait d’être humain est-il censé nous accorder une valeur quelconque ? Parce que Hitler ou Staline étaient humains, Marc Dutroux est humain. Même Macron ou Castaner sont humains et franchement entre les sauver eux et sauver le dernier rhinocéros blanc d’Afrique ou même un moustique tigre galeux porteur du chikungunya, je n’hésite pas un dixième de seconde. L’humain est peut-être précieux dans l’absolu quand ils se serre dans des cavernes et qu’il suffit d’un mauvais hiver ou d’une petite fringale d’un tigre à dents de sabre pour menacer la survie de l’espèce mais à 9 milliards, 20 milliards, 40 milliards il vient forcément un moment ou chaque être humain supplémentaire menace la survie des autres qui sont aussi humains, donc quel humain est précieux celui qui est déjà là, ou le nouveau qui arrive ? L’humain qui n’existera plus pour perpétuer l’espèce est-il moins sacré ou moins important que celui qui existe déjà en trop grand nombre pour que les ressources limitées du monde lui permettent de voir jamais le jour ? Je l’ai déjà dit, être humain est le plus petit dénominateur commun, comme être un mammifère et ne suffit pas à nous conférer une quelconque valeur. La valeur de l’humain, spécifique à chacun, est sociale car si notre but est juste de manger, de copuler et de nous reproduire, les blattes le font mieux que nous et si notre différence c’est qu’en plus on consomme, on gagnera certes une valeur économique, mais cette valeur économique est l’antithèse de l’humanité et nous rend tous interchangeables et obsolètes. La notion de « l’humain d’abord » qui nie les différences entre le gentil, le méchant, le pédophile, l’ingénieux, le fort, le faible et vend l’illusion que nous sommes tous égaux, donc là-aussi interchangeables, est donc parfaitement complémentaire avec la logique marchande qu’elle prétend combattre, d’ailleurs la demande principale de ceux qui se réclament de cette idéologie se borne souvent à plus de pouvoir d’achat. C’est d’autant plus incohérent qu’ils sont généralement des anticatholiques féroces qui se privent ainsi du seul argument, le sacré, qui tiendrait un peu la route pour justifier cette position égalitaire. Ce qui compte ce n’est pas l’humain indifférencié, mais le lien social qui lui est sélectif.
Il y a quelques jours, une gamine de 15 ans, l’âge de ma fille, et tout à fait humaine, s’est faite violer par un humain de 28 ans en plein après-midi dans un TER pendant que d’autres humains indifférents à la chose ont préféré regarder Game of Thrones sur leur Samsung ou leur iPhone, ou se sont dit que les emmerdements encourus face à des juges, eux-aussi humains, s’ils avaient le malheur de ne serait-ce que retourner un ongle d’un agresseur qui, même s’il leur donnait un coup de couteau, serait relâché avant qu’ils n’arrivent au cimetière, n’en valaient pas la chandelle. Lequel de ces humains d’abord ?
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
A l’instar des autruches et des dindes d’élevage, Nathalie Loiseau ne vole pas, mais elle a d’autres pouvoirs comme celui de l’oubli absolu. Alors que son alter-Ego Nathalie Ducoulombier dont l’étymologie latine, ça ne s’invente pas, signifie « lieu où l’on élève des pigeons » semble en apparence être une étudiante d’extrême, extrême, ultra-hyper droite ordinaire, la puberté passée, telle Shazam, sous le nom de Nathalie LOISEAU, elle brandit le glaive de la république en marche pour lutter contre les forces obscures du Rassemblement National. On aurait pu croire qu’avec une telle constance aviaire elle aurait pu nous pondre, sinon un œuf, une justification valide, mais tous les oiseaux n’étant pas des faucons, après avoir dit : « c’est pas vrai ! », oser prétendre, pour se justifier de la Pampers de mensonges rajoutée à l’accusation, que, l’esprit peut-être embrumé par les vapeurs opiaço-éthyliques de la vie estudiantine, elle avait oublié cet épisode, fruit d’un moment fugitif d’égarement motivé par le noble désir d’insuffler un peu de diversité politique à l’ENA, la classe plutôt éthologiquement du côté du poisson rouge à neurone unique hélicoïdal que de l’aigle royal. Dur d’invoquer le droit à l’erreur pour soi quand on ne l’accorde pas aux autres dans un monde où, le politiquement correct tenant lieu de colonne vertébrale, la politique s’est transformée en concours de spéléologie sans scaphandre dans une fosse à déjections, la ritournelle : « tu pues sale facho antisémite et polyphobe » ayant depuis longtemps remplacé les échanges de sophismes qui auparavant pouvaient au moins passer pour des débats d’idées. Par ailleurs, après que nous ayons eu à subir une castration à peine symbolique en nous faisant couper la flèche de Notre-Dame, le maniaque de la limitation de vitesse sur les routes secondaires, prenant au mot l’homme pour qui la culture française n’existe pas et qui persiste et signe en promettant de reconstruire la cathédrale encore plus belle sans par ailleurs avoir donné ne serait-ce qu’un centime de sa poche pour ça, a eu une autre idée : organiser un concours international d’architectes histoire d’être sûr que la chose ne soit plus 100% d’inspiration française et de voir, pourquoi pas, si on ne pourrait pas transformer l’édifice en lui adjoignant un toit en verre et des jardins suspendus servant d’écrin à une vulve géante mauve hérissée d’antennes 5g. Bref, c’est un peu comme si quelqu’un abîmait le haut de la Joconde et qu’on lançait un concours dans les écoles maternelles pour voir par quoi on pourrait le remplacer, si possible en valorisant la femme et la diversité par le biais d’une coupe afro-punk et de cheveux roses. Il resterait, pour nous consoler, le fameux sourire énigmatique qui a fait se perdre en conjectures pendant un demi-millénaire ceux qui se refusaient à y voir la fugace satisfaction d’avoir pu soulager discrètement une flatulence passagère. Sourire énigmatique à mettre en parallèle avec celui pincé mordu de Macron apercevant de justesse la caméra, devant notre dame en feu en réaction au bon mot que lui susurrait à l’oreille un Phillipe Hilare, visiblement très affecté par la tragédie en cours. Peut-être une fulgurance du genre : « Ma montre déconne, j’ai failli arriver en avance… » ou, moins probable vu le niveau : « Le bois n’aime pas la lettre hache, surtout quand on l’ajoute à thermite… ». Si l’on rajoute qu’on en a profité au passage pour raviver un projet immobilier de réaménagement du site de plus d’un milliard déjà dans les cartons et qui buttait sur les mesquines limitations réglementaires concernant les site classés, limitations qu’une loi d’exception permettant en outre au gouvernement de s’accaparer et de redispatcher les fonds donnés pour Notre-Dame, vient allègrement de faire passer à la trappe, par moment j’ai un peu l’impression d’être un naturiste hémorroïdaire assis par inadvertance sur un cactus au sommet d’une dune au cap d’Agde. Non seulement ça gâche quand même un petit peu le spectacle du lever de soleil au-dessus des vagues, mais toute nouvelle incursion politicienne dans cette zone sensible, laquelle en dépit de nombreuses réitérations, ne parvient pas à développer une accoutumance, a tendance à me rendre homophobiquement agressif. Homophobe étant d’ailleurs un des qualificatifs dont notre cher (au sens d’onéreux) président, qui selon ses termes a beaucoup appris, a gratifié d’entrée de jeu dans sa dernière allocution des gilets jaunes qu’il dépeint de surcroit comme antisémites, contradictoires, complotistes, inadaptés à la société et, ce qui pour lui semble être l’insulte suprême : démocrates absolutistes. Donc, pas de RIC, pas de reconnaissance du vote blanc, une proportionnelle plafonnée à 20%, tirage au sort de 150 péquins pour réfléchir sur la transition écologique et à qui on fera porter le chapeau des financements qu’il faudra bien trouver, rien sur le prix du diesel qui reflambe ou sur les 80 à l’heure, indexation des petites retraites, mais décote importante pour motiver les gens à travailler plus longtemps que 62 ans et incitation des femmes à divorcer encore davantage par la garantie par l’État du versement des pensions alimentaires en affranchissant ainsi certaines écervelées, souvent multirécidivistes, des conséquences de leur manque de discernement en matière de choix du géniteur de leur progéniture, progéniture qui avec un peu de chance pourra bénéficier des cours de Français désormais dispensés deux fois par mois par Brigitte Macron, l’option théâtre et cours particuliers étant pour l’instant facultative. Après une heure d’auto-congratulations et de considérations métaphysico-poétiques sur l’art d’être Français, le détenteur du record mondial de logorrhée verbale sans pause pipi, visiblement atteint en direct d’un court-circuit neuronal, se met à clamer qu’il allait s’occuper de l’Islam politique, du communautarisme dans certains quartiers en sécession, des détournements du regroupement familial et que pour entamer cette reconquista on avait besoin de frontières. Une fois que j’ai eu réussi à recracher la cacahuète que j’avais commis l’erreur de manger en même temps et à faire signe à ma femme qu’elle pouvait raccrocher et libérer la ligne du SAMU pour des cas plus graves, après une réécoute attentive du passage tout cela ressemble furieusement à une adhésion, cette fois assumée, à la ligne politique que le bientôt sous les barreaux Soral théorise sous la dénomination de national-sionisme : en gros la main droite tape sur les « arabes » pendant que la gauche fait entrer les migrants. Je n’ai jamais pensé que l’Islam était compatible avec la France ni cru à la main tendue Soralienne, mais en bon pragmatique je ne demandais qu’à être convaincu du contraire et je pense que, vu la tournure des évènements, beaucoup dans les quartiers, qui sont les prochains sur la liste à devoir se faire remplacer dans la hiérarchie des priorités sociales, vont bientôt regretter de ne pas m’avoir donné tort et, se contentant de compter les points pendant 24 semaines, d’avoir refusé la main que leur tendaient les gilets Jaunes. En attendant, ils continueront à voter massivement pour ceux qui les utilisent et, fort de cette certitude, le droit de vote aux européennes dans les prisons introduit, tant au sens propre que figuré, cette année n’est pas juste une lubie innocente.
J’ai toujours dit que tout ce qui pouvait nuire à Macron que cela vienne de gauche ou de droite, et c’est la force des gilets Jaunes, était bon à prendre car il n’a beau être qu’un pantin il est la cheville qui tient tout l’édifice fragilisé, mais si on attend trop et que le système qui place déjà ses pions un peu partout parvient à trouver une solution de rechange, c’est cuit. Or force est de constater que si elle n’est pas équilibrée par des voix nationalistes au vrai sens du terme, la gauche, livrée à elle-même fait ce qu’elle sait faire le mieux, neutraliser les mouvements sociaux en saucissonnant les problèmes pour qu’on perde la vision d’ensemble et en épuisant les énergies dans des luttes contre des moulins à vents ou contre des conséquences dont on méconnait les causes. La gauchisation du mouvement a fait qu’après avoir commencé par mettre le feu à des préfectures, saccager des temples maçonniques, défoncer des portes de ministère et s’approcher dangereusement de l’Élysée, des médias et des banques il a glissé vers le saccage et le pillage de boutiques, loin du 16éme arrondissement, perpétrés par des blacks blocs que seul un brassard (et encore pas toujours) différencie des hommes de la BAC et réciproquement et toujours pas arrêtés malgré les nouvelles brigades policières, styles Stormtroopers Star Wars mais dotées de braguettes sur les uniformes, qui se focalisent de manière aléatoire et violente sur les gilets jaunes. Simultanément les doléances tendent à porter non vers un véritable changement de système mais à valider l’escroquerie syndicale d’une meilleure redistribution des miettes par l’État, oubliant que ledit état, par nature parasitaire, ne produit rien et ne peut que redistribuer un pourcentage de ce qu’il pique et que dans sa forme actuelle, il n’est pas la solution, mais une partie du problème. Ce manque d’équilibre se fait sentir également au sein des gilets jaunes constituants qui débattent sur le toit de l’édifice sans commencer par les fondations, à savoir : qu’est-ce que la France et par extension qu’est-ce qu’être français pour que ça ait un sens et que ce soit viable ? Peut-on encore accepter l’oxymore de la double nationalité et valider qu’un joueur puisse être licencié à la fois à l’OM et au PSG ? Reconnait-on l’héritage catholique ? La laïcité, sous sa forme actuelle, est-elle dans l’intérêt de la France et des Français ? Doit-on accepter des religions qui sont aussi des systèmes politiques ? Doit-on tolérer les communautés et les réseaux d’influence ? Quels doivent-être les avantages des Français par rapport aux non-Français et surtout quel est notre but collectif, notre finalité ? Contrairement à ce qu’essaient de nous faire gober des gens comme Branco en mettant la charrue avant les bœufs, certes nous sommes dans cette situation parce que nous avons des élites corrompues, mais c’est parce que nous n’avons jamais répondu à ces questions que nous avons des élites corrompues. Questions que nous épargnait, à mon avis à tort, la spiritualité religieuse.
Quand on dit « l’humain d’abord », slogan que Macron, particulièrement souple des abducteurs a fait sien dans son allocution, capable « en même temps », dans le même discours, d’éléments de langages marinistes et mélanchonistes, je suis toujours un peu perplexe. Le seul fait d’être humain est-il censé nous accorder une valeur quelconque ? Parce que Hitler ou Staline étaient humains, Marc Dutroux est humain. Même Macron ou Castaner sont humains et franchement entre les sauver eux et sauver le dernier rhinocéros blanc d’Afrique ou même un moustique tigre galeux porteur du chikungunya, je n’hésite pas un dixième de seconde. L’humain est peut-être précieux dans l’absolu quand ils se serre dans des cavernes et qu’il suffit d’un mauvais hiver ou d’une petite fringale d’un tigre à dents de sabre pour menacer la survie de l’espèce mais à 9 milliards, 20 milliards, 40 milliards il vient forcément un moment ou chaque être humain supplémentaire menace la survie des autres qui sont aussi humains, donc quel humain est précieux celui qui est déjà là, ou le nouveau qui arrive ? L’humain qui n’existera plus pour perpétuer l’espèce est-il moins sacré ou moins important que celui qui existe déjà en trop grand nombre pour que les ressources limitées du monde lui permettent de voir jamais le jour ? Je l’ai déjà dit, être humain est le plus petit dénominateur commun, comme être un mammifère et ne suffit pas à nous conférer une quelconque valeur. La valeur de l’humain, spécifique à chacun, est sociale car si notre but est juste de manger, de copuler et de nous reproduire, les blattes le font mieux que nous et si notre différence c’est qu’en plus on consomme, on gagnera certes une valeur économique, mais cette valeur économique est l’antithèse de l’humanité et nous rend tous interchangeables et obsolètes. La notion de « l’humain d’abord » qui nie les différences entre le gentil, le méchant, le pédophile, l’ingénieux, le fort, le faible et vend l’illusion que nous sommes tous égaux, donc là-aussi interchangeables, est donc parfaitement complémentaire avec la logique marchande qu’elle prétend combattre, d’ailleurs la demande principale de ceux qui se réclament de cette idéologie se borne souvent à plus de pouvoir d’achat. C’est d’autant plus incohérent qu’ils sont généralement des anticatholiques féroces qui se privent ainsi du seul argument, le sacré, qui tiendrait un peu la route pour justifier cette position égalitaire. Ce qui compte ce n’est pas l’humain indifférencié, mais le lien social qui lui est sélectif.
Il y a quelques jours, une gamine de 15 ans, l’âge de ma fille, et tout à fait humaine, s’est faite violer par un humain de 28 ans en plein après-midi dans un TER pendant que d’autres humains indifférents à la chose ont préféré regarder Game of Thrones sur leur Samsung ou leur iPhone, ou se sont dit que les emmerdements encourus face à des juges, eux-aussi humains, s’ils avaient le malheur de ne serait-ce que retourner un ongle d’un agresseur qui, même s’il leur donnait un coup de couteau, serait relâché avant qu’ils n’arrivent au cimetière, n’en valaient pas la chandelle. Lequel de ces humains d’abord ?
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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