Bonjour!
Les patronymes véhiculent souvent un message subliminal qui aurait fait les délices de feu Raymond Devos. J’ai déjà parlé de Belloubet, qui objectivement n’est pas belle ce qui répond à la question et je passe sur Schiappa qui est trop facile, même si on le prononce « Skiappa » contrairement à Emmanuel Macron. C’est vrai que si Griveaux, lui, évoque phonétiquement un bovidé monochrome ce qui est une excellente définition de notre transpalettophobe, le fait qu’il a été un temps rattaché au ministère de Bruno le Maire donne en bonus un succulent « Griveaux sous le Maire » ; un truc pareil ça ne s’invente pas. Et à propos de maire, selon le même hasard syllabique, on comprend mieux que ledit Griveaux ait été adoubé pour candidater à la mairie de Paris au détriment de Mahjoubi, lequel pourtant cochait pas mal de cases, du seul fait que quand on entend plusieurs fois Mahjoubi, Mahjoubi, on a tendance à penser que si sa joue est bi il n’est pas 100 % homo ce qui à Paris, qui fut un temps l’arche de Delanoë, peut-être disqualifiant. Surtout si l’on considère l’entourage de Bourrine Hidalgo seulement menacée par Marine Le Pen dans la course effrénée à la promotion de l’homo-erectus censé pourtant être éteint depuis 140 000 ans. Depuis qu’il y a du bi partout, c’est le bordel, ça a commencé par le Flanby sous Hollande, que pour aussi incroyable que cela aurait pu sembler à l’époque on commence presque à regretter, Macron préférant les hommes bi à la gélatine, ce qui de fil en aiguille, en raison de cet accent parisien, que par chez nous on a du mal à comprendre, explique que l’individu soit passé logiquement desdits hommes bi (zombi) à the walking dead. Certes, l’observation quotidienne de son épouse l’avait probablement sensibilisé au concept, mais confronté depuis 20 semaines à des hordes jaunes, cannibales et antisémites, il est carrément passé en mode Negan, ce qui explique pourquoi les LBD visent systématiquement la tête et qu’à l’instar du méchant de la série que je viens d’évoquer, faute de pouvoir nommer affectueusement Lucille une batte de base-ball entourée de barbelés, la seule explication logique au souhait de sagesse qui a suivi ses vœux de rétablissement à une manifestante blessée, c’est qu’il a visiblement décidé de baptiser « sagesse » la matraque des policiers. Matraque contre laquelle a stupidement trébuché à plusieurs reprises cette septuagénaire, particulièrement maladroite, selon la version estrosienne, récemment démentie, et qu’on a laissée mariner de longues minutes dans son sang, le crâne en tangram, pendant qu’on plaçait en garde à vue les street médics qui suppliaient qu’on les laisse l’aider. C’est vrai qu’en agitant son terrible drapeau de la paix elle a dû tuer deux ou trois mouches LGBT attirées par les couleurs vaguement similaires et on comprend l’inquiétude des forces de l’ordre face à une telle menace, justifiant une charge violente d’une police qu’on a connue plus mesurée face aux émeutes récentes dans les quartiers grenoblois ou au Mans face à des gitans inventeurs du concept original de caravane Molotov. Manque de pot, la Mamie supposée servir d’exemple afin de dissuader nos braves retraités de ramener leur fraise, à défaut de les sucrer, a la tête dure et ayant eu la mauvaise idée de ne pas clamser, vire au symbole contre-productif plutôt qu’à l’épouvantail souhaité. Ah, ces retraités, bons pour payer des taxes mais qui ignorent visiblement qu’ils ont, imprimée sur le fondement, une date limite de manifestation, sinon de péremption et que, sauf pour aller voter aux européennes pour la liste de bras cassés macronistes menée, là non plus ça ne s’invente pas, par Nathalie Loiseau, visiblement de malheur, si l’on considère que l’estrade s’est effondrée le jour de la présentation de ladite liste, présentation effectuée par un type qu’on espère sous psychotropes étant donné à quel point il n’avait aucune idée de qui était qui, sauf cette exception donc, passé 70 balais, se balader en dehors de l’enceinte d’un EHPAD frise apparemment, selon Macron qui sait de quoi il parle, l’inconscience sénile sachant que si la police est censée nous protéger des criminels, il n’y a personne pour nous protéger de la police. À ce rythme, la prochaine fois qu’on entendra hurler Allah akbar, les gens diront « Ouf, c’est juste un terroriste islamiste ! J’ai eu peur, j’ai cru que c’étaient les CRS. ».
Toujours est-il qu’une fois Nice déblayée d’un peuple odorant et peu esthétique qui laisse des taches de sang partout sur les trottoirs, notre macronissime a courageusement surmonté son aversion pour le jaune en recevant Xi-Jin Ping, le président chinois venu sans Pong et sans raquette, prendre quelques leçons de démocratie, voir s’il restait quelques trucs bradés qu’il n’aurait pas encore achetés et discuter échanges commerciaux. À sa grande surprise Macron, en proie à une poussée d’humilité inhabituelle et ne faisant même plus semblant que la France décide quoi que ce soit en dehors des augmentations de taxes, a préféré qu’il traite directement avec la patronne, à savoir Angela Merkel, conviée pour l’occasion, Juncker n’étant visiblement là que dans l’espoir toujours déçu de trouver un délicat équilibre confinant au Saint-Graal en combinant en temps réel selon un algorithme compliqué les données d’un anémomètre couplé à un éthylomètre. Que Macron soit mal intentionné, on le sait, mais à sa décharge, même s’il le voulait, il est du genre à se pointer sincèrement avec une perceuse sur le tournage d’un porno ne respectant pas la parité républicaine et dont le taux de remplissage de l’actrice ferait rêver une chaîne hôtelière et inspirerait trois bouquins à Marlène Schiappa : sur le papier avec un foret adapté ça ouvre des possibilités au-delà des trous de nez, mais il faut quand-même être légèrement énarque sur les bords pour y voir une bonne idée. On est toujours surpris de ce que peut nous concocter un individu doté de ce genre de connexions neuronales.
Apparemment, on a considéré que c’était une bonne idée que de faire déambuler sur les Champs-Élysées un préfet aux épaules visiblement en option dans une gabardine trop grande avec une énorme casquette à la Himmler vissée sur une tronche improbable dont la topographie particulière génère une petite ombre carrée au-dessus de la lèvre supérieure, et qui, de surcroît, là encore ça ne s’invente pas, s’appelle Lallemant. Heureusement que désormais la propagande se fait en couleur car, en noir et blanc et avec la musique qui va bien, ceux qui, les républicains en tête, réclament l’ordre à cor et à cri, sans se soucier des odeurs d’aisselles (avec une apostrophe) de Castaner en sortie de boite qui remontent, pourraient éprouver une forme de nostalgie à la vue de cette figure éthérée mais néanmoins martiale inspectant ses troupes dès potron-minet dans un périmètre désert quadrillé par des forces de l’ordre, des drones et des blindés de police devant, dans l’attente du déploiement éventuel du Charles de Gaulle, un Fouquet’s transformé en cuirassé Potemkine, la tourelle avec les canons en moins, avec de surcroît contrôles d’identité tous les dix mètres des quelques touristes chinois bravant le couvre-feu et tentant d’expliquer aux policiers les plus zélés que la pigmentation naturelle de leur peau ne vaut pas soutien aux gilets jaunes sachant que, par les temps qui courent, au lieu de libérer les camps on aurait juste verbalisé les gens 135€ par tête de pipe pour port d’une étoile jaune illicite à l’instar de ce couple, sanctionné juste pour porter un pull avec la mention RIC… Si on rajoute le déploiement de l’armée prête à tirer, si besoin, à balles réelles sur la foule, j’espère que tous ceux qui ont voté Macron en 2017 pour éviter le fascisme cannibale de l’effroyable Marine Le Pen, la France Insoumise et les syndicats en tête, mesurent l’ironie de la chose, ce qui, hélas, je n’en doute pas une seconde, ne les empêchera pas de recommencer comme un seul homme si la même configuration venait à se représenter.
C’est vrai que ce qu’on appelle aujourd’hui la gauche est pour le mondialisme de l’immigration mais contre celui de la finance, tandis que la « soi-disant » droite qui ne vaut pas mieux, est, dans ses actes en tout cas, pour le mondialisme de la finance mais contre celui de l’immigration au nom de quoi elle se prétend, abusivement, nationaliste. Les uns ne veulent que le côté pile de la pièce, les autres que le côté face, mais c’est la pièce tout entière qu’on leur insère dans la fente. Il y a deux sortes de ce qu’on appelle à tort « les gauchistes », ceux qui, saints d’esprit, sont juste tombés dans le piège médiatico-politique de la segmentation des luttes qui les empêche de voir le schéma général et ceux, cliniquement atteints, qui ont désespérément besoin de remplir leur vide idéologique et spirituel par une croyance inébranlable qui les rassure sur leur valeur propre et les place à peu de frais du côté des gentils. Trop fréquenter les Gilets Jaunes et augmenter leur niveau d’analyse est très risqué pour les premiers qui risquent fort de se voir vite traiter de fachos par les seconds, par définition incurables, et de devenir de moins en moins manipulables par le gouvernement. J’ai même entendu récemment des blacks blocks qui commençaient à dire des trucs pas trop cons. Dans cette première catégorie on pourrait mettre notre brave septuagénaire de Nice, militante d’Attac organisation immigrationniste dont le site croule sous les écritures inclusives et qui à 74 ans continue à se battre, certes avec courage et cette fois dans le bon camp, mais le plus souvent contre les conséquences dont elle chérit les causes, condamnant la peste mais laissant passer les rats au nom du principe absurde d’humanité universelle qui sous-tend tout l’édifice capitaliste mondialisé.
Pour ce qui est de l’autre catégorie, dans ma jeunesse, j’ai bossé plusieurs mois en hôpital psychiatrique ce qui m’a donné une sorte de radar à fous et quand je vois quelqu’un qui hurle « parce que c’est notre projet », ledit radar tilte. Comme dans ce type d’établissement tout le monde est plus ou moins sous camisole chimique, on finit par ne plus savoir où s’arrête la pathologie et où commencent les effets de la médication. Parfois, au début, devant certaines personnes parfaitement rationnelles, on se demande ce qu’elles font là, jusqu’à ce que, au milieu de la conversation, elles ouvrent leur braguette, pissent par terre, puis reprennent là où elles en étaient restées comme si de rien n’était. C’est un peu l’impression que me donnent certains intellectuels de gauche. L’autre jour j’écoutais une interview de Juan Branco sur Sud Radio. Honnêtement, le type était brillant et tout d’un coup, il se met à parler de l’importance de défendre les minorités, souillant mentalement mes godasses certes pas neuves mais qui pouvaient encore faire. Tout est faux dans ce concept. Si le seul fait d’être une minorité justifie d’être défendu, ça va réjouir les minorités Cannibales, pédophiles, exhibitionnistes, radicales islamistes sans compter celle qui pense que Marlène Schiappa est intelligente. De plus, les défendre suppose un ennemi, lequel est bien évidemment la majorité, donc nous, ce qui n’est rien moins qu’une forme de suicide. Enfin, la chose est présentée comme une évidence : il faut, on doit. La bonté, si tant est que c’en est, devient antinomiquement obligatoire, flatter l’ego de nombrilistes accros à la gratification immédiate procurée par un jugement moral arbitraire qui les place dans le camp du bien prévalant sur la logique, la survie et l’intérêt collectif. La morale n’a pas sa place dans ce genre de considération. Soit on choisit une société basée sur la nature, centrée autour de la famille ou du clan, et qui demande peu d’entretien, soit on choisit une société à la Aldous Huxley qui, comme la culture du bonsaï, demande une pression et des contraintes permanentes pour tenter de s’affranchir des lois naturelles, ce qui impose un régime totalitaire. Dans le premier cas la protection offerte par la société se tourne naturellement vers ceux qui sont diminués parce qu’ils n’ont pas encore ou n’ont plus l’ensemble de leurs capacités : enfants, personnes âgées, accidentés de la vie etc. et seulement lorsque le stress occasionné dépasse les capacités de solidarité naturelle de la famille à laquelle ils appartiennent, elle consiste également à mutualiser la protection contre des éléments déviants et criminels ou les agressions extérieures. Sauf à décréter, sous réserve qu’elle fasse déjà partie du tissus national, qu’une personne d’une minorité quelconque soit diminuée et qu’elle occasionne un stress anormal, de nature à perturber la cohésion de sa cellule familiale ou de la société, la personne doit faire comme tout le monde et se démerder avec ses caractéristiques et les cartes qu’elle a, comme être grand ou petit, et que la nature distribue inéquitablement, justement pour maximiser les complémentarités indispensables à une société complexe. Mais bon, tant que tous ces gens défendent les gilets jaunes et une partie, souvent plus ténue qu’il n’y paraît, de leurs revendications, on aurait tort de faire la fine bouche et tous ceux qui ont au moins compris que la première étape c’est que Macron dégage sont les bienvenus.
Le souci avec cette gauchisation à outrance, outre qu’elle cherche à réduire le mouvement à des revendications sociales qui les met à l’abri de leurs contradictions internes et fait fuir certains de ceux qui voient juste l’autre côté de la pièce, c’est qu’il suffirait au dit Macron, qui avant d’attaquer les crèches, poursuit son grand débat dans les écoles maternelles, de proposer, en guise de test, un référendum intelligemment rédigé sur l’immigration avec des propositions concrètes, pour réussir cette division du mouvement qu’il a tenté par tous les autres moyens. Seul le risque trop grand, pour le gouvernement, d’une large majorité se prononçant pour les propositions les plus radicales nous protège encore de cette manœuvre. A court d’option, je suis curieux de savoir combien de temps encore, l’état, qui a prouvé qu’il pouvait faire fuir les clients des commerces plus efficacement que les Gilets Jaunes, pourra aligner un tel déploiement de force. Sachant, en outre que, grâce au zèle servile de préfets inconséquents, la paranoïa totalitaire se répand désormais de façon tout aussi ridicule à Avignon, Bordeaux et autres où on fouille les poussettes, on baisse les herses et on lève anxieusement le pont-levis avant l’attaque des barbares sanguinaires.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
Les patronymes véhiculent souvent un message subliminal qui aurait fait les délices de feu Raymond Devos. J’ai déjà parlé de Belloubet, qui objectivement n’est pas belle ce qui répond à la question et je passe sur Schiappa qui est trop facile, même si on le prononce « Skiappa » contrairement à Emmanuel Macron. C’est vrai que si Griveaux, lui, évoque phonétiquement un bovidé monochrome ce qui est une excellente définition de notre transpalettophobe, le fait qu’il a été un temps rattaché au ministère de Bruno le Maire donne en bonus un succulent « Griveaux sous le Maire » ; un truc pareil ça ne s’invente pas. Et à propos de maire, selon le même hasard syllabique, on comprend mieux que ledit Griveaux ait été adoubé pour candidater à la mairie de Paris au détriment de Mahjoubi, lequel pourtant cochait pas mal de cases, du seul fait que quand on entend plusieurs fois Mahjoubi, Mahjoubi, on a tendance à penser que si sa joue est bi il n’est pas 100 % homo ce qui à Paris, qui fut un temps l’arche de Delanoë, peut-être disqualifiant. Surtout si l’on considère l’entourage de Bourrine Hidalgo seulement menacée par Marine Le Pen dans la course effrénée à la promotion de l’homo-erectus censé pourtant être éteint depuis 140 000 ans. Depuis qu’il y a du bi partout, c’est le bordel, ça a commencé par le Flanby sous Hollande, que pour aussi incroyable que cela aurait pu sembler à l’époque on commence presque à regretter, Macron préférant les hommes bi à la gélatine, ce qui de fil en aiguille, en raison de cet accent parisien, que par chez nous on a du mal à comprendre, explique que l’individu soit passé logiquement desdits hommes bi (zombi) à the walking dead. Certes, l’observation quotidienne de son épouse l’avait probablement sensibilisé au concept, mais confronté depuis 20 semaines à des hordes jaunes, cannibales et antisémites, il est carrément passé en mode Negan, ce qui explique pourquoi les LBD visent systématiquement la tête et qu’à l’instar du méchant de la série que je viens d’évoquer, faute de pouvoir nommer affectueusement Lucille une batte de base-ball entourée de barbelés, la seule explication logique au souhait de sagesse qui a suivi ses vœux de rétablissement à une manifestante blessée, c’est qu’il a visiblement décidé de baptiser « sagesse » la matraque des policiers. Matraque contre laquelle a stupidement trébuché à plusieurs reprises cette septuagénaire, particulièrement maladroite, selon la version estrosienne, récemment démentie, et qu’on a laissée mariner de longues minutes dans son sang, le crâne en tangram, pendant qu’on plaçait en garde à vue les street médics qui suppliaient qu’on les laisse l’aider. C’est vrai qu’en agitant son terrible drapeau de la paix elle a dû tuer deux ou trois mouches LGBT attirées par les couleurs vaguement similaires et on comprend l’inquiétude des forces de l’ordre face à une telle menace, justifiant une charge violente d’une police qu’on a connue plus mesurée face aux émeutes récentes dans les quartiers grenoblois ou au Mans face à des gitans inventeurs du concept original de caravane Molotov. Manque de pot, la Mamie supposée servir d’exemple afin de dissuader nos braves retraités de ramener leur fraise, à défaut de les sucrer, a la tête dure et ayant eu la mauvaise idée de ne pas clamser, vire au symbole contre-productif plutôt qu’à l’épouvantail souhaité. Ah, ces retraités, bons pour payer des taxes mais qui ignorent visiblement qu’ils ont, imprimée sur le fondement, une date limite de manifestation, sinon de péremption et que, sauf pour aller voter aux européennes pour la liste de bras cassés macronistes menée, là non plus ça ne s’invente pas, par Nathalie Loiseau, visiblement de malheur, si l’on considère que l’estrade s’est effondrée le jour de la présentation de ladite liste, présentation effectuée par un type qu’on espère sous psychotropes étant donné à quel point il n’avait aucune idée de qui était qui, sauf cette exception donc, passé 70 balais, se balader en dehors de l’enceinte d’un EHPAD frise apparemment, selon Macron qui sait de quoi il parle, l’inconscience sénile sachant que si la police est censée nous protéger des criminels, il n’y a personne pour nous protéger de la police. À ce rythme, la prochaine fois qu’on entendra hurler Allah akbar, les gens diront « Ouf, c’est juste un terroriste islamiste ! J’ai eu peur, j’ai cru que c’étaient les CRS. ».
Toujours est-il qu’une fois Nice déblayée d’un peuple odorant et peu esthétique qui laisse des taches de sang partout sur les trottoirs, notre macronissime a courageusement surmonté son aversion pour le jaune en recevant Xi-Jin Ping, le président chinois venu sans Pong et sans raquette, prendre quelques leçons de démocratie, voir s’il restait quelques trucs bradés qu’il n’aurait pas encore achetés et discuter échanges commerciaux. À sa grande surprise Macron, en proie à une poussée d’humilité inhabituelle et ne faisant même plus semblant que la France décide quoi que ce soit en dehors des augmentations de taxes, a préféré qu’il traite directement avec la patronne, à savoir Angela Merkel, conviée pour l’occasion, Juncker n’étant visiblement là que dans l’espoir toujours déçu de trouver un délicat équilibre confinant au Saint-Graal en combinant en temps réel selon un algorithme compliqué les données d’un anémomètre couplé à un éthylomètre. Que Macron soit mal intentionné, on le sait, mais à sa décharge, même s’il le voulait, il est du genre à se pointer sincèrement avec une perceuse sur le tournage d’un porno ne respectant pas la parité républicaine et dont le taux de remplissage de l’actrice ferait rêver une chaîne hôtelière et inspirerait trois bouquins à Marlène Schiappa : sur le papier avec un foret adapté ça ouvre des possibilités au-delà des trous de nez, mais il faut quand-même être légèrement énarque sur les bords pour y voir une bonne idée. On est toujours surpris de ce que peut nous concocter un individu doté de ce genre de connexions neuronales.
Apparemment, on a considéré que c’était une bonne idée que de faire déambuler sur les Champs-Élysées un préfet aux épaules visiblement en option dans une gabardine trop grande avec une énorme casquette à la Himmler vissée sur une tronche improbable dont la topographie particulière génère une petite ombre carrée au-dessus de la lèvre supérieure, et qui, de surcroît, là encore ça ne s’invente pas, s’appelle Lallemant. Heureusement que désormais la propagande se fait en couleur car, en noir et blanc et avec la musique qui va bien, ceux qui, les républicains en tête, réclament l’ordre à cor et à cri, sans se soucier des odeurs d’aisselles (avec une apostrophe) de Castaner en sortie de boite qui remontent, pourraient éprouver une forme de nostalgie à la vue de cette figure éthérée mais néanmoins martiale inspectant ses troupes dès potron-minet dans un périmètre désert quadrillé par des forces de l’ordre, des drones et des blindés de police devant, dans l’attente du déploiement éventuel du Charles de Gaulle, un Fouquet’s transformé en cuirassé Potemkine, la tourelle avec les canons en moins, avec de surcroît contrôles d’identité tous les dix mètres des quelques touristes chinois bravant le couvre-feu et tentant d’expliquer aux policiers les plus zélés que la pigmentation naturelle de leur peau ne vaut pas soutien aux gilets jaunes sachant que, par les temps qui courent, au lieu de libérer les camps on aurait juste verbalisé les gens 135€ par tête de pipe pour port d’une étoile jaune illicite à l’instar de ce couple, sanctionné juste pour porter un pull avec la mention RIC… Si on rajoute le déploiement de l’armée prête à tirer, si besoin, à balles réelles sur la foule, j’espère que tous ceux qui ont voté Macron en 2017 pour éviter le fascisme cannibale de l’effroyable Marine Le Pen, la France Insoumise et les syndicats en tête, mesurent l’ironie de la chose, ce qui, hélas, je n’en doute pas une seconde, ne les empêchera pas de recommencer comme un seul homme si la même configuration venait à se représenter.
C’est vrai que ce qu’on appelle aujourd’hui la gauche est pour le mondialisme de l’immigration mais contre celui de la finance, tandis que la « soi-disant » droite qui ne vaut pas mieux, est, dans ses actes en tout cas, pour le mondialisme de la finance mais contre celui de l’immigration au nom de quoi elle se prétend, abusivement, nationaliste. Les uns ne veulent que le côté pile de la pièce, les autres que le côté face, mais c’est la pièce tout entière qu’on leur insère dans la fente. Il y a deux sortes de ce qu’on appelle à tort « les gauchistes », ceux qui, saints d’esprit, sont juste tombés dans le piège médiatico-politique de la segmentation des luttes qui les empêche de voir le schéma général et ceux, cliniquement atteints, qui ont désespérément besoin de remplir leur vide idéologique et spirituel par une croyance inébranlable qui les rassure sur leur valeur propre et les place à peu de frais du côté des gentils. Trop fréquenter les Gilets Jaunes et augmenter leur niveau d’analyse est très risqué pour les premiers qui risquent fort de se voir vite traiter de fachos par les seconds, par définition incurables, et de devenir de moins en moins manipulables par le gouvernement. J’ai même entendu récemment des blacks blocks qui commençaient à dire des trucs pas trop cons. Dans cette première catégorie on pourrait mettre notre brave septuagénaire de Nice, militante d’Attac organisation immigrationniste dont le site croule sous les écritures inclusives et qui à 74 ans continue à se battre, certes avec courage et cette fois dans le bon camp, mais le plus souvent contre les conséquences dont elle chérit les causes, condamnant la peste mais laissant passer les rats au nom du principe absurde d’humanité universelle qui sous-tend tout l’édifice capitaliste mondialisé.
Pour ce qui est de l’autre catégorie, dans ma jeunesse, j’ai bossé plusieurs mois en hôpital psychiatrique ce qui m’a donné une sorte de radar à fous et quand je vois quelqu’un qui hurle « parce que c’est notre projet », ledit radar tilte. Comme dans ce type d’établissement tout le monde est plus ou moins sous camisole chimique, on finit par ne plus savoir où s’arrête la pathologie et où commencent les effets de la médication. Parfois, au début, devant certaines personnes parfaitement rationnelles, on se demande ce qu’elles font là, jusqu’à ce que, au milieu de la conversation, elles ouvrent leur braguette, pissent par terre, puis reprennent là où elles en étaient restées comme si de rien n’était. C’est un peu l’impression que me donnent certains intellectuels de gauche. L’autre jour j’écoutais une interview de Juan Branco sur Sud Radio. Honnêtement, le type était brillant et tout d’un coup, il se met à parler de l’importance de défendre les minorités, souillant mentalement mes godasses certes pas neuves mais qui pouvaient encore faire. Tout est faux dans ce concept. Si le seul fait d’être une minorité justifie d’être défendu, ça va réjouir les minorités Cannibales, pédophiles, exhibitionnistes, radicales islamistes sans compter celle qui pense que Marlène Schiappa est intelligente. De plus, les défendre suppose un ennemi, lequel est bien évidemment la majorité, donc nous, ce qui n’est rien moins qu’une forme de suicide. Enfin, la chose est présentée comme une évidence : il faut, on doit. La bonté, si tant est que c’en est, devient antinomiquement obligatoire, flatter l’ego de nombrilistes accros à la gratification immédiate procurée par un jugement moral arbitraire qui les place dans le camp du bien prévalant sur la logique, la survie et l’intérêt collectif. La morale n’a pas sa place dans ce genre de considération. Soit on choisit une société basée sur la nature, centrée autour de la famille ou du clan, et qui demande peu d’entretien, soit on choisit une société à la Aldous Huxley qui, comme la culture du bonsaï, demande une pression et des contraintes permanentes pour tenter de s’affranchir des lois naturelles, ce qui impose un régime totalitaire. Dans le premier cas la protection offerte par la société se tourne naturellement vers ceux qui sont diminués parce qu’ils n’ont pas encore ou n’ont plus l’ensemble de leurs capacités : enfants, personnes âgées, accidentés de la vie etc. et seulement lorsque le stress occasionné dépasse les capacités de solidarité naturelle de la famille à laquelle ils appartiennent, elle consiste également à mutualiser la protection contre des éléments déviants et criminels ou les agressions extérieures. Sauf à décréter, sous réserve qu’elle fasse déjà partie du tissus national, qu’une personne d’une minorité quelconque soit diminuée et qu’elle occasionne un stress anormal, de nature à perturber la cohésion de sa cellule familiale ou de la société, la personne doit faire comme tout le monde et se démerder avec ses caractéristiques et les cartes qu’elle a, comme être grand ou petit, et que la nature distribue inéquitablement, justement pour maximiser les complémentarités indispensables à une société complexe. Mais bon, tant que tous ces gens défendent les gilets jaunes et une partie, souvent plus ténue qu’il n’y paraît, de leurs revendications, on aurait tort de faire la fine bouche et tous ceux qui ont au moins compris que la première étape c’est que Macron dégage sont les bienvenus.
Le souci avec cette gauchisation à outrance, outre qu’elle cherche à réduire le mouvement à des revendications sociales qui les met à l’abri de leurs contradictions internes et fait fuir certains de ceux qui voient juste l’autre côté de la pièce, c’est qu’il suffirait au dit Macron, qui avant d’attaquer les crèches, poursuit son grand débat dans les écoles maternelles, de proposer, en guise de test, un référendum intelligemment rédigé sur l’immigration avec des propositions concrètes, pour réussir cette division du mouvement qu’il a tenté par tous les autres moyens. Seul le risque trop grand, pour le gouvernement, d’une large majorité se prononçant pour les propositions les plus radicales nous protège encore de cette manœuvre. A court d’option, je suis curieux de savoir combien de temps encore, l’état, qui a prouvé qu’il pouvait faire fuir les clients des commerces plus efficacement que les Gilets Jaunes, pourra aligner un tel déploiement de force. Sachant, en outre que, grâce au zèle servile de préfets inconséquents, la paranoïa totalitaire se répand désormais de façon tout aussi ridicule à Avignon, Bordeaux et autres où on fouille les poussettes, on baisse les herses et on lève anxieusement le pont-levis avant l’attaque des barbares sanguinaires.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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