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jeudi 4 juillet 2019

Griezmann, Miss France... La société malade de "l'antiracisme" (18 janv. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/5riAImseL6E


Bonjour, pour avancer dans la vie et nous permettre de prendre des décisions urgentes, quand on n'a pas toutes les informations, on a besoin d'avoir une échelle de valeurs, lesquelles doivent, autant que faire se peut, être étayées et confirmées par la réalité. Tout en bas de mon échelle de valeurs, je place par exemple ici, le coliforme fécal, là, le couillon terroriste amateurs de vierges célestes, au ras du sol, nos politiciens véreux, et j'ai carrément besoin d'une excavatrice pour situer tous ces lamentable crétins qui, dans la même logique implacable que l'inénarrable Nadine Morano quand elle dit : "je ne suis pas raciste, j'ai même une amie noire" ou l'escroc qui dit : "je suis honnête, la preuve je vais à la messe le Dimanche", tweetent comme une meute de hyènes autour d'une charogne dès qu'ils flairent une occasion de montrer au monde, qui jusque-là n'avait même pas conscience de leur pitoyable existence, à quel point ils ne sont pas racistes en tapant sur le méchant raciste du jour qui s'est filmé, bête immonde, en train de manger une tête de nègre pour accompagner son petit noir du matin, tandis que de vrais noirs de chair et de sang sont massacrés régulièrement en Afrique dans l'indifférence générale. Comme pour la poule et l’œuf, difficile de savoir si ces gens sont le produit d'une société malade ou si la société est malade à cause d'eux. Freud et l'armée de coreligionnaires ayant répandu sa science ont fait du bon boulot, en nous abreuvant d'un ramassis de conneries avec, pour conséquence, volontaire ou non, d'inverser les valeurs, valorisant les pervers, devenus normaux, et ramenant le bon père de famille, qui ne voudrait pas coucher avec sa mère, au rang de psychopathe refoulé. L'intérêt potentiel de transformer chaque individu en corpuscule infantilisé et geignard, isolé autour de son nombril et, tant que cela casse, en tuant le père, le sentiment d'appartenance identitaire, lequel a tendance à considérer et traiter comme des corps étrangers ceux qui s'obstinent à garder une autre identité et avoir ainsi le beurre et l'argent du beurre. Dans l'esprit de Freud et de ses disciples dont certains l'ont ouvertement exprimé, si plus de nation, plus d’antisémitisme ! C.Q.F.D. Ils ont pu être tentés, plutôt que, autre option, d'envisager de diluer les juifs (qui eux par contre ont droit à une identité forte inaliénable) ou de les inciter à aller vivre à leur façon chez eux (Freud était résolument contre l'idée d'Israël), de carrément diluer le reste du Monde. On me dira peut-être que j'extrapole, mais ce serait faire insulte au personnage et à son œuvre de ne pas envisager que ce genre de pensée délétère et paranoïaque à tendance égoïstique ait pu effleurer à minima son inconscient voire son préconscient de cocaïnomane, entre le ça, le moi et le surmoi. En tout cas, volontaire ou non, ça a marché et les dégâts sont là. Chaque jour, de la ridicule affaire une Griezmann, à la crinière de lionne de notre Miss 2018, nous sommes rongés davantage par la gangrène d'un faux antiracisme tweetesque et virtuel qui n'a pour but que de susciter la haine par exaspération et de raciser, pour mieux la déconstruire, tous les aspects de notre société qu'elle ne voit que sous le prisme de son obsession, non pas de la défense des opprimés, mais de la destruction de l'homme blanc. La liberté d'appeler un chat un chat et même, au-delà, carrément la moquerie, ont un rôle social évident en transformant des tensions en débat ou en éclats de rire et en nous permettant de vivre en bonne intelligence. Il n'y a rien de raciste dedans. Tout y passe, du Corse fainéant au Marseillais qui exagère, de l'Auvergnat radin au parisien coupé de la réalité. L'immense majorité des gens pouvait rire, en toute mauvaise foi, d'une blague sur les belges ou sur les blondes sans considérer pour autant réellement que les blondes ou les belges, et a fortiori ceux qui cumulent, étaient des idiots, ne serait-ce que parce que lesdits préjugés, plus taquins qu'autre chose, était constamment invalidés par la réalité. Être moqué était un signe d'appartenance, de proximité et parfois d'affection, comme des copains qui se charrient et qui n'accepteraient pas la même remarque venant d'un étranger. Une moquerie vraiment méchante et gratuite, visant seulement à blesser n'est jamais drôle et est naturellement éliminée par les anticorps de la société. C'est aussi un miroir dans lequel ladite société se regarde avec lucidité et rit de ses malheurs. On rit sur les nains, les aveugles, les maladies, la misère, la bêtise, l'argent, l'obésité, la prostitution, Dieu, la religion, la mort, l'avortement, le sexe, le mariage, les cocus, et dans la même veine, se moquer des noirs, des arabes, des juifs, des homos, des LGBT et autres fox à poil dur minoritaires, de façon caricaturale et outrancière, reconnaissant par là- même qu'ils font partie de notre société, devrait être un droit fondamental de tout individu. D'ailleurs, il fut un temps où personne ne s'en offusquait; où l'immigré venait pour bosser et quand il restait n'était pas peu fier si ses enfants devenaient enseignants, médecins ou avocats. Il était respectueux des règles, ne voulant pas retrouver ici ce qu'il avait quitté là-bas et il aimait la France. On pouvait dès lors le caricaturer tant qu'on voulait, la réalité venait remettre les choses en place. Je pense que c'est là le fond du problème. Tant qu'on traite quelqu'un de mauvaise foi de quelque chose que, visiblement, il n'est pas, c'est drôle, mais quand la réalité dépasse la fiction, ça le devient beaucoup moins. Comment se moquer des musulmans quand on crie Allah Akbar à chaque attentat ? Comment se moquer des LGBT quand ils sont représentés par des types obèses peinturlurés, en tutu rose, se baladant cul-nus sur des chars de Gay-Pride et faisant twerker des gamins aussi maquillés qu’eux ? Comment se moquer de ceux qui, aujourd'hui, dealent de la drogue, harcèlent et violent les femmes et font chuter le niveau scolaire des classes dans lesquelles ils deviennent majoritaires ? Comment se moquer de mauvaise foi de l'omniprésence caricaturale des juifs dans les médias quand un Drahi, qui a jeté à la poubelle sa nationalité française pour ne conserver que l'israélienne, détient à lui tout seul une partie conséquente de nos médias ? On peut se moquer des siens, mais tous ces gens, contrairement à ceux qui les ont précédé et à ceux qui bravent aujourd'hui encore l'ostracisation de leurs pairs pour tenter de s'intégrer, ne sont pas des nôtres; et contrairement à ce que l'on essaie de nous faire croire, ce n'est pas nous qui les rejetons par nos propos soi-disant racistes, ce sont eux qui nous rejettent en méprisant non seulement notre société, nos traditions et nos valeurs communes, mais carrément notre identité. On ne peut plus se moquer de personne parce qu'on n'est plus un peuple. En tuant la liberté d'expression on essaie simplement de casser le miroir quand le reflet qu'il nous renvoie de notre société ne nous plaît plus. On n'interdit plus seulement aux gens de se moquer comme ils l'ont fait depuis que l'humanité existe - même les rois les plus puissants acceptant la verve d'un bouffon - mais, ce qui est pire, on leur interdit de nommer leur perception empirique de la réalité, laquelle, chez tout individu sain, fait foi tant que non invalidée par des faits ou des données nouvelles. On peut condamner les gens autant qu'on veut, tant qu'on ne leur apporte pas la preuve tangible que leur perception est fausse, ils continueront à la voir, sachant qu'une ou deux exceptions portées au pinacle par les médias, quand ils finissent par en dénicher une, ne prouvent rien d'autre que ce que tout le monde sait, à savoir que tout groupe d'individus est capable de produire des gens de valeur, la question étant dans quelles proportions. Tant que nous vivions dans un monde dans lequel on appelait un chat un chat et où nul ne se souciait de vexer des autres, le vexé était souvent moqué et dépeint par la littérature comme un idiot ou quelqu'un d'infantile sauf à ce que, au lieu de pleurnicher, il s'extraie de ladite infantilité en se défendant comme un homme ou mieux, en changeant de comportement et en devenant meilleur. De nos jours, le capricieux qui boude, tape du pied et s'érige en victime, rejetant toute responsabilité quant à sa situation sur quelqu'un d'autre, est devenu roi. Le français idéal pour les médias étant un hypothétique noir, musulman, transsexuel, en surpoids, pacsé avec sa sœur mineure, tri-national et dont le grand-père, descendant d'esclaves et ayant souffert pendant l'ignoble colonisation, aurait fini dans un camp nazi pour avoir épousé une juive avec un peu de sang iroquois dans les veines. Autant dire que si vous êtes un bon père de famille un peu pâlichon ayant le malheur de s'appeler Dupont, votre seul droit est de fermer votre gueule et de dire merci qu'on vous tolère à condition que vous vous laissiez racketter par des radars qui vont bientôt vous flashez à kilomètres à l'heure pour financer tous ceux qui ont besoin de nos sous pour continuer à vivre dans l'illusion d'un monde fantasmagorique coupé de la réalité et qui se finira par la fin de la civilisation. Merci de liker et surtout de partager sur vos réseaux sociaux. J'exprime juste un avis que je pense logique et argumenté, susceptible de servir de point de départ à une discussion ouverte et si vous trouvez des failles dans mon raisonnement, ou que vous voyez des points que j'aurais oubliés, les commentaires sont là pour ça. Comme d'habitude, si vous trouvez un intérêt à ce que je dis, la prochaine loi sur les fake-news confirmant la course en avant vers toujours plus de censure, je vous mets également en lien ma chaîne PewTube où vous trouverez une copie de mes vidéos et si, tant que vous y êtes, vous pensez à vous abonner à ladite chaîne vous contribuerez au développement d'une alternative à YouTube. Merci et à bientôt ... j'espère.

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