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vendredi 5 juillet 2019

Quel gouvernement pour sauver la France? (7 mars 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/DsytRgx2W-o


Bonjour, quelqu’un qui se reconnaîtra et dont le pseudo commence par "anti" m’a demandé récemment, dans les commentaires, quel système de gouvernement me semblerait le plus à même de résoudre les problèmes de la France. J’aurais tendance à dire, je m’en fous pourvu qu’il soit sain. J’entends par là que celui qui gouverne officiellement, cela peut être le peuple lui-même, un roi, un dictateur ou quoi que ce soit d'autre, soit en capacité de réellement décider et d’agir, et bien sûr ait à cœur l’intérêt du pays. On peut déjà donc, exclure le système actuel, qui repose sur l’illusion sémantique, pour ne pas dire le mensonge, de la « représentativité ». Notre pseudo démocratie favorise l’arrivée au pouvoir, non des meilleurs pour gouverner, mais des meilleurs à se faire élire ou à éliminer la concurrence, c’est-à-dire des bonimenteurs, voire des menteurs tout- court, et des arrivistes, prêts à baisser leur pantalon et à jouer les girouettes. Il est impossible d’arriver à un haut niveau sans passer par un certain nombre de filtres qui éliminent, impitoyablement, les intègres et les idéalistes et s’assurent que seuls arriveront au sommet les corruptibles, les adeptes du copinage et des réseaux. Et même si, par on ne sait quel miracle poutinien ou Trumpesque, arrivait à la tête du pays quelqu’un de véritablement patriote, la structure même de l’état et des institutions font que les différents lobbies ont suffisamment de prises, à des niveaux subalternes, pour bloquer toute action qui les dessert, alors même que déjà, en temps normal, le temps de réaction et le besoin d’un semblant d’assentiment populaire, font de ladite pseudo démocratie le système le plus inefficace qui soit face à des problèmes graves lesquels, du chômage à l’immigration, ne font que s’amplifier. Même si l’on mettait en place une véritable démocratie, par définition, non représentative (depuis le début, je préconise une démocratie directe numérique et en temps réel dans tous les domaines), un tel système a les limites du peuple lui-même. Dans la perspective d’une vraie démocratie la question à se poser est donc : le peuple français a-t-il la capacité à prendre les décisions rationnelles propres à assurer, à minima, sa survie et celle des générations futures ? Je l’ai un temps naïvement cru, mais, pour l’instant, même si je reste persuadé que, correctement informé et instruit, il en a les capacités, compte tenu des dégâts causés par les idéaux qui se cachent derrière la façade de la république, par le biais de l’éducation, des médias et de la destruction des cellules familiales indispensables pour produire des individus équilibrés, il en est, selon moi, encore très loin (l’élection de Macron, même volée étant symptomatique) et, compte tenu du facteur aggravant de l’immigration massive associée à une faible natalité autochtone, il s’en éloigne chaque jour davantage. Un tel système reste, par nature, dirigé par une majorité molle et consensuelle qui, dans nos cultures en tout cas, et compte tenu du niveau insuffisant de prise de conscience, privilégiera toujours ses valeurs morales sur le pragmatisme et, en cas de crise grave, tentera d’éviter les mesures draconiennes perçues comme inhumaines qui s’imposeraient, pendant la fenêtre réduite durant laquelle leur efficacité serait optimale. Par exemple, aucune démocratie occidentale, déjà incapable d’accepter l’idée pourtant humaine que les migrants soient simplement ramenés à leur point d’origine et leurs bateaux confisqués, n’aurait accepté, à fortiori, la seule solution totalement efficace consistant, comme c’est la règle depuis que l’homme préhistorique a appris à tracer une ligne dans le sable, à tirer à vue et à abattre les premiers migrants qui, SANS DEMANDER LA PERMISSION ont posé pied sur nos côtes, alors que, pourtant, cela aurait stoppé net la vague migratoire, sachant que, même pour la minorité non économique qui aurait cette problématique, entre risquer de mourir chez eux et être sûrs de mourir chez nous, le choix est vite fait. Ces quelques dizaines, ou centaines, de morts auraient sauvé ces innombrables autres qui gisent à présent, bouffés par les poissons, pour que les masses puissent conserver l’illusion de leur grandeur d’âme et de leur humanité dès que les médias braquent les projecteurs quelque part, tandis que, pour tout ce qui reste dans l’ombre, les pires atrocités sont commises dans l’indifférence générale. Si cette seule idée vous semble monstrueuse, vous n’êtes pas un pragmatique, en outre il ne s’agit nullement de renoncer à notre humanité, mais d’admettre que, sauf à continuer à nier la réalité, ladite humanité ne saurait être que la variable d’ajustement d’une décision logique qu’on peut essayer, ensuite, de rendre la plus humaine possible. Il est en effet par définition impossible, à contrario, de prendre une décision « humaine » et d’ensuite essayer de la rendre le plus logique possible. Ça n’a aucun sens. De plus, assumé ou non, si notre but est de sauver notre âme pourquoi est-on tant attaché à notre bien-être matériel ? Qu’est-ce qu’on en a à faire du pouvoir d’achat, de la cohésion sociale, de la civilisation, étant entendu que plus notre vie sur terre sera difficile, plus on aura d’opportunités de gagner le paradis. Il faut bien reconnaitre que, sur ce point, la culture musulmane est moins hypocrite et plus cohérente que la nôtre. C’est d’ailleurs, probablement, une des raisons pour laquelle notre inconscient collectif nous pousse au suicide civilisationnel. Il faut parfois faire un choix entre sauver son âme, ou dans la nouvelle religion droits-de-l’hommesque, son équivalent : la grandeur morale, et sauver la civilisation. Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les démocraties qui créent les âges d’or, mais les systèmes autoritaires qui les précèdent et qui ont fait le ménage nécessaire, mettant en place les conditions favorables. La démocratie est donc un système de gestion ronronnant adapté à des pays qui n’ont pas de problèmes existentiels. Dès que des problèmes surgissent, elle trouve ses limites. Il n’est qu’à voir, en temps de guerre conventionnelle, à quelle vitesse lesdites démocraties changent de visage et multiplient loi martiale, conscription etc. Je pense donc qu’avant que la France puisse évoluer vers une véritable démocratie, une période non démocratique et autoritaire serait nécessaire pour régler les problèmes de manière rapide et efficace, sous réserve, et c’est là que le bât blesse, que la personne à sa tête en ait vraiment la volonté inébranlable et soit disposé à sacrifier sa vie pour ça. En gros, le ticket d’entrée est d’être au minimum Jeanne d’Arc, laquelle n’avait pas de considérations particulièrement humanistes quand il s’agissait de trucider de l’Anglais. Il faut aussi quelqu’un qui ait suffisamment de vision pour, sans se couper du monde, restaurer toutes nos capacités d’autarcie, la France étant un des rares pays au monde à avoir la possibilité, si elle s’en donne les moyens, d’une autonomie dans les secteurs les plus importants qui couvrent les besoins de base de l’humain et ne devraient pas être dépendants de la menace des marchés : l’alimentaire, l’eau potable, le textile etc. L’énergie étant un cas particulier dont j’ai déjà parlé dans d’autres vidéos. Bien sûr cette option comporte un risque de dérive et on peut légitimement s’en inquiéter, toutefois, compte tenu du fait que nous sommes déjà moribonds, cela devient d’autant moins problématique ; de même que, plus un malade atteint un état avancé, plus ses options se réduisent à des solutions toujours plus draconiennes, de l’amputation à la chimiothérapie. Et pour ceux qui se demanderaient où je place la barre de l’acceptable dans un système autoritaire, je pense, qu’à minima, il faut que ceux qui ne sont pas contents conservent, à tout moment, la possibilité de partir sans être inquiétés et qu’au-delà, on quitte l’autoritarisme pour le totalitarisme, pour lequel je n’ai aucune affinité. Contrairement à l’idée qu’on nous inculque depuis le berceau, il n’existe donc pas, d’un côté la divine démocratie, modèle indépassable et universel et, de l’autre, la tyrannie, forcément infâme, sauf quand elle a du pétrole et soutien la politique des lobbies qui dirigent les États-Unis à la place des Américains. De même qu’à des morphologies différentes correspondent des sports différents, à des peuples différents correspondent des systèmes de gouvernement différents. Des peuples au Qi élevé pourraient, sans trop de soucis, dans la limite des réserves que j’ai évoquées, pratiquer la démocratie, alors que pour ceux qui, faute de maîtriser correctement les nuances d’un langage, ne peuvent résoudre leurs conflits que par la violence, la seule façon de maintenir la cohésion sociale est de faire preuve d’autorité. De même, un peuple à forte spiritualité n’a pas vocation à être dirigé de la même façon qu’un peuple qui en a peu. Un peuple homogène de la même façon qu’un peuple communautarisé. Un grand pays de la même façon qu’un petit. Un pays à faible densité de population de la même façon qu’un pays surpeuplé. De même, un pays qui a beaucoup de ressources versus un qui en a peu. Un Pays qui a une culture ancienne versus un pays plus récent. C’est donc la nature des gouvernés eux-mêmes qui est le premier facteur qui détermine son type de gouvernement. La France, comme d’autres, changeant peu à peu de nature, on s’enfonce doucement dans une spirale de violence, le système actuel étant en inadéquation avec les nouvelles populations sur lesquelles il n’a pas de prise. Ses jours sont logiquement comptés, mais, dans l’intervalle, pour tenter de subsister il n’a d’autre choix, tant qu’il n’a pas éradiqué toute forme d’intelligence dans le pays, que de devenir de plus en plus coercitif vis-à-vis de ceux qui sont encore sous son contrôle et que la montée de la violence et un QI encore élevé, rend de plus en plus critiques. Et si l’on n’y prend garde et qu’on laisse ce processus de pourrissement aller jusqu’à son terme, le changement de nature de la population et la poursuite de l’abrutissement général feront que la seule façon de conserver un semblant de cohésion sociale sera, non plus un système autoritaire provisoire, le temps d’instaurer une véritable démocratie, mais un système totalitaire, permanent et irréversible. Merci de liker et de partager. Je me répète inlassablement, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je donne juste un point de vue honnête qui me semble logique et argumenté et si vous voyez des failles dans mon raisonnement ou des points oubliés ou à développer, les commentaires sont là pour ça. Nouvelle étape dans la censure tout azimut qui se met en place sur internet, comme l’ont déjà expérimenté Infowars, Sargon of Akkad et bien d’autres, Google, commence apparemment à supprimer arbitrairement des comptes ce qui a, comme conséquence, la suppression des chaînes YouTube associées. Je vous suggère donc, si vous trouvez un intérêt à mes analyses de vous abonner à ma chaîne PewTube que je vous mets en lien ou de garder l’adresse dans vos favoris. A bientôt… j’espère.

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