Bonjour, la capacité et le besoin compulsif de nommer les choses est peut-être ce qui nous caractérise le plus en tant qu'espèce. La notion de race n'est pas, au départ, une notion scientifique. C''est juste coller un nom sur quelque chose que tout le monde remarque, comme on a donné un nom aux chaises, aux fleurs, aux cailloux... Nous priver de la liberté de nommer les choses sous prétexte que ce que l'on voit de nos yeux ne correspondrait pas à une réalité scientifique, c'est comme interdire aux gens de prendre un parapluie quand il pleut, sous prétexte que la météo a annoncé du soleil. Mais bon, conformément à l'adage "ce sont ceux qui en parlent le plus qui le font le moins", ce n'est pas parce que le mot liberté figure en première place dans le triptyque fondateur de notre sacro-sainte république, qu'il faut s'attendre à ce qu'il ait une valeur autre que décorative, encore plus quand il s'agit de liberté d'expression. Justement dernière nouveauté dans la lutte contre la liberté d'expression... pardon, dans la lutte contre le racisme, désormais les personnes condamnées par le système, selon les critères du système et par les juges du système, après dénonciation par les associations subventionnées par le système, pour avoir tenu des propos réprouvés par le système, ne pourront plus participer aux élections organisées par le système. On frôle le sublime, la quintessence de quelque chose qui nous dépasse. En attendant, je ne sais pas vous, mais la Corée du Nord me semble de plus en plus démocratique. Le pire c'est que, en plus, contrairement ce que l'on nous vend depuis le milieu du XXème siècle, la science a pu, prouver l'existence de races à partir de l'étude du génome, mais polluée par des considérations morales, pour ne pas dire politiques, elle met prudemment l'accent sur le fait que sa taxinomie ne recoupe pas toujours la perception physique, parfois arbitraire, il faut bien le reconnaître, de la population, basée essentiellement sur la pigmentation de la peau. Déformé par les idéologues de tous poils, cela devient non pas : "la perception empirique des races par la population ne recoupe pas forcément la classification scientifique" mais : "les races n'existent pas !". Toujours cette même négation de la réalité. Un Japonais et un Gabonais, c'est pareil, un homme et une femme, c'est pareil, une paire homo et un couple hétéro, c'est pareil, même si 30 % des naissances et 65 % en Île-de-France donnent lieu à un test de drépanocytose, une maladie héréditaire immondement raciste qui s'attaque, presque exclusivement, aux Africains et aux Indiens, il n'y a pas de problème d'immigration en France. Nos yeux et nos sens nous trahissent. Heureusement que nos élites, leurs médias et leurs experts scientifiques sont là pour redresser le tir. Les mêmes qui nous ont vendu que la crise est derrière nous, que le nuage de Tchernobyl s'est arrêté à la frontière et que Saddam Hussein avait des armes de destruction massive. Pour autant, quand ça arrange le système, les références aux races qui n'existent pas, sont permanentes et pas juste quand il s'agit de cette ubuesque discrimination positive ou de l'incitation permanente au métissage de masse. Si les races n'existent pas, de quoi parle la présidente de France Télévisions Delphine Ernotte quand elle déclare :"on a une télévision d'hommes blancs de plus de cinquante ans et ça, il va falloir que ça charge !" A quoi sert le CRAN, le conseil représentatif des associations noires de France que personne ne traite d'immonde raciste, pas plus que le CRIF, sur lequel il a pris modèle et qui défend ouvertement, non pas tant la religion juive, laquelle pourrait et devrait, se concevoir sans considérations raciales, que le peuple élu, qui est un concept pour le moins ambigu. C'est d'ailleurs le comble du double standard permanent que les juifs dont, pour le coup, le mode de transmission génétique par la mère ne permet pas de répondre, scientifiquement, à la définition de race même si, pudiquement, renommée peuple et donc, en outre, 90%, selon une étude à large échelle que vous trouverez en description, issus de convertis en provenance du Caucase, n'a rien à voir avec les anciens Hébreux, et encore moins avec les sémites, puissent, eux, en tout cas ceux qui sont sionistes, utiliser ce prétexte, sans choquer les antiracistes, pour s'accaparer un territoire ayant supposément appartenu, il y a deux mille ans, à de prétendus ancêtres. A quoi rime encore l'expression poétique "putain de ta race" qui fleurit dans les quartiers sans que cela ne choque personne ? En fait, le déni de réalité que constitue la négation "administrative" des races, tout comme la laïcité, est quasiment une exception française. Les gens sont identifiés et s'identifient eux-mêmes officiellement par leur race, tant aux États-Unis qu'en Grande- Bretagne et même en Afrique du Sud, laquelle a pourtant subi le fameux apartheid. Notre république maçonnique repose entièrement sur l'utopie, qui cache souvent de basses considérations mercantiles, d'une humanité une et indivisible qui est à la source de l'universalisme qu'on nous impose depuis le siècle des soi-disant "lumières". Nous sommes tous égaux, même si certains le sont plus que d'autres, comme Harlem Désir, recasé, ça ne s'invente pas, représentant pour la liberté des médias au sein de l'OSCE, pour le modique salaire d'un peu plus de dix mille euros mensuels, nets d'impôts bien évidemment, comme quoi l'antiracisme ça finit toujours par payer. Si l'existence des races, tout arbitraires qu'elles puissent être, n'est pas vraiment l'objet d'un débat, hors hexagone, là où ça achoppe, parce que ça remet en cause les fondements de ce nouvel ordre mondial que nos élites appellent de leurs vœux, c'est sûr les hiérarchies inévitables sur certaines caractéristiques lorsqu'on compare deux choses qui ne sont pas strictement identiques. D'autant plus qu'on a pu trouver localement des traces significatives de croisements avec des hommes de Néandertal, qui n'étaient pas présents en Afrique, et autres espèces contemporaines à l'homo-sapiens qui expliquent, au moins autant qu'une évolution liée à des environnements variés, les différences physiologiques et met du plomb dans l'aile à la doxa selon laquelle nous serions tous des Africains. C'est une lapalissade, mais si on n’est pas identiques, on est différents et donc, pas égaux. Certains sont, en moyenne, je répète EN MOYENNE, plus musclés et courent plus vite, sautent plus haut... Certains ont le pénis plus long, d'autres un QI plus élevé et s'ils avaient le choix, je ne suis pas sûr que les candidats se bousculeraient au portillon s'il était possible d'échanger quelques centimètres de pénis contre quelques points de QI. En tant qu'individu ce serait raciste, non pas d'avoir des a priori négatifs, de préférer être entouré de gens qui nous ressemblent ou même de ne pas aimer certains groupes d'individus mais de nier l'humanité, et non l'égalité, des personnes d'autres races, de nier la réalité, quand bien même l'individu nous prouve sa valeur par son attitude et ses capacités et que l'on refuse de le reconnaître, en raison de la couleur de sa peau, de commettre des actions violentes contre des individus pacifiques qui se comportent bien et qui sont là légalement, en raison simplement de leur race. Pas sûr que beaucoup de Français le fassent. Il est en revanche tout aussi raciste de traiter des gens avec condescendance, comme des assistés permanents, des handicapés de la vie incapables de se prendre en charge, de leur donner des passe-droits parce qu'on considère qu'ils sont incapables de suivre un cursus scolaire normal, de ne pas les punir quand ils commettent des délits considérant qu'ils sont incapables de grandeur morale, de considérer qu'on fait une bonne action en les aidant à mal faire, ce qui présuppose qu'on se croit supérieur, la main qui donne étant au-dessus de celle qui reçoit, d'hypothéquer l'avenir de ses enfants et petits-enfants pour le plaisir immédiat de se donner bonne conscience aux frais des contribuables, de multiplier les incitations en direction d'un réservoir inépuisable de gens à risquer leur peau pour venir ici, rendre nos pauvres plus pauvres et nos riches plus riches, et tout ça, et bien pire, en revanche, certains Français le font. Merci de liker et partager, ça fait toujours plaisir et comme je n'ai, bien évidemment, pas la prétention de détenir la vérité et que je vous livre simplement ma pensée à un instant T en fonction des éléments dont je dispose, si vous avez un avis complémentaire ou différent, les commentaires sont là pour ça.
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