Bonjour, le terme "Grand Remplacement", s'il a le mérite d'interpeller les gens sur un problème réel et grave, fait partie de ces manipulations sémantiques qui, de par l'emploi de mots inadéquats, empêchent de prendre la mesure exacte de la situation et de trouver les bonnes solutions. Il ne faut pas perdre de vue qu'on retrouve souvent derrière la promotion du conflit de civilisations les mêmes pompiers pyromanes qui disaient jadis "touche pas à mon pote" lesquels, toute honte bue, se refont gentiment une virginité et se repeignent en bleu, blanc, rouge tandis qu'au lieu de remonter jusqu'aux causes, on braque les projecteurs sur les conséquences et les boucs émissaires qu'on désigne à la vindicte populaire (et qui parfois le cherchent bien). Je n'ai rien, par principe, contre le fait, si c'est nécessaire, de faire haro sur le musulman, lequel ne représente qu'une partie de l'immigration, majoritairement issue d'Afrique Noire. Encore faut-il le faire pour les bonnes raisons et pas pour le compte de tiers qui comptent tranquillement les points et les morts tandis qu'ils nous jettent les uns contre les autres. Il faut bien comprendre que ce qui nous arrive n'est que la touche finale d'un long processus et que le véritable grand remplacement a déjà eu lieu depuis longtemps. On a remplacé un peuple de paysans, attachés à leur terre et auto- dépendants, par un peuple d'esclaves salariés consommateurs, sans racines. On a remplacé un peuple de catholiques fervents, avec des valeurs morales, par un peuple qui se croit athée mais qui, en fait, est converti à la religion républicaine et maçonnique de la laïcité et se complaît dans des droits de l'homme à géométrie variable, pour se donner une bonne conscience hypocrite, qui se nourrit d'un masochisme gratificateur, car faute de croyance en une rédemption divine, il ne reste plus que l'autodestruction pour expier les fautes qu'une logique tribale, largement influencée par le judaïsme, rend inexpiables et héréditaires. En quoi la Shoah, le Vél d'Hiv et autres joyeusetés, devraient nous concerner davantage que la Saint-Barthélémy où le génocide eu des chouans dont, contrairement au reste, on ne nous gave pas ad nauseam, et pour cause, dans les médias et à l'école. Comme si cela ne suffisait pas, depuis le coup d'état maquillé en révolution de 1789, qui nous est vendu comme étant la résultante d'une volonté populaire, on nous a élevés dans ce concept débile d'égalité qui, contrairement à l'équité, est une négation permanente de la réalité. Négation sur laquelle s'est développé, entre autres calamités, un féminisme idéologique et délétère, avec pour conséquence des femmes dépressives et l'éclatement de la famille, la baisse drastique de la natalité, le tout parachevé par 200 avortements par an dont 2 % seulement sont motivés par des viols ou des risques sanitaires, pour la mère ou l'enfant, tel que prévu, à l'origine, par feu Simone Veil. Contrairement à ce que pourrait laisser supposer la notion de "grand remplacement", notre peuple disparaît donc tout seul, certes avec l'aide de ses élites, souvent cosmopolites, mais sans corrélation directe avec le nombre de ces migrants, non-assimilables avec ce qui reste d'une culture et d'un mode de vie, déjà largement détruits, bien avant l'islam, par une américanisation contre laquelle plus personne ne lutte. Si l'on exclut un métissage qui, sauf dans les médias, reste limité et tend à aller plutôt dans le sens black-beurre qu'autre chose, le seul endroit où les immigrés tendent à remplacer les autochtones, ce sont les villes que ces derniers quittent en masse pour, consciemment ou non, se réfugier dans les campagnes et en périphérie, dans des communautés plus homogènes. En outre, si les civilisations anciennes savaient produire des hommes de valeur, de véritable encyclopédies humaines, des guerriers, des traditions, des gens capables de survivre seulement armés de leurs deux mains, des bâtisseurs de cathédrales et un artisanat d'exception, force est de constater qu'il ne reste plus guère, en France, que des cols blancs interchangeables, à qui on demande de parler trois mots d'anglais et de savoir rentrer quelques données sur un tableau Excel, des retraités, des chômeurs, des allocataires, des fonctionnaires, des employés peu qualifiés et des diplômés dont les connaissances n'ont aucune valeur sur le marché du travail. Si par le passé ils se trouvait des gens qui, à eux seuls, étaient la civilisation, notre civilisation technologique est devenue une fourmilière et nous des fourmis, sans aucune valeur individuelle et incapables de survivre en autonomie dès qu'on nous coupe le courant. En outre, nous sommes enfermés, par les médias, dans une réalité virtuelle qui a détruit le lien social que seule la vraie vie est capable d'apporter et qui était le ciment de la France. Produire en masse des gens capables d'exceller à Zelda sur la dernière Nintendo Switch n'est pas d'une grande valeur civilisationnelle. Or, sans valeur individuelle, c'est tout l'édifice qui s'effondre. Certes, on a l'impression que tout fonctionne. On a encore des routes, des hôpitaux, des lois et un semblant de justice mais, si on regarde de près, tout est en train de se craqueler, au même titre que notre armée, que Macron s'emploie à achever. Et même si une arrivée massive de populations allogènes accélère incontestablement le phénomène de dégradation, on peut comprendre que certains n'aient pas forcément envie de prendre les armes et de mourir pour la combattre, au nom d'une civilisation qui, dans les faits, est moribonde depuis longtemps. Et encore moins au nom de la république, laquelle est l'antithèse de la civilisation et ne mérite pas les rivières de sang versées pour elle. Même si on n'a plus vraiment une civilisation à défendre, il reste quand même des habitudes et une qualité de vie qui finissent par être remises en cause car, quand elle est associée à une décroissance rapide de la population d'origine, l'immigration massive est un problème d'autant plus prégnant qu'elle est constituée, principalement, de gens encore moins qualifiés que les autochtones, qui vont directement à l'aide sociale, qui ont une culture plus virile, non assimilable à notre reliquat culturel vasouillard qu'ils méprisent et qui, souvent même, les écœure. Pourquoi s'infliger tous ces désagréments, sachant qu'ils ne nous apportent rien et que, dans le contexte économique actuel, on n'a pas besoin d'eux ? Il faut bien comprendre que, sans immigration, et contrairement à ce que voudrait nous faire croire le credo stupide de la croissance perpétuelle, une France à 40, voire 30, millions d'habitants, serait tout à fait viable et s'inscrirait dans le cadre de la diminution nécessaire de la population, au plan mondial. Si, a contrario, la France avait une croissance dynamique de sa population autochtone, l'immigration, limitée par des contingences d'espace vital, ne poserait pas de gros problèmes non plus, en dehors des conflits inévitables, dans toute société multiculturelle, dès qu'une minorité dépasse une masse critique. C'est donc la conjonction de ces deux phénomènes : baisse de la natalité et immigration massive, sans raisons économiques, de populations non- assimilables, qui pose problème. Et en l'état, le terme de grande invasion ou même, de grande reddition, me semble plus conforme à la réalité des choses que "grand remplacement". Il y aurait encore beaucoup à dire mais, comme on m'a reproché de faire des vidéos un peu longues, j'essaie d'adopter un format plus court. La suite donc, au prochain numéro. N'hésitez pas à liker, ça fait toujours plaisir, et ce n'est pas interdit de partager non plus. Il va de soi que je n'ai pas la prétention de détenir la vérité et si vous avez un point de vue divergent ou complémentaire, les commentaires sont là pour ça.
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