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jeudi 4 juillet 2019

Le danger de l'immigration dont personne ne parle. (25 mai 2017)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/1Chreha1OB4


 Bonjour, nous sommes tellement bombardés, à longueur de journée, par des problématiques triviales que nous finissons par perdre la hauteur de vue nécessaire pour réaliser ce qui est vraiment important. Les partis politiques et leur chambre d'écho médiatique essaient de nous faire croire que, ce qui compte, c'est retrouver quelques points de croissance, de l'emploi, embaucher quelques enseignants et policiers supplémentaires, augmenter le minimum vieillesse et, histoire d'ajouter la petite pincée de grandeur d'âme qui va bien, trois ou quatre rampes supplémentaires pour les personnes handicapées. Je ne conteste pas l'importance de toutes ces choses mais, sauf à assumer ouvertement que nous sommes des monstres d'égoïsme à la vue courte, elles n'ont de sens que si, en préalable, notre but ultime reste la survie, non seulement de notre civilisation, mais de l'humanité tout entière. Or, au cas où vous auriez loupé l'épisode Fukushima et, avant celui-là, Tchernobyl et, avant celui-là, Three Mile Island et, avant celui-là, Maïak, pour ne citer que les plus graves, car il y en a eu et il y en aura encore des dizaines, sans compter les sous-marins nucléaires coulés, les bombes atomiques larguées en catastrophe au fond de l'océan, les avions qui en transportaient perdus en mer, les déchets jetés, il y a quelques décennies dans des containers dont l'espérance de vie n'excède pas... quelques décennies et j'en passe, et des pires. Je vous mets en lien la page Wikipédia recensant une partie des incidents. Au cas donc, où vous auriez loupé tout ça, pendant qu'on vous faisait peur avec le réchauffement climatique et la menace FN, je vous rappelle que, pour la première fois de son histoire, l'humanité dispose d'un moyen d'éradiquer toute forme de vie sur terre et qu'elle l'a utilisé, alors même qu'elle ne le maîtrise pas. Je ne sais pas s'il faut y voir une corrélation avec le fait que, faute de volontaires, nos pays ont eu tendance à vider les prisons, les bordels et les asiles d'aliénés pour remplir les bateaux en direction du Nouveau-Monde, lequel semble compter, à présent, autant de psychanalystes que d'habitants. Quel rapport avec l'immigration, me direz-vous ? Patience, on va y venir ! Le nucléaire a tout changé et cette mine, prête à exploser sous nos pieds, nous a privés, individuellement et collectivement, de notre libre arbitre. Avant, théoriquement, si un pays savait défendre ses frontières et savait gérer ses ressources, il pouvait vivre sa vie de fourmi en laissant les cigales des pays voisins gérer les conséquences de leur incurie. Peu le faisaient, mais on pouvait rêver collectivement d'un destin commun et élaborer des doctrines politiques qui avaient un sens. Si un individu voulait s'affranchir des règles de la société il pouvait vivre sa vie, à ses risques, au fond de la forêt amazonienne, dans un coin reculé de montagne ou sur quelque îlot tropical, sans avoir à subir les conséquences d'actions qu'il désapprouvait, prises sans son consentement. Même si peu le faisaient, cela restait un espoir auquel se raccrocher. A présent, il n'y a plus d'échappatoire. Nous pouvons tous être éliminés, le temps d'un battement de cils, pour les plus chanceux, ou après une horrible agonie pour les autres, quand se produira, dans un autre pays, hors de notre contrôle, le prochain accident nucléaire, civil ou militaire. Il faut savoir que pas mal de centrales, dont le nombre total chatouille les 400, sont soit implantées dans des pays pauvres qui n'ont pas les moyens de les entretenir, soit dans des pays riches, qui auraient les moyens, mais qui sont infectés par le virus du libéralisme qui les pousse à privatiser et donc, dans une logique de rentabilité qui ne devrait pas entrer en ligne de compte dans ce domaine particulier, à faire des économies sur la sécurité. Je ne parle même pas de la facilité avec laquelle des drones ont pu les survoler, le tout à mettre en corrélation avec la croissance exponentielle du terrorisme. Il suffit, certes, d'un tremblement de terre mal placé pour que tout pète, mais il ne sert à rien de se faire peur et de se pourrir la vie avec des choses hors de notre contrôle, et même si gouverner c'est prévoir, je suis donc moins concerné par ce qui pourrait se passer, que par ce qui s'est déjà passé. Ce n'est pas parce que les médias n'en parlent plus et qu'on a, au prix de beaucoup de vies humaines, temporairement noyé les problèmes sous des sarcophages de béton ou grâce à des solutions bancales qui reculent les échéances de quelques années, que les choses sont réglées. Ce à quoi il faut ajouter l'arrêt et la neutralisation à venir des centrales atomiques existantes, dont tous ne pourra pas indéfiniment augmenter la durée de vie, afin de repousser la problématique et le gouffre financier qui va avec, et qui fera apparaître le vrai coût du nucléaire car, là-aussi, on vit à crédit sur le dos des générations futures. Tout cela présuppose, pour que l'humanité ait une chance d'y survivre que, quand ces problèmes se poseront, et ils se poseront bientôt, ce sera sous le contrôle d'une civilisation fonctionnelle, technologiquement avancée et donc capable de faire face. Or, en pillant les ressources, sous couvert d'apporter la civilisation dans des endroits du Monde qui vivaient très bien sans elle et dont la démographie était naturellement régulé par le mode de vie, la mortalité infantile, les maladies et les ressources naturelles, nos dirigeants, passés et présents, ont provoqué, en notre nom et sans nous consulter, une explosion démographique et une misère endémique qui sont à l'origine de migrations massives qui menacent, justement, la pérennité de cette civilisation technologique indispensable à la survie à moyen, voire à court terme, de notre espèce. Le QI moyen d'un certain nombre de ces populations est largement inférieur au nôtre. Cela ne présuppose absolument pas que ces gens sont bêtes. Si je dis que la taille moyenne des Français est un mètre 78, ça ne veut pas dire que tous les Français, ni même qu'une majorité de Français, mesure mètre 78. Il faut bien comprendre ce qu'une moyenne signifie. On peut aussi débattre de la pertinence et de la validité du QI en tant que méthode d'évaluation. Toutefois, quand la différence est de plusieurs dizaines de points, on peut considérer qu'elle est significative. Cette différence ouvre large débat et pourrait s'expliquer par des considérations anthropomorphiques (surcroît de testostérone), environnementales (nourriture abondante en toute saison dispensant d'avoir à élaborer au fil des siècles des techniques de survie civilisationnelles), culturelles (mode de vie tribal favorisant une certaine consanguinité, mariages entre cousins etc.). En tant qu'individus nous pouvons nous permettre de juger d'autres individus en fonction de leurs seules qualités propres, en faisant fi des apriori, de même qu'on pourrait considérer, avec raison, qu'une petite souris, prise individuellement, c'est mignon et c'est gentil. Un gouvernement, en revanche, se doit de gérer, non des individus, mais des flux, sans tenir compte, sinon à la marge, des cas particuliers. Il doit être capable de réaliser et d'anticiper qu'un grand nombre de petites souris, individuellement toutes mignonnes et gentilles, constituent, collectivement, une infestation qu'il convient de maîtriser. De même, il se doit de prendre en compte que de faire entrer en masse, dans un pays, un groupe de QI moyen largement inférieur, ne peut, mathématiquement, que faire baisser le QI moyen du pays tout entier. C'est donc criminel et peut avoir des conséquences dramatiques quand les fondements dudit pays et ses perspectives de croissance, telles qu'elles nous sont vendues, notamment par monsieur Macron, reposent sur l'excellence technologique. En outre, si ces populations apportent, en prime, une religion qui prône une forme d'obscurantisme et dont deux des résultantes constatées, qu'on le veuille ou non, sont le chaos et le terrorisme, l'effet délétère se verra encore amplifié. Imaginons ce qui se passerait si des pays comme l’Afghanistan, la Libye ou l’Irak, pays auxquels nous ressemblons de plus en plus, devait gérer un Tchernobyl ou un Fukushima... Il est tout à fait normal que notre population diminue et une France de millions d'individus, voire moins, n'est pas une perspective effrayante, au contraire. Ce qui n'est pas normal, c'est que la population augmente ailleurs dans le Monde et c'est ce phénomène qu'il faut s'employer à combattre en priorité, les ressources de notre planète n'étant pas infinies. Ceci dit, même si l'immigration devrait être immédiatement jugulée, y compris par la force, car il en va de la survie de l'humanité, il serait malhonnête de tout lui mettre sur le dos. Notre système éducatif tout entier est à remettre en cause. Si nous voulons conserver une civilisation d'un haut niveau technologique, capable de nous protéger des conséquences de nos actions passées, cela ne peut se faire qu'en favorisant l'excellence. C'est à dire en repérant, par des tests de QI réguliers, des tests d'aptitudes manuelles, artistiques, littéraires, tout au long de la scolarité et même, de la vie active, les individus les plus doués ou les plus motivés, et si certains d'entre eux sont des immigrés, tant mieux, en faisant porter sur eux le maximum de l'effort éducatif. Effort qui, au passage, devrait aussi passer par lâcher un peu de lest sur les droits de l'homme, la Shoah, les problématiques du genre et des LGBTIQQ qui accaparent une part ubuesque du temps de cerveau disponible de nos chères têtes blondes, et se recentrer sur les fondamentaux et la structuration d'une pensée analytique et cohérente. Il faut arrêter, au nom d'une égalité qui n'existe pas, hors de son propre concept, de réorienter toutes les ressources vers cette utopie, consistant à vouloir transformer tous les wagons en locomotives, surtout si on importe en masse de plus en plus de wagons dont certains, en plus, ne sont pas culturellement adaptés aux dimensions des rails de notre civilisation et qu'on commence à changer lesdits rails pour s'adapter à eux et que, du coup, tout le système éducatif s'effondre. Ce faisant, nous favorisons, de fait, une nouvelle aristocratie de fils de notables, et notamment d'enseignants, qui bénéficient à la maison de ce que n'apporte plus l'école et qui, même s'ils ne sont pas les plus brillants, sont ceux qui réussissent le mieux, ce qui est totalement inique. Nous sommes dans une course contre la montre pour la survie de l'humanité, ce sont les locomotives qui tirent le pays, c'est donc sur elles que doit se porter prioritairement l'effort. Comme nous, les civilisations naissent, croissent et meurent, généralement remplacées par d'autres, jusqu'ici sans conséquences majeures sur l'avenir de l'humanité et de la planète, selon l’adage que, de l'obscurité nait la lumière. Il en va tout autrement quand cette lumière est la résultante du feu nucléaire. Compte tenu des décisions des irresponsables que nous avons placés, et continuons allègrement à placer, à la tête de nos démocraties d'opérette, si notre civilisation venait à s'effondrer, en l'état, contrairement à ce que pourrait nous laisser croire des séries comme "the walking dead", les zombies seraient notre dernier souci car nous aurions affronter une suite de catastrophes nucléaires qui se traduiraient immanquablement par la fin de l'humanité. Notre sort est peut-être déjà scellé, mais il faut bien comprendre que l'immigration massive qui nous est imposée et l'idéologie droit-de-l'hommiste, hypocrite et à géométrie variable, qui est derrière, pourraient bien détruire, en même temps que notre civilisation, le seul espoir de l'humanité de survivre à la folie du nucléaire.

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