Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

mercredi 3 juillet 2019

Terrorisme: à qui profite le crime (5 août 2016)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/4d1a_LVSi2A



Bonjour, pourquoi cette vidéo ? En quoi le terrorisme a-t-il un lien avec la démocratie directe que je préconise ? Tout simplement du fait que, comme cela a été le cas aux États-Unis, après 2001 par exemple, il permet à l'oligarchie de jouer sur les peurs et de porter atteinte à la liberté, sous toutes ses formes, sous le couvert de la sécurité, nous poussant, à toute vitesse, vers un état totalitaire qui rendra impossible toute velléité de véritable démocratie. Je ne suis même plus sûr, à ce stade, que la farce démocratique, prévue en 2017, sera maintenue. Ça va être assez long donc prenez un café ou une tisane ou une bière et installez- vous confortablement. Mettez en pause si nécessaire. Il convient donc de remettre un peu d'ordre et de logique dans ce chaos d'idées et de concepts soigneusement entretenus pour que plus personne n'y comprenne rien et qu'on se trompe d'ennemi. Ceux qui font systématiquement haro sur le musulman sont, selon moi, autant dans l'erreur que ceux qui prônent le "pas d'amalgame" en toute occasion. Avant d'aller plus loin, je tiens à préciser que j'ai parfaitement conscience de mes propres limites ainsi que de la superficialité de mes connaissances. Je ne prétend donc pas asséner des vérités et vous pouvez tout à fait arriver à des conclusions différentes des miennes. Le tout est que vous réfléchissiez honnêtement et par vous-mêmes. Le système nous ment sur tout et tout le temps et nous empêche, en jouant sur l'émotion, de prendre le recul suffisant pour analyser les problèmes. Le terrorisme à, au moins, 4 quatre grilles de compréhension : au ras du sol, avec l'islam et le conflit de civilisations, au niveau de l’État, en tant que voie de détournement de l'attention populaire de broutilles comme le 49-3 version semi-automatique, au niveau international, en tant que moyen de pousser à des revirements politiques et enfin, au niveau macroéconomique, en tant que conséquence logique d'un système capitaliste en bout de course. L'oligarchie n'a pas envie que nous prenions du recul et elle a dressé des barrières morales : racisme antisémitisme complotisme... qui sont autant d'abus de langage et qui fonctionnent comme un fil électrique de basse intensité censé garder les vaches dans leur pré. Au ras du sol, donc, on nous pousse contre les musulmans, dont la problématique est systématiquement mixée, sans que cela soit dit, dans une soupe protéiforme d'immigration (par toujours musulmane) et de rancœurs postcoloniales, plus ou moins fondées, dans lesquelles sont élevées, depuis le biberon, tant ici que chez elles, les populations afro-maghrébines. De fait, et c'est voulu, on ne sait jamais précisément de quoi on parle et souvent, dans l'inconscient collectif, musulman égale maghrébin, ce qui est une ineptie. Les problèmes sont donc ethniques, politiques et culturels, avant même d'être religieux. En outre, l'hypocrisie concernant les migrants est totale. Il faut bien comprendre qu'avec ce qu'ils paient aux passeurs, sans que personne, notamment les médias, ne se demande jamais comment ils trouvent l'argent (ou qui le leur donne), ils pourraient prendre l'avion en première classe et arriver chez nous, frais et dispos, avec leur dignité intacte. Mais pas question de monter dans l'avion s'ils n'ont ni papier, ni visa. Par contre, on les accepte, sans sourciller, à condition qu'ils risquent leur vie, rampent dans la boue et arrivent en mendiant, parce que là, on peut imposer leur arrivée massive en jouant sur la sensiblerie des gens lesquels, eux, voyagent en classe éco quand ils peuvent se permettre de prendre l'avion. Et après, on voudrait qu'ils aiment nos pays. Ceci étant dit, les ingrédients de cette soupe désignée un peu vite par "musulmans", même s'ils sont utilisés sans vergogne par des intérêts divers et variés, qui ne sont pas les nôtres et ne sont pas les leurs, ont dans leur écrasante majorité, une part de responsabilité indéniable dans ce qui se passe, de par leurs actions et surtout, leur inaction et leur manque d'esprit critique. Je suis pour le dialogue... tant qu'il est possible, mais on ne peut arriver à rien si on n'appelle pas un chat un chat, qu'on n'est pas honnête et qu'on ne se débarrasse pas, une fois pour toutes, de ce politiquement correct qui est le poison de notre société. L'Islam a très certainement ses mérites et je respecte tout à fait la liberté de tout un chacun à adhérer à une version ou une autre de cette religion. J'ai toutefois des réserves quant à la description qui en est faite, notamment par les médias. Il faut oser le dire, l'islam, dans le texte, déjà dans le coran, que je me suis astreint à lire, histoire le savoir de quoi tout le monde parle, à tort et à travers, et que je vous mets en lien, mais encore plus de la Sunna et les Hadiths que, le masochisme ayant ses limites, j'admets que je n'ai fait que survoler, ne m'apparaît pas, objectivement et factuellement, comme une religion de paix, au sens catholique, œcuménique ou simplement tolérant du terme, comme elle l'a démontré, sans discontinuer, par le passé et continue de le faire. Autant je me méfie des jugements à l'emporte-pièce basés sur des a priori, autant on peut se faire une idée juste sur certaines choses, sur la base de faits objectifs, sans avoir besoin de trop approfondir. Si un type a tué des petits vieux pour leur piquer leur économie et régulièrement violé et décapité des enfants, l'information me suffit pour le juger, et tous ceux qui me diraient : "oui, mais si tu fais l'effort de le connaître, tu verras qu'au fond c'est un brave type" seraient, à mon sens, à côté de la plaque. C'est un peu l'impression que j'ai quand certains disent que, certes, Mohammed a fait plein de saloperies innommables, mais que si on fait l'effort de comprendre, on va réaliser que l'islam est une religion de paix. C'est vrai que quand on a tué tous ses ennemis, on est en paix, mais pas sûr que l'on parle vraiment de la même chose. Pourquoi certains s'entêtent-ils, souvent de bonne foi, dans cette voie. Je ne peux que supposer. Parce que, comme beaucoup de catholiques n'ont pas lu la bible, ils n'ont pas lu le coran. Parce qu'ils n'ont pas lu, ou voulu le lire, en corrélation chronologique avec la vie édifiante de leur prophète, et à la lumière de ces actions. Parce qu'ils refusent, inconsciemment, de renoncer à leur humanité et préfèrent en faire une interprétation angélique et personnelle plus en accord avec leur conscience. Soit, pour certains, dans lesquels on peut ranger les politiques, parce qu'ils se moquent de nous ! Tous contribuent, en tout cas, de par la négation de ce qui, si on cherche une compatibilité avec nos sociétés, est clairement un problème, à empêcher de véritables réformes, si tant est que lesdites réformes soient possibles, personne n'étant prêt à jouer de la colle et des ciseaux avec une multitude de textes contradictoires mais sacrés et donc, par définition, intouchables. Jusqu'à plus ample informé, ceux qui suivent les textes et surtout l'exemple de leur prophète, décapiteur ardant et enthousiaste, ce sont les islamistes, contrairement à ce que nous vendent les médias, pour lesquels lesdits islamistes auraient une lecture déformée de l'islam, alors que les modérés seraient les vrais musulmans. D'ailleurs, on peut se demander pourquoi ne pas dire, comme on le fait pour les catholiques, "musulmans intégristes", terme qui serait sémantiquement beaucoup plus approprié qu'islamistes. Dans ces tentatives de distinctions foireuses et manipulatoires entre les supposés vrais et faux musulmans, le pompon revient à ceux qui nous disent que les terroristes n'étaient pas de vrais musulmans parce qu'ils ne faisaient pas ramadan, buvaient de l'alcool etc. C'est, généralement, les mêmes qui nous ont dit que, si un homme se sentait femmes (ou le contraire), il fallait respecter son choix. Donc, sur la base de la même logique, si quelqu'un se dit musulman, il est musulman, point. Plus préoccupant, un sondage de 2014, effectué par l'institut ICM, a mis en exergue que 16% des français, 16 %, soit à peu près 11 millions, soutiendrait l’État Islamique, ce qui, sauf à voir chez nous une ahurissante proportion de suicidaires, laisse présumer que l'on nous a menti également sur le nombre de musulmans et, par extension, d'immigrés en France, le problème n'étant pas les immigrés, contre lesquels je n'ai rien, par principe, mais le mensonge qui les accompagne et sur les motivations duquel on peut légitimement s'interroger. Les seuls Algériens, selon les représentants officiels, au sein du parlement algérien des Algériens résidant en France, je vous mets la source dans la description, seraient déjà plus de 7 millions, chiffre également lâché, certainement suite à un abus de champagne et de petits fours, par l'ambassadeur de France en Algérie. Je vous mets aussi le lien. Vous ajoutez les Marocains, les Tunisiens, les Québécois, les Inuits... Sans parler des pays africains, des Roms, des chinois... Ça commence à être dur de caser tout ce monde dans les 5,9 millions d'immigrés reconnus en par l’Insee. Mais bon, pourquoi douter ? Ce n'est pas comme si nos oligarques avaient un intérêt au conflit de civilisations et trafiquaient déjà les chiffres sur d'autres statistiques comme, au hasard, le chômage. La part de musulmans qui soutient l’État Islamique semble donc importante. A cela il faut ajouter ceux qui n'ont pas osé le dire est ceux qui, sans soutenir, ne sont pas résolument contre. S'il existe, sans doute possible, des musulmans tout à fait urbains et fréquentables, on est fondés, en revanche, à se demander sur quoi se base le gouvernement pour nous asséner qu'ils représentent la majorité. On n'en sait rien ! D'ailleurs comment expliquer, si ce n'est par un soutien massif et tacite de ses coreligionnaires, que Salah Abdeslam, recherché par toutes les polices d'Europe, ait pu vivre tranquillement, pendant des mois, dans son ancien quartier belge où tout le monde le connaissait, sans que personne ne le dénonce. Sachant que, selon le ministre de la ville Patrick Kanner, il y aurait une centaine de Molenbeek en France. Il faudrait savoir. Ce qu'on est en train d'expliquer tranquillement aux Français, musulmans assimilés compris car, on en parle peu, mais il y en a quand même 16 qui sont morts à Nice, c'est que la seule façon de faire la différence entre un gentil musulman et un méchant islamiste, notamment depuis l'invention récente du concept de "radicalisation express" chère à Bernard Cazeneuve, c'est d'attendre de voir s'il nous poignarde, nous égorge, nous écrase où se fait exploser. Si oui, zut ! C'était un méchant et on verra Hollande arborer son air constipé à la télé. Si non, c'était peut-être gentil ou... un méchant qui se reposait. On n'est pas aux pièces, non plus. En conséquence, tout naturellement, une question commence à poindre dans les discussions au café du commerce : a-t-on besoin de l'Islam en France ? Certes, certains musulmans contribuent à la bonne marche de la société car ils sont dentistes ou éboueurs... mais dans ce cas ils sont utiles en tant que dentistes ou éboueurs, pas en tant que musulmans. A priori, la réponse serait plutôt : Non ! Cerise sur le gâteau, l'islam, en France, est devenue politique et la plupart des revendications supposément religieuses (mosquées, tenue vestimentaire etc.) qui nous empoisonnent volontairement la vie et dénaturent nos villes et villages, au même titre, au passage, que les hideuses agences du Crédit Agricole et autres McDos, sont simplement culturels et absolument pas indispensables à la pratique de l'islam, même intégriste, comme on peut le constater dans les pays asiatiques. Les musulmans devraient commencer à réaliser que, s’ils veulent des mosquées et s'habiller de façon revendicative, il existe de nombreux pays dans lesquels c'est la norme et où ils seront certainement très heureux. Si c'est mieux là-bas, pourquoi rester ici ? Quant à ceux qui sont venus parce que là-bas c'était merdique, plus ils feront en sorte qu'ici ressemble à là-bas, plus ils vont être confrontés aux mêmes problèmes qui les ont poussés à partir. Tout cela n'est pas très rationnel. En tout cas, si l'on considère que leurs intentions sont honnêtes et louables. Les politiques, eux, faute d'accessoires génitaux appropriés, n'iront jamais jusque-là, mais si les musulmans et assimilés ne commencent pas, très vite, à changer d'attitude, un nombre exponentiellement croissant de gens, lassés des bougies et des petits dessins à la craie, vont finir par se demander pourquoi ils doivent subir ce qu'ils subissent pour une religion dont ils n'ont rien à faire, dont ils n'ont pas besoin, sur laquelle ils n'ont jamais été consultés, qui ne leur apporte rien et qui, de surcroît, leur nuit ? Pourquoi s'astreindre, au péril permanent de sa vie, et en y sacrifiant sa tranquillité d'esprit, pendant au moins plusieurs décades, selon le prophète Manuel Valls, à tenter une impossible distinction entre les bons et les méchants quand on pourrait, sans problème pour le bon fonctionnement de la société, se passer de la totalité ? Si la guerre civile, voulue par certains inconscients, éclatait, il faut que nos compatriotes musulmans réalisent que, d'un point de vue stratégique, ils n'ont pas l'avantage qu’ils pourraient croire. Soit ils sont répartis dans des campagnes, remplies de chasseurs, en groupes minoritaires dont l'espérance de vie ne serait pas forcément très longue, soit ils sont circonscrits dans des cités, faciles à encercler, pilonner ou détruire, sans possibilité de s'approvisionner en nourriture. Même sans en arriver là, ils sont massivement dépendants de subsides d’État qui seraient la première chose à être coupée si la situation s'envenimait. Il faut donc qu'ils s'interrogent sérieusement et rapidement sur leur rapport à la religion et à la France et en tirent les conséquences. En d'autres termes, sont-ils des Français musulmans ou des Musulmans français ? Et, au passage, c'est une introspection que devrait faire, de la même façon, tout groupe qui se revendique comme communauté. La France a toujours tendu les bras à ceux qui l'aiment pour ce qu'elle est et ce qu'elle n'est pas, notamment une terre d'islam. Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l'argent du beurre donc, par pitié, décidez une fois pour toutes de vos priorités et de ce que vous voulez, pour vous et vos enfants. Sortez de l'apathie et du moutonisme et, si vous êtes avec nous, bougez-vous les fesses! Ceci dit et, dans un esprit de dialogue honnête, il fallait le dire, en matière de terrorisme l'Islam a bon dos. A partir du moment où l'on cesse d'avoir cette mémoire de poisson rouge, entretenue par les médias, qui nous noient sous un flot constant de pseudos informations, aussi vite oubliées que portées au pinacle, et qu'on commence à relier logiquement des points a, b, c et d, on est censés tomber dans le complotisme. Ah, ce fameux complotisme. Terme génial, il faut bien le reconnaître, inventé pour amalgamer dans la case "maladie mentale" toute critique du récit médiatique officiel, en mettant dans le même sac : ceux qui prétendent que nous sommes gouvernés par les extraterrestres reptiliens et ceux qui disaient qu'il n'y avait pas d'armes de destruction massive en Irak. Je dois vous avouer que les reptiliens... je n'y crois pas. Ceci dit, jusqu'à il y a peu, un coiffeur payé 10 000 euros par mois pour coiffer un demi-chauve, je n'y croyait pas non plus. Comme quoi, il faut savoir garder l'esprit ouvert. En tout cas, les sans-cheveux sont mieux traités que les sans-dents. Sortez quelques secondes de votre bocal cathodique et rappelez-vous du Rainbow Warrior. Ou mieux, du réseau Gladio qui est, excusez du peu, un réseau européen sous l'égide de L’OTAN, chargé de commettre des attentats sur son propre sol, et qui s'est illustré, dans les années 60, en Italie, avec des attentats attribués aux Brigades Rouges, le méchant officiel de l'époque, il y en a toujours un, quitte à le fabriquer, étant le communisme. Je vous mets le lien du reportage d'Arte, bien connu pour son complotisme subversif, pour ceux qui croiraient que j'affabule. Vous pouvez aussi chercher sur Wikipédia. En outre, de nombreux ouvrages ont été écrits sur le sujet, largement évoqué dans la presse de l'époque qui avait, encore, un semblant d'autonomie et de libre arbitre. Le terrorisme d’État, ce n'est donc pas du complotisme. Ça désigne une réalité prouvée et, à moins de penser que nos politiques sont plus vertueux que leurs prédécesseurs, sans la valider pour autant d'office, exclure cette hypothèse, d'un revers de main, parce que lesdits politiciens, eux-mêmes, et les médias qui les servent, disent que c'est du complotisme, me semble un peu léger. Sachant que le méchant officiel, aujourd'hui, c'est l'islam, on a des attentats islamistes, c'est logique. Mais vous comprendrez mon scepticisme quant à ce qui est réellement derrière, surtout quand, au lieu de rendre publique la vidéo d'un drame à ceux qui le souhaitent, afin de faire taire les théories diverses, naturellement générées par un secret éminemment antidémocratique, on essaie, maladroitement, comme cela a été le cas à Nice, de les faire détruire. On a quand même un profil troublant, et ça inclut Orlando et Nice et d'autres... Des musulman, souvent homos ou bisexuels, buvant de l'alcool, soignés pour troubles mentaux, connus des services de police et de renseignements, qui n'oublient jamais de prendre leurs papiers d'identité et de bien les laisser sur place en évidence et qui, perdus pour perdus, au lieu de s'attaquer à des Hollande, Valls et autres Sarkozy, lesquels sont toujours très loin quand ça pète et qui sont, pourtant, les vrais responsables des bains de sang au Moyen-Orient, massacrent des bébés en poussette et des bisounours, qui se demandent ce qui leur arrive et qui répondent avec des fleurs, des bougies et des petits dessins. C'est vrai que, dans un test de QI, la suite logique de "je suis Charlie", "je suis Paris", " je suis Orlando", " je suis Nice" etc., serait soit " je suis x", soit "je suis mort". Donc, les Français étant moins cons que ce qu'on pense, les petits dessins ça ne va pas durer toujours. Mais encore une fois, ne nous trompons pas de cible. Même si les musulmans posent, effectivement, des problèmes que je ne nie pas et dont, s'ils ne les règlent pas rapidement eux- mêmes, il va falloir s'occuper vite, les premiers responsables sont les corrompus, lâches et incapables qui nous gouvernent, qui sont à l'origine des tensions qu'ils entretiennent d'autant plus qu'ils comptent dessus pour détourner l'attention de la situation catastrophique dans laquelle ils nous ont mis, préférant, s'ils ne parviennent pas à instaurer avant une dictature qui ne dit pas son nom, une guerre civile, au retour de la guillotine qui leur pend au nez. Je rappelle, au passage, que les jihadistes n'ont pas le monopole de la décapitation. Honnêtement, à qui profite le crime ? A l’État Islamique, qui se prend davantage de bombes sur la gueule ? Aux musulmans et maghrébins de France dont certains, malheureusement les mieux intégrés, commencent à serrer tellement les fesses qu'ils ont peut-être trouvé un nouveau moyen écologique de produire de l'huile d'olive ? Et d'ailleurs, ça vient d'où ISIS ? On s'est réveillés un matin et on s'est dit : "Tiens, il y a un État Islamique ?" Ou bien est-ce qu'on a qu'on a soutenu, entraîné et armé une entité mafieuse, prétendument "islamiste", même si tout son encadrement militaire est composé de mercenaires et de hauts-gradés laïcs issus, notamment, de l'ex-armée de Saddam Hussein, sous prétexte de lutter contre Bachar al Assad, un dentiste SANGUINAIRE, d'autant plus sanguinaire que la Syrie est un point de passage obligé de deux projets de gazoducs concurrents, l'un impliquant l’Iran et l'autre, le Qatar et Israël, entre autres. Les droits de l'homme, quand ça se passe au Qatar, en Arabie Saoudite, au Bahreïn, en Chine, en Corée du Nord etc. etc., ça ne semble gêner personne. Mais en Irak, en Libye, en Syrie... là, on se devait d'intervenir, sous peine de ne plus pouvoir se regarder dans une glace. On nous prend vraiment pour des cons. C'est quand même bizarre qu'Isis semble encore disposer de banques sous son contrôle dont l'activité n'est pas bloquée, afin de payer le trafic de pétrole et d'antiquités qui le financent. Ceux qui l'ont créé, et les élites françaises en font partie, pourraient lui porter un coup sérieux, sans bombes et victimes collatérales, juste en coupant le réseau bancaire Swift, en les coupant de ce réseau. Ils l'ont bien fait avec le Vatican, je vous mets le lien, qui a été privé de réseau bancaire, sans qu'on sache pourquoi, de janvier 2013 jusqu'au février, soit le lendemain, pure coïncidence, de la démission du très conservateur Benoît 16, remplacé par un pape jésuite dont, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a des positions qui m'interpelleraient si j'étais catholique, notamment, outre le fait de jouer les Merkel bis et d'appeler sans cesse à ouvrir davantage les frontières, d'aller à Lesbos et de ramener à Rome migrants, exclusivement musulmans. Peut-on en déduire qu'il n'y avait plus de place dans l'hélico pour un petit chrétien d'Orient symbolique dont la présence aurait contribué à apaiser les tensions au lieu de les exacerber ? Pour l'instant, force est de constater, qu'il laisse massacrer les prêtres, en France, avec la même apathie avec laquelle il laisse massacrer lesdits chrétiens d'Orient. En outre, je n'ai pas d'idées préconçues sur la prière, mais j'ai quand même remarqué que c'est exactement ce que faisait le malheureux prêtera Hamel quand il a été égorgé, ce qui me laisse sceptique quant à l'efficacité de cette seule méthode face à ce type de menace. Le complotisme ce n'est pas de poser des questions, ce serait d'y répondre, de façon péremptoire, sans argumentation logique et étayée ce que, justement, fait le gouvernement en permanence. De nombreux états ont une influence sur le terrorisme, simplement en raison d'intérêts géostratégiques ou économiques notamment : les États-Unis, la Turquie, l’Arabie Saoudite, le Qatar ainsi que la France, de par la trahison de ses élites, mais aussi, entre beaucoup d'autres, Israël. A présent, je vais donc monter d'un cran et carrément passer du complotisme à quelque chose d'encore plus médiatiquement condamnable. En effet, si le complotisme consiste à décrédibiliser sans débat tout ce qui critique la version médiatique mainstream, quand cette critique vise spécifiquement Israël ou tout ce qui peut lui être apparenté, de près ou de loin, ce n'est plus du complotisme mais de l'antisémitisme. Faisons donc un peu de politique fiction. Ce pays tire sa légitimité et, il faut bien le dire, son impunité, de la culpabilité mondiale soigneusement entretenue, jusqu'à en faire une quasi-religion, envers le projet génocidaire dont les juifs ont fait l'objet. Il peut absolument tout faire, sauf ce dont ils a vitalement besoin : se débarrasser définitivement de l'épine palestinienne et coloniser la totalité du territoire. S'il commettait, à son tour, ce qui serait, objectivement, un génocide indiscutable, le château de cartes s'effondrerait et même les États-Unis, dont il a officiellement acheté le congrès par l'intermédiaire de l'AIPAC, touchant, du coup, des aides militaires et financières, payées par les contribuables américains, infiniment supérieures aux contributions aux campagnes électorales des politiciens, même les États-Unis donc, nous pourrons plus le soutenir sans se mettre à dos leur opinion publique laquelle, contrairement à nous, a l'avantage d'être armée justement, et c'est stipulé dans leur constitution, pour se protéger des abus de LEUR gouvernement, raison pour laquelle, ledit port d'armes, continuellement attaqué par les uns, sous des prétextes divers et variés, est défendu avec autant d'acharnement, par les autres. La seule solution logique qu'il reste à Israël pour résoudre son petit problème apparemment insoluble, et je ne dis pas qu'il le fait, serait de semer le chaos et la guerre civile dans les pays occidentaux, dont la France, qui se verraient ainsi entraînés dans une communauté de destin, afin de valider l'idée que, la seule solution pour éliminer le terrorisme, c'est éliminer l'Islam. Ce n'est qu'à ce moment qu’Israël pourrait se débarrasser définitivement du problème palestinien, sans encourir le courroux occidental et tout en continuant à bénéficier de l'aura lucrative de peuple martyr. Bien sûr, pour pouvoir réaliser cela, outre l'appui sans faille des États-Unis, il lui aurait fallu bénéficier de soutiens affichés dans notre pays, de gens qui mettent en place des lois mémorielles et antiracistes pour empêcher la critique de l'immigration, d'autres qui créent des associations SOS quelque chose ou CRIF, pour favoriser l'immigration de masse et poursuivre en justice ceux qui ne seraient pas contents, d'autres encore qui bousillent l'éducation nationale afin que les immigrés ne s'intègrent pas, disposer de coreligionnaires ou affiliés, philosophes et président de la république, pour semer le chaos au Moyen-Orient en détruisant la Libye, ainsi que d'intellectuels qui, après avoir abordé un pin's "touche pas à mon pote" et traité les Français de racistes boufferaient, maintenant que la récolte est prête, du musulmans matin, midi et soir, dans tous les médias de France et de Navarre. C'est totalement impensable. Ce n'est pas comme si le Mossad existait pour autre chose que répandre l'amour sur terre et était gonflé au point de trafiquer le portable d'un premier ministre assez con pour le lui remettre. En outre, Israël est confronté à un autre problème. Le pourcentage d'Israéliens non- juifs, qui font plus d'enfants que les israéliens juifs, va bientôt les mettre en minorité. Une France, plus gros réservoir de juifs d’Europe, qui serait victime d'un terrorisme intensif, aurait pour conséquence de provoquer une Aliyah massive en direction d’Israël, ce qui remonterait un peu les effectifs. Aliyah que Netanyahou ne s'est pas gêné d'appeler de ses vœux, sans s'embarrasser de pudeur superfétatoire, à chaque fois qu'une goutte de sang était versée dans notre beau pays. Encore une fois, je n'accuse pas Israël de quoi que ce soit. Je fais juste remarquer que tout ce qui se passe sert ses intérêts objectifs, jusqu'au chaos dans la région, car il faut bien reconnaître que tous les pays autour veulent le détruire et que, à la seconde où ils vont cesser de se battre entre eux, ils vont se retourner contre lui. Mais bon, c'est juste un exemple. Il y a d'autres joueurs potentiels dans cette partie de Monopoly macabre. Même si ces hypothèses, théoriques, jusqu'à preuve formelle du contraire, étaient vérifiées, il serait donc malhonnête, comme le font certains, de faire d’Israël, qui a au moins le mérite d'agir dans son propre intérêt, contrairement à ce que nous faisons, l'alpha et l'oméga de tous nos problèmes. On pourrait, par exemple, extrapoler sur le rôle et les intérêts du Qatar où des États-Unis et d'autres encore, mais cette vidéo serait beaucoup trop longue. Le but de cet exemple étant juste de montrer que d'autres intérêts sont en jeu et qu'on ne peut pas prendre la mesure d'un problème si on se cantonne dans une grille de lecture franco-française. Montons encore d'un cran. Selon les dernières estimations, la dette publique mondiale, et il existe aussi la dette privée, des entreprises, des ménages, des collectivités... qui est certainement encore beaucoup plus élevée, la dette publique donc, s'élève à 300 000 milliards de dollars. Arrivés à ce niveau, on dépasse les capacités du cerveau humain à concevoir les choses et on se fait doucement anesthésier par les chiffres. Je me suis donc amusé à mettre ça en perspective et je me suis rendu compte, en partant sur une base de quatre billets au millimètre, que si on imprimait cette dette en billets de 1 dollar, soit 4 millions de billets au kilomètre, en empilant lesdits billets, on pourrait parcourir une distance de 750 millions de kilomètres, soit exactement la distance jusqu'à Mars, quand son orbite est la plus proche de la terre. Plus besoin de programme spatial, il suffit juste d'empiler des billets est de grimper. Je ne suis même pas sûr qu'on dispose d'assez d'arbres sur la terre pour ça. Le système capitaliste, et le principe même de l'argent qui le sous-tend, sont à bout de souffle. On en est arrivés à vendre, à crédit, avec de l'argent qui n'existe pas, à des gens qui ne produisent plus rien, des choses dont ils n'ont pas besoin, fabriquées par des machines et, pour encore un temps, des esclaves. Il faut bien comprendre que le système capitaliste a besoin, pour survivre, de nouveaux marchés. A partir du moment où il s'est étendu sur toute la planète, sa seule possibilité de survie consistait à produire des guerres mondiales pour effectuer suffisamment de destructions afin de recréer artificiellement des besoins, donc des marchés. Depuis l'avènement de l'arme atomique, la chose n'est plus possible. En outre, la bulle technologique et numérique qui avait donné une bouffée d'oxygène arrive à saturation. A la place, on déclenche donne des guerres dites "de basse intensité" dans tous les pays qui n'ont pas la bombe atomique. Mais les destructions ne sont pas suffisantes et ne touchent pas suffisamment les pays occidentaux les plus susceptibles de consommer. La conséquence est donc de les pousser, notamment par l'intermédiaire du terrorisme et de l'immigration de masse, à la guerre civile qui exclut, comme elle est interne, le recours à l'arme atomique, tout en générant, c'est en tout cas le résultat espéré, suffisamment de morts pour annuler les dettes et de destructions pour repartir sur un petit cycle de croissance, en détruisant, au passage, les spécificités et sentiments nationaux qui sont un frein au consumérisme débridé nécessaire à la survie de ce modèle économique délétère. Bien sûr, on peut encore augmenter d'un cran, en essayant d'identifier ceux qui profitent du système et en se demandant s'ils ont réellement les moyens de son contrôle ou se contentent de pousser dans la direction dans laquelle souffle déjà le vent. Il existe, en effet, des sociétés occultes dont certaines composées de fous, à la fois riches, mystiques et mégalomanes, qui ne se cachent même plus, sont certainement capables des pires saloperies, allant de la pédophilie rituelle sacrificielle (des milliers d'enfants de migrants manquent à l'appel) au financement de révolutions colorées, notamment par la manipulation du terrorisme. Elles génèrent les théories les plus surprenantes, qui sont d'autant plus attirantes pour certains, qu'il est plus rassurant de considérer qu'il existe quelque part des gens qui tirent les ficelles, et qu'il suffirait d'identifier et de détruire, que d'imaginer, par exemple, que l'humanité serait, en soi, une souche virale programmée, à défaut de pouvoir essaimer dans les étoiles, pour proliférer jusqu'à détruire son hôte et à mourir. On peut aussi fuir ces peurs qui nous gouvernent (et par lesquelles on nous gouverne) en s'abrutissant devant Cyril Hanouna, en se disant que la vie ici-bas n'a pas d'importance et qu'un dieu miséricordieux nous ouvrira les portes du paradis, si on tend l'autre joue et qu'on se laisse massacrer sans rien dire, ou croire que ce même dieu nous offrira quelques dizaines de vierges et une après- vie de fornication intensive, pour nous récompenser d'avoir écrasé des enfants avec un camion, ou croire encore, si on se pense membre d'un peuple élu, que toujours ce même dieu, viendra nous sauver à la fin des temps, quitte à être tenté d'accélérer un petit peu le calendrier. Donc, en résumé, si vous pensez que faire haro sur les musulmans va suffire à régler le problème du terrorisme, vous êtes encore loin du compte. Ce n'est qu'en regardant les problèmes en face et en osant poser les bonnes questions, que nous pouvons espérer éviter le bain de sang qui s'annonce. Il n'y a, dans notre offre politique, aucun homme ou femme providentiel, qui en soit capable ou en ait le courage. Tous ceux qui limitent leur discours au premier niveau, celui du conflit de civilisations, sont soit des idiots utiles, soit cherchent à vous manipuler. Parvenir, grâce aux nouvelles technologies, a proposer, discuter et voter nous-mêmes nos lois et reprendre en main notre destin est la seule solution que je vois pour sortir par le haut de ce bourbier. J'ai pris un peu de retard, mais un site sera bientôt finalisé, pour expliquer le principe. Dans l'intervalle, je vous encourage à diffuser et liker en masse ma première vidéos "si on les mettait tous au chômage" car si beaucoup d'entre vous ont bien compris les enjeux, et je les remercie pour leur soutien, nous sommes encore trop peu nombreux pour avoir le moindre impact sur l’inertie mortifère ambiante. Participez à la révolution numérique. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire